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Lettre à Valérie Plante au sujet du Parc Canin

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Publication : 15 octobre 2019

Un texte d’opinion de L’ACPO

Madame la mairesse,

Votre administration a récemment pris un certain nombre de décisions qui témoignent de votre intention de relever les défis auxquels l’urgence climatique confronte nos sociétés. Nous vous en félicitons. Vous vous situez dans la droite ligne d’une préoccupation largement partagée par la population, comme en témoignent les récentes manifestations qui ont réuni partout dans la Province des foules nombreuses, avec une participation d’environ un demi-million de personnes à Montréal, du jamais vu au soutien d’une cause. Votre récente communication montre que vous semblez en phase avec cette préoccupation populaire pour infléchir l’action publique en la faisant passer de ce que nous appellerions, pour faire court, d’un urbanisme minéral à un urbanisme végétal, vert. Il faut en effet aller vers plus de végétalisation des villes.

Dans votre déclaration, faite le 23 septembre dernier à l’ONU à l’occasion du Sommet Action Climat, vous vous êtes donné le mandat de réduire, à Montréal, les gaz à effet de serre (GES) de 55% d’ici 2030 (Le Devoir, 23 septembre 2019). C’est une orientation ambitieuse bien que réaliste, comme le signale madame Corriveau dans l’édition du Devoir du 3 octobre dernier.

Les récentes semaines ont montré que vous vous engagez sur cette voie avec sérieux. À titre d’exemples, mentionnons votre intention de transformer le secteur de Namur- Hippodrome en un quartier carboneutre et vert, qui sera selon vos dires «un anti- Royalmount» (La Presse, octobre 2019). Ce dernier projet est en effet un modèle à ne pas suivre. Il charrie un esprit «promoteur» de la «génération Centre d’achats» des années soixante. Nous parlons de l’autre siècle…

De plus, la création d’un grand parc urbain de 3000 hectares dans l’Ouest de l’Île va également dans le sens des moyens favorables à l’atteinte de votre objectif de réduction des GES. Il s’agit là d’un espace conséquent, approprié à la recréation d’une véritable diversité végétale (coexistence d’essences arboricoles diverses reproduisant la forêt naturelle, maintien et protection des milieux humides, etc.) et à l’accueil de la faune urbaine et péri-urbaine.

Par ailleurs, dans le même temps où vous prenez des décisions responsables pour préparer la Ville dont vous avez la charge politique aux bouleversements urbains entraînés par l’action industrielle des sociétés humaines, on ne peut que s’étonner du projet que votre administration a de supprimer le Parc Canin d’Outremont, le Parc Mali. Il s’agit d’un espace vert de 8000 mètres carrés où les chiens peuvent jouer et courir en liberté. Ce parc est en outre le seul à vocation canine d’Outremont. Il est largement boisé : il possède 80 arbres à maturité, d’épaisses haies d’arbustes qui le protègent de la circulation et dans lesquelles trouvent refuge de nombreuses espèces d’oiseaux, de grands espaces gazonnés, une piste de deux cent mètres où marchent les propriétaires des chiens, produisant une occasion de socialisation citoyenne, chose peu fréquente dans les villes d’aujourd’hui. On peut s’étonner qu’au moment où vous annoncez un parc majeur dans l’Ouest de l’Île en mettant de l’avant la valeur des espaces boisés pour contrer l’augmentation des GES et la hausse des températures urbaines, vous fassiez preuve de si peu de congruence en planifiant de supprimer un parc d’arrondissement dont les avantages sont multiples et reconnus par tous ceux qui le fréquentent (nous tenons à votre disposition une pétition de plus de mille cinq cents noms).

Vos conseillers urbanistes et ingénieurs, et autres spécialistes du transport urbain, vous font valoir, pour justifier la suppression de ce parc, le caractère vital de la prolongation de la voie Thérèse Lavoie-Roux, créée avec le Campus MIL, afin d’améliorer la sécurité des piétons et cyclistes dans le secteur. À ce sujet, je vous renvoie à ce que dit Richard Bergeron de cet argument à l’occasion de l’entrevue qu’il a accordé le 24 septembre dernier à madame Annie Desrochers à son émission Le 15-18 à la radio de Radio- Canada. Il y qualifie l’aménagement prévoyant la disparition du Parc Canin, de «sous Gérald-Tremblay» et vous enjoint, à vous et votre maire d’arrondissement monsieur Tomlinson, «de ne surtout pas toucher au parc Canin».

Nous en appelons à la sagesse et à la responsabilité de votre administration pour que soient appliqués avec cohérence au Parc Canin Mali les mêmes principes de décision que ceux que l’on retrouve derrière les récentes initiatives que vous avez prises en matière d’espaces verts, de réduction des GES et des ilots de chaleur. On ne peut à la fois vouloir une ville plus verte et en même temps priver les habitants d’Outremont et leurs amis quadrupèdes de cet espace de vie avantageusement arboré et fréquenté. Sachez, madame la mairesse, que si une ville est administrée, selon les règles démocratiques en vigueur, par celles et ceux auxquel(le)s la tâche a été confiée, retenez qu’elle appartient à ses citoyens qui sont en dernier recours les plus à même de décider de leurs intérêts. Et nous avons la prétention d’affirmer qu’à cet égard le consentement populaire à la conservation de ce parc est large.

En vous assurant, madame la mairesse, de notre haute considération.

Les membres du Conseil d’administration de l’APCO :
Aurélie Cosandey-Godin, Geneviève de Grandpré, Sophie Danis



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Lettre à Valérie Plante au sujet du Parc Canin

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Publication : 15 octobre 2019
Un texte d’opinion de L’ACPO

Madame la mairesse,

Votre administration a récemment pris un certain nombre de décisions qui témoignent de votre intention de relever les défis auxquels l’urgence climatique confronte nos sociétés. Nous vous en félicitons. Vous vous situez dans la droite ligne d’une préoccupation largement partagée par la population, comme en témoignent les récentes manifestations qui ont réuni partout dans la Province des foules nombreuses, avec une participation d’environ un demi-million de personnes à Montréal, du jamais vu au soutien d’une cause. Votre récente communication montre que vous semblez en phase avec cette préoccupation populaire pour infléchir l’action publique en la faisant passer de ce que nous appellerions, pour faire court, d’un urbanisme minéral à un urbanisme végétal, vert. Il faut en effet aller vers plus de végétalisation des villes.

Dans votre déclaration, faite le 23 septembre dernier à l’ONU à l’occasion du Sommet Action Climat, vous vous êtes donné le mandat de réduire, à Montréal, les gaz à effet de serre (GES) de 55% d’ici 2030 (Le Devoir, 23 septembre 2019). C’est une orientation ambitieuse bien que réaliste, comme le signale madame Corriveau dans l’édition du Devoir du 3 octobre dernier.

Les récentes semaines ont montré que vous vous engagez sur cette voie avec sérieux. À titre d’exemples, mentionnons votre intention de transformer le secteur de Namur- Hippodrome en un quartier carboneutre et vert, qui sera selon vos dires «un anti- Royalmount» (La Presse, octobre 2019). Ce dernier projet est en effet un modèle à ne pas suivre. Il charrie un esprit «promoteur» de la «génération Centre d’achats» des années soixante. Nous parlons de l’autre siècle…

De plus, la création d’un grand parc urbain de 3000 hectares dans l’Ouest de l’Île va également dans le sens des moyens favorables à l’atteinte de votre objectif de réduction des GES. Il s’agit là d’un espace conséquent, approprié à la recréation d’une véritable diversité végétale (coexistence d’essences arboricoles diverses reproduisant la forêt naturelle, maintien et protection des milieux humides, etc.) et à l’accueil de la faune urbaine et péri-urbaine.

Par ailleurs, dans le même temps où vous prenez des décisions responsables pour préparer la Ville dont vous avez la charge politique aux bouleversements urbains entraînés par l’action industrielle des sociétés humaines, on ne peut que s’étonner du projet que votre administration a de supprimer le Parc Canin d’Outremont, le Parc Mali. Il s’agit d’un espace vert de 8000 mètres carrés où les chiens peuvent jouer et courir en liberté. Ce parc est en outre le seul à vocation canine d’Outremont. Il est largement boisé : il possède 80 arbres à maturité, d’épaisses haies d’arbustes qui le protègent de la circulation et dans lesquelles trouvent refuge de nombreuses espèces d’oiseaux, de grands espaces gazonnés, une piste de deux cent mètres où marchent les propriétaires des chiens, produisant une occasion de socialisation citoyenne, chose peu fréquente dans les villes d’aujourd’hui. On peut s’étonner qu’au moment où vous annoncez un parc majeur dans l’Ouest de l’Île en mettant de l’avant la valeur des espaces boisés pour contrer l’augmentation des GES et la hausse des températures urbaines, vous fassiez preuve de si peu de congruence en planifiant de supprimer un parc d’arrondissement dont les avantages sont multiples et reconnus par tous ceux qui le fréquentent (nous tenons à votre disposition une pétition de plus de mille cinq cents noms).

Vos conseillers urbanistes et ingénieurs, et autres spécialistes du transport urbain, vous font valoir, pour justifier la suppression de ce parc, le caractère vital de la prolongation de la voie Thérèse Lavoie-Roux, créée avec le Campus MIL, afin d’améliorer la sécurité des piétons et cyclistes dans le secteur. À ce sujet, je vous renvoie à ce que dit Richard Bergeron de cet argument à l’occasion de l’entrevue qu’il a accordé le 24 septembre dernier à madame Annie Desrochers à son émission Le 15-18 à la radio de Radio- Canada. Il y qualifie l’aménagement prévoyant la disparition du Parc Canin, de «sous Gérald-Tremblay» et vous enjoint, à vous et votre maire d’arrondissement monsieur Tomlinson, «de ne surtout pas toucher au parc Canin».

Nous en appelons à la sagesse et à la responsabilité de votre administration pour que soient appliqués avec cohérence au Parc Canin Mali les mêmes principes de décision que ceux que l’on retrouve derrière les récentes initiatives que vous avez prises en matière d’espaces verts, de réduction des GES et des ilots de chaleur. On ne peut à la fois vouloir une ville plus verte et en même temps priver les habitants d’Outremont et leurs amis quadrupèdes de cet espace de vie avantageusement arboré et fréquenté. Sachez, madame la mairesse, que si une ville est administrée, selon les règles démocratiques en vigueur, par celles et ceux auxquel(le)s la tâche a été confiée, retenez qu’elle appartient à ses citoyens qui sont en dernier recours les plus à même de décider de leurs intérêts. Et nous avons la prétention d’affirmer qu’à cet égard le consentement populaire à la conservation de ce parc est large. En vous assurant, madame la mairesse, de notre haute considération. Les membres du Conseil d’administration de l’APCO :
Aurélie Cosandey-Godin, Geneviève de Grandpré, Sophie Danis

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Votant, suspend ton vote...

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Publication : 10 octobre 2019
Par M. Alberto delBurgo

Une fois de plus, il va falloir aller voter. Une fois de plus, nous allons entendre des promesses de plus en plus mirobolantes en nous dirigeant vers les déceptions que même nos enfants savent inévitables.

En fait, quand j’écoute nos politiciens, je pense surtout à ces belles demoiselles qui - quand nous étions jeunes et beaux - remontaient leur jupe jusqu’au genou pour nous exciter, avant de s’esquiver en riant.

Il fut un temps où Ottawa nous promettait de venir en aide aux personnes âgées en construisant des immeubles à loyers modiques pour leur permettre d’acquérir les bébelles qui leur permettraient d’arriver dignement à cet âge d’or après une vie de labeur dans une société où l’on n’enverrait pas la police la nuit pour vérifier s’ils étaient vraiment malades!!!

La Fédération des Locataires d’habitations à loyer modique du Québec m’avise le 30 septembre que « si rien ne change à Ottawa, ce sont plus de 20 000 logements HLM qui ne seront plus financés par le gouvernement fédéral d’ici la fin de 2021, ajoutant que cela pourrait avoir de graves conséquences sur l’entretien, la rénovation de nos immeubles ET SUR LE COÛT de nos loyers.» Essaierait-on de nous refaire le coup des camions de la Brink’s?

Ainsi, en pleine crise du logement quand il devient de plus en plus difficile de louer, et à plus forte raison, d’acheter un logement, à l’heure ou nos jeunes couples avec deux bons salaires se voient condamnés à plancher jusqu’à la retraite sans espoir d’accéder à la propriété, à partager les prestations des Canadiens avec les réfugiés politiques, les réfugiés économiques, et, qui sait, les réfugiés ''aquatiques'' qui ont de l’eau jusqu’aux genoux dans leurs îles paradisiaques et se demandent vers où nager…

…Il est où ? le gouvernement fédéral beaucoup plus empressé à financer des commandites, et autres pipelines ou Lavalins de ce monde plutôt qu’aller chercher les piastres que des multinationales impudentes viennent piquer impunément dans les poches d’une population surtaxée, sans payer de taxes (et en dollars U.S. par-dessus le marché)? Ne pourrait-il pas plutôt essayer d’empêcher nos services de téléphones, ou d’internet d’être parmi les plus chers du monde? D'empêcher l'invasion des taxis Uber, la ruine des taxis traditionnels, l'évasion fiscale par les géants du Net?

Il est où ? notre gouvernement provincial plus empressé d’ouvrir la boite de Pandore des signes religieux pour ne pas traumatiser les petits enfants des garderies ou irriter la xénophobie d’un peuple qui en arrache?

Il est où ? notre gouvernement municipal plus intéressé par un record de fermetures de rues, de déviations, de détours, et d’interdits…et plus pressé de transformer les rues en pistes pour cyclistes souvent indisciplinés, planchistes acrobatiques, ou trottinettes électriques.

Veut-on consacrer nos allées et ruelles en trajet pour nos marathoniens du dimanche dans ce jardin des Plantes... nous imposer des vignettes pour nous faire payer cher ce qui constitue les droits élémentaires des automobilistes que nous payons déjà de mille autres manières : assurances privées et publiques, cartes grises, permis, contraventions abusives, péages, taxes sur l'essence et produits dérivés, réparations dues au mauvais état de la route, perte de temps et d'essence à cause des déviations fantaisistes nés dans l'imagination débordante d'obscurs fonctionnaires ou celle des hommes et femmes qui œuvrent sur les chantiers et se sentent investis du merveilleux pouvoir d'emmerder les automobilistes, ou alors, les lignes de trains de banlieue ou de traversiers interrompues intempestivement pour la commodité de nos braves constructeurs, le stationnement de leurs camions ou de leurs grues géantes...

Non! Décidément, il vaut mieux considérer les élections comme un ballet que nous offrent simultanément des Libéraux par amour du pouvoir, les Conservateurs par adoration du dieu dollar, les néo démocrates par respect du turban, et les Bloquistes pour l’amour d’un pays!

Irez-vous aux urnes?
Répondez pas tous à la fois!

Alberto delBurgo
Outremont



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Aucune place pour stationner sur Lajoie

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Publication : 2 octobre 2019
Par Mme Marie Andrée Lévesque

Lundi matin! Panique! Ma laveuse a cessé de fonctionner, en plein essorage...c'est la course pour trouver un réparateur pour voir si c''est réparable. C'est urgent, je pars en voyage bientôt. Pas le temps ni les moyens d'investir dans un nouvel achat rapidement.

J'en trouve un qui accepte de venir malgré ses réticences envers notre beau quartier! Pas de place sur ma rue Lajoie, pas de parking dans la ruelle, tout est occupé dans les environs immédiats. Il se retrouve sur Bernard... et me téléphone pour m'annoncer qu'il retourne chez eux!

C'est un scénario qui risque de se reproduire!

Demain, j'attends un autre technicien pour mon entretoit.... Pourra-t-il se garer....

Peut être que monsieur le maire pourrait venir chez moi avec un permis spécial...

Marie Andrée Lévesque
Av. Lajoie



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Parade de motos avenue Bernard

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Publication : 2 octobre 2019
Par Mme Marie Andrée Lévesque

Je suis encore sur le choc! En colère et insultée! Par ce beau dimanche de fin septembre, toujours dans l'énergie verte de la Grande Marche de vendredi, je me rends sur l'avenue Bernard!

Et là, coin Bloomfield, toute la circulation est bloquée par des policiers et leurs voitures, pour favoriser une parade de motos!!! Gaz, pétarades et odeur au rendez-vous!

Non, mais, j'hallucine! Je ne peux pas croire que notre maire adoré, qui aime jouer le seigneur offensé devant les voitures et qui détourne le stationnement et le rend payant, soi disant pour être plus vert, Lui, ce tout puissant, a permis une parade de motos polluantes sur Bernard! Même si la cause est noble (l’objectif des Gentlemen’s Ride ayant pour but d’amasser des fonds pour la recherche sur le cancer de la prostate) on aurait pu utiliser un autre moyen de transport: le vélo, la trottinette, la marche! Ou un autobus...! Mais pas des bicycles à gaz!!!C'est révoltant, surtout deux jours après la Marche mondiale!!! Peut-être était-ce une cause payante...

J'ai mal au coeur!

Marie Andrée Lévesque, av. Lajoie, Outremont



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Une de trop

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Publication : 25 septembre 2019
Par la candidate libérale Rachel Bandayan

Une nouvelle campagne publicitaire était lancée cette semaine intitulée Back-to-school Essentials, the Sandy Hook Promise. Des jeunes nous y montrent fièrement leurs nouvelles fournitures scolaires, alors que se déploie une fusillade dans l’école à laquelle ils tentent d’échapper. Les écoliers se cachent dans les sanitaires, cassent des fenêtres, pansent leurs blessures, se fabriquent des armes. Ce ne sont que des enfants ! Des enfants qui auront à surmonter un deuil indicible, à réparer des blessures, des traumatismes, et qui grandiront en frémissant de peur au son d’un ballon de fête qui éclate. Comme ce fut le cas pour des étudiants de notre communauté il y a bientôt 30 ans.

Le 6 novembre 1989, la fusillade la plus meurtrière du Canada frappait ma circonscription natale d’Outremont, à la Polytechnique, prenant la pris la vie de quatorze jeunes femmes. Jamais je n’oublierai cette journée où mon père rentra de son travail, à l’Université de Montréal où il enseignait, et m’expliqua pourquoi il était en retard pour le repas. Il était demeuré à l’extérieur de la Polytechnique, regardant arriver les ambulances. Il avait tenté d’aider, sans y parvenir hélas. Il essayait de trouver les mots pour m’expliquer, sans y parvenir. La question reste d’actualité : comment empêcher la violence causée par les armes à feu ?

Le contrôle canadien des armes à feu est strict, il contribue depuis longtemps à faire du Canada l’un des pays les plus sûrs au monde. Les ambitieuses politiques adoptées successivement ont permis la création d’un cadre législatif efficace.

Ces quatre dernières années, le gouvernement libéral a réalisé des avancées concrètes afin que notre pays soit moins vulnérable à la violence causée par les armes à feu, notamment en instaurant notre législation actuelle sur les armes à feu, qui améliore la vérification des antécédents des acquéreurs d’armes à feu. La loi procure également un meilleur contrôle du transport des armes à feu, en renforçant la procédure d’autorisation concernant les armes à feu prohibées et à autorisation restreinte. Mais la violence causée par les armes à feu continue de prendre trop de vies dans nos communautés. Nous devons faire encore plus.

C’est pourquoi le Parti libéral a annoncé de nouvelles mesures visant à renforcer le contrôle des armes à feu, pour bannir toutes les armes d’assaut de style militaire, et permettre aux villes de bannir ou de restreindre les armes de poing sur leur territoire.

Ce n'est pas une question partisane, cela concerne nos familles, nos enfants et leur sécurité. Grâce à une législation sensée et appropriée, je suis optimiste quant à la construction d'un Canada encore meilleur, plus fort et plus sûr.



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Obsession de mains propres ou irresponsabilité?

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Publication : 13 septembre 2019
Par M. Pierre Joncas

Un maire d’arrondissement est à la fois président de son Conseil et chef de son administration. Au premier titre, il préside à l’adoption de règlements pour assurer la bonne gouverne; au second, il voit à leur mise en œuvre.

La rédaction d’un projet de règlement relève normalement du maire. Il peut confier la tâche de rédiger un avant-projet aux fonctionnaires. L’aval du maire, tel quel ou modifié, en ferait un projet, l’adoption par le Conseil un règlement.

Si le Conseil est soucieux des intérêts légitimes des citoyens, il les consultera avant d’avaliser un projet de règlement prêtant à controverse.

Tant qu’il n’aura pas été révoqué, un règlement restera en vigueur – qu’il ait été adopté par le Conseil en fonction ou un prédécesseur. C’est la responsabilité du maire, à titre de chef de l’administration, de faire respecter tous les règlements.

Dans les champs de compétence des arrondissements, c’est le Conseil qui fixe les priorités et répartit en conséquence les ressources. Même si le Conseil accepte les recommandations des fonctionnaires, il n’en reste pas moins maître, donc responsable. C’est la tâche du maire, chef de l’administration, de veiller au respect des priorités du Conseil.

Qu’en est-il à Outremont?

  • Si l’on se fie aux opinions de Marc Poulin (Journal d’Outremont, le 27 août), Marie-France Stephenson (1er juillet), Marie Andrée Lévesque (25 juin), Monique Hamelin (3 juin), et de nombreux intervenants aux assemblées du Conseil (entre autres, Célia Grimard le 3 septembre, voir Michel Joanny-Furtin: Frustrations et insalubrité, Journal d’Outremont, 5 septembre), le règlement de stationnement, adopté sans consultations, satisfait peu de citoyens. Je ne me souviens d’aucun qui ait écrit ou se soit présenté pour le défendre.

  • Depuis des années, avant même l’administration Tomlinson/Projet Montréal, des citoyens se plaignent de l’insalubrité dramatique de certaines ruelles résultant de l’abandon sauvage de déchets, hors jours de collecte, malgré la réglementation. En témoignent des protestations indignées: voir le reportage de Michel Joanny-Furtin cité plus haut, les opinions de François Audet (22 août) et de Marie-Louise Gay (8 juillet), et visionner les interventions de France Poulin et Pierre Lacerte au Conseil du 3 septembre.

  • La bibliothécaire en chef de Robert-Bourassa prenant sa retraite, elle ne sera remplacée qu’à moitié temps par la responsable des loisirs et de la culture (vu sa charge déjà lourde, comment en trouvera-t-elle le temps?). Bref, les ressources déjà minces de la bibliothèque, service qu’on imaginerait, et qu’on souhaiterait, prioritaire à Outremont, seront réduites. Au Conseil du 3 septembre, le maire en a refusé la responsabilité: selon lui, c’est à la directrice de l’arrondissement de répartir les ressources humaines! Mais au profit de qui prive-t-on la bibliothèque? Du service responsable de la destruction de l’îlot de verdure à l’angle Duchastel/Mont-Royal? Voir l’opinion d’Hélène Ranger (5 septembre).

Ces problèmes persistent. Le maire de notre arrondissement, lui? Il se tient au-dessus de la mêlée. D’autres décident. Le maire, lui, s’en lave les mains.



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Bravo M. le Maire!

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Publication : 5 septembre 2019
Par Mme Hélène Ranger

Comme j’ai pu le constater, d’après les travaux que vous effectuez dans Outremont, vous aimez le béton. Vous avez, entre autre, très bien réussi au coin de Duchastel/boul. Mont-Royal.

Vous avez d’abord détruit l’ilot central de verdure sur lequel il y avait un bel arbre. Quelle idée farfelue et désappointante pour nous résidents de ce secteur! Cet ilot au centre de la rue ralentissait la vitesse de la circulation et embellissait la chaussée. Cela nous aurait couté ‘bien moins cher’ de taxe de tout simplement améliorer cet ilot avec de la végétation. Encore mieux, il aurait pu être agrandit et en faire un rond-point comme à l’intersection Dollard et Bernard. La perte de l’îlot sur Mont-Royal rend maintenant l’entrée de la rue Duchastel grande ouverte invitant les automobilistes à tourner le coin à toute vitesse.

Vous y avez ensuite ajouté des renflements disproportionnés pour ce secteur résidentiel au tournant des trottoirs. Cet usage abusif de béton va à l’encontre des règles environnementales considérant que sa fabrication est très polluante.

Quelle était donc la nécessité de faire ces changements? Le paysage champêtre est perdu pour les riverains, les marcheurs, les joggeurs, les promeneurs de chiens. M. le Maire, vous demeurez face à un très beau parc, aimeriez-vous que, sans préavis, la ville décide de modifier son aspect actuel de verdure? Vous seriez sans doute outré, avec raison.

Nous aimons vivre dans l’ambiance de la montagne avec ses beaux arbres qui nous donnent l’impression d’être à l’écart de la grande ville. Il ne faut pas dénaturer Outremont. Cette ancienne ville a une histoire. Les citoyens aiment leur quartier et c’est pour cela qu’ils choisissent d’y vivre. Ne faudrait-il pas être à leur écoute?

Mme Hélène Ranger
Boul. Mont-Royal



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STATIONNEMENT A OUTREMONT

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Publication : 27 août 2019
Par M. Marc Poulin

Les citoyens demandent que la consultation publique sur le stationnement soit confiée à l’Office de Consultation Publique de Montréal.

Profitant de la période de questions, les citoyens instigateurs d’une demande de consultation publique sur le nouveau plan de stationnement dans l’arrondissement Outremont sont allés interpeller les élus lors de la reprise des travaux au conseil de ville de Montréal.

Malgré l’insatisfaction manifestée par près de 2000 citoyens, l’administration Projet Montréal refuse de surseoir à l’implantation de son plan, le temps de le bonifier par le biais de cette consultation publique, et ira de l’avant avec l’implantation du nouveau règlement à l’automne tel que confirmé par Philipe Tomlinson au conseil municipal de lundi le 19 août. Les citoyens doutent, cependant, de la volonté de Projet Montréal de modifier son règlement surtout que la Mairesse Plante a laissé planer que le règlement devrait rester en place pour une période d’un an.

Par ailleurs, au conseil municipal, les citoyens ont également demandé à l’arrondissement que l’organisation de la consultation publique soit confiée à l’Office de consultation publique de Montréal dans le but d’avoir une consultation publique objective et constructive. Ils se sont inspirés du précédent de 2017 alors que Projet Montréal, alors dans l’opposition, avait réussi à convaincre Réal Ménard et Denis Coderre d’en faire autant pour un dossier dans Hochelaga Maisonneuve.

Encore une fois, cette demande a été refusée par M. Tomlinson et Mme Plante au conseil de lundi. Aujourd’hui les citoyens réitèrent leur demande auprès de Projet Montréal de confier le dossier à l’OCPM, des professionnels de la chose, en vertu des mêmes principes démocratiques qu’il défendait il y a deux ans. Les citoyens se demandent comment M. Tomlinson peut être à la fois juge et partie dans ce dossier ayant déjà signalé sur Facebook ne pas s’attendre à beaucoup de ce processus qu’il refusait systématiquement jusqu’alors.

Les citoyens doutent que ce projet, élaboré sans aucune étude, aura les bénéfices écologiques recherchés car il augmente de 400 le nombre de places de stationnement dans l’arrondissement. Ce plan facilite également l’usage de la voiture pour les non-résidents en leur donnant accès à 100% du stationnement sur rue dans l’arrondissement plutôt que pour 60% actuellement (les autres places étant contrôlées par des vignettes à l’usage exclusif des résidents). Le but avoué du projet est de recueillir 400 000$ de profits dans les coffres de l’arrondissement.

Marc Poulin



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Déchets à volonté sur l’avenue de l’Épée

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Publication : 22 août 2019
Par M. François Audet

La situation dans la ruelle de l’Épée dépasse l’entendement. Depuis le mois de juin des résidents – clairement identifiés de par les adresses sur les boites qui accompagnent cette montagne de déchets ( … ) vont régulièrement déposer des déchets, couches souillées, nourriture, ainsi que des déchets de construction et produits chimiques dans la ruelle et le petit parc de l’Épée. Tout est documenté puisque des plaintes ont été faites et de multiples photos/preuves transmises à la ville. Malgré ces plaintes au 311, à la ville d'Outremont et la sécurité publique, ces mêmes résidents font de notre quartier un véritable dépotoir quotidiennement. Je réitère: plaintes, photos transmises, appelles au 311 de multiples voisins et de nous-mêmes: la ruelle est un encore un désastre écologique et les résidents coupables et clairement identifiés déposent illégalement, allègrement, impunément et quotidiennement leurs déchets.

Nous sommes propriétaires et résidents de ce quartier depuis plusieurs années. Nous payons des taxes faramineuses pour un service que nous évaluons complètement inefficaces, voire inexistants. Nous sommes polis. Les élus d’Outremont restent muets et absents, quant aux services avec qui nous communiquons, aucune suite n’est donnée (311, sécurité publique, arrondissement, site internet de plainte, etc.).

À ce stade, il ne suffit pas de ramasser les déchets. Ils reviendront ces déchets et ce sera le jour la marmotte bureaucratique. Ce que nous exigeons de la ville est que des constats d’infraction à la hauteur des lois qui sont transgressées soient dument émmis aux résidents coupables.

Nous copions à ce courriel le bureau de l'ombudsman de Montréal et le Journal d’Outremont en espérant que quelqu’un, quelque part, s’intéresse à la qualité de vie de la ville et fasse respecter la loi.

Dans tous les cas, force est de constater qu’Outremont est en perdition…

François Audet -
Catherine Girard Audet -
Martin Rosenberg -
Louise D'Aoust



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Éditeur :René Soudre
Assistante à l’édition : Marili Soudre-Lavoie
Rédacteur en chef : René Soudre
Collaborateurs : Julie Turgeon, Viktor Lavoie, Emmanuelle Beaubien, Carla Geib, Alexis Drapeau-Bordage, Hélène Côté, Laetitia Arnaud-Sicari
Photos : Marili Soudre-Lavoie
Administration : Hélène Lavoie
Ventes : Marili Soudre-Lavoie, René Soudre

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