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Taxes en hausse de 7% !

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COURRIER DES LECTEURS
Publication : 19 mars 2021
Par M. Marc Poulin

Le Journal d'Outremont vous encourage à nous communiquer vos lettres d'opinion. La rédaction se réserve le droit d'éditer les textes qui lui sont soumis pour en faciliter la lecture et la compréhension. Ne seront retenus que les textes sur des sujets pertinents, utilisant un langage non-discriminatoire, non-injurieux et écrit dans un français correct. Le Journal d'Outremont se dégage totalement des propos publiés et n'assume aucune responsabilité quant à leur contenu. Vous pouvez nous communiquer votre missive par courriel en y indiquant votre nom et votre adresse. Nous publierons le nom du signataire de la lettre mais non son adresse. Les lecteurs pourront réagir à un propos en cliquant sur Ajouter un commentaire.


Les citoyens d’Outremont viennent de recevoir leur compte de taxes municipales. Sans surprise, Ils ont été à même de constater que contrairement à ce que le Maire Tomlinson avait annoncé lors de la rencontre du budget, leurs taxes locales relatives aux services ont augmenté plutôt que de voir la baisse promise sur de fausses prémisses mathématiques.

La surprise est plutôt venue de la taxe locale relative aux investissements qui a fait un bond vertigineux de 15% pour l’unifamiliale moyenne. M. Tomlinson s’était bien caché de cet état de fait hautement prévisible dans sa présentation budgétaire. Il semble bien que cet excès d’amour pour les dos d’âne et les saillies de trottoir finisse par se répercuter dans le compte de taxes. Bilan, le compte de taxes locales, fruit de la gestion financière irresponsable de Projet Montréal Outremont est en hausse de 7%. Vous avez bien lu 7%!

Mais ce n’est pas tout. L’arrondissement a approuvé pour plus de 7.,5M$ de nouveaux emprunts lors des derniers conseils d’arrondissement. Questionné à savoir quel sera l’impact de ces emprunts nouveaux sur les comptes de taxes futurs, le Maire était incapable de donner une réponse et a esquivé la question. M Tomlinson a plutôt voulu faire valoir qu’il trouvait que son compte de taxes personnel n’avait pas monté tant que ça compte tenu de la hausse de valeur foncière de sa propriété, qui semble en deçà de la moyenne au demeurant. Mais M Tomlinson les deux éléments n’ont aucun rapport! De plus les locataires qui ne bénéficient pas d’une plus-value de leur propriété vont voir augmenter leurs loyers pour compenser… (…)

Quand on sait que ces 7,5M$ de nouveaux emprunts vont, entre autres, servir à (…) la Placette Champagneur à 500 000$ ou le chalet de parc Lamborghini Joyce à 2,1M$, il y a de quoi être inquiet pour les administrations qui vont suivre. Ces emprunts seront sur votre compte de taxes pour de très nombreuses années. Que le Maire dépense ainsi sans en mesurer l’impact à long terme est inadmissible!

Sous Projet Montréal, la ville centre s’est endettée comme jamais auparavant et l’arrondissement également. (…)

Marc Poulin
Outremont



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Taxes en hausse de 7% !

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COURRIER DES LECTEURS
Publication : 19 mars 2021
Par M. Marc Poulin

Les citoyens d’Outremont viennent de recevoir leur compte de taxes municipales. Sans surprise, Ils ont été à même de constater que contrairement à ce que le Maire Tomlinson avait annoncé lors de la rencontre du budget, leurs taxes locales relatives aux services [...]

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Une vraie loi climat pour protéger nos enfants

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COURRIER DES LECTEURS
Publication : 9 mars 2021
Par Mme Sophie Dansereau aux député.e.s de la Chambre des communes à Ottawa

Il y a un an, nous étions quelques dizaines de mères à monter au front pour exiger une réponse à l’urgence climatique. Malgré la pandémie, plus de 5 000 personnes ont rejoint le mouvement Mères au front [...]

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Une vraie loi climat pour protéger nos enfants

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COURRIER DES LECTEURS
Publication : 9 mars 2021
Par Mme Sophie Dansereau aux député.e.s de la Chambre des communes à Ottawa

Le Journal d'Outremont vous encourage à nous communiquer vos lettres d'opinion. La rédaction se réserve le droit d'éditer les textes qui lui sont soumis pour en faciliter la lecture et la compréhension. Ne seront retenus que les textes sur des sujets pertinents, utilisant un langage non-discriminatoire, non-injurieux et écrit dans un français correct. Le Journal d'Outremont se dégage totalement des propos publiés et n'assume aucune responsabilité quant à leur contenu. Vous pouvez nous communiquer votre missive par courriel en y indiquant votre nom et votre adresse. Nous publierons le nom du signataire de la lettre mais non son adresse. Les lecteurs pourront réagir à un propos en cliquant sur Ajouter un commentaire.


Il y a un an, nous étions quelques dizaines de mères à monter au front pour exiger une réponse à l’urgence climatique. Malgré la pandémie, plus de 5 000 personnes ont rejoint le mouvement Mères au front . Vingt-cinq groupes d’action se sont formés de l’Abitibi à la Gaspésie en passant par presque toutes les régions du Québec et au-delà de nos frontières. Nous sommes mères, grands-mères et arrières grands-mères, par le sang et autrement.

Nous nous levons pour protéger nos enfants. Nous exigeons des gestes forts et immédiats. De la droiture et du courage politique. Nous ne vous laisserons plus nous mentir.

En 1992, avant la naissance d'un grand nombre de nos enfants, le Canada a signé son premier accord sur les changements climatiques. Il reconnaissait la menace. Dix ans plus tard, malgré que ses émissions de GES aient augmenté, le Canada a signé le protocole de Kyoto. L'objectif était de réduire nos émissions de 6 % de 2008-2012 comparativement à 1990. N’ayant pratiquement rien fait pour atteindre ses cibles et nos émissions ayant augmenté de plus de 30 %, nous nous en sommes retirés en 2011. Le Canada a ensuite signé l'accord de Copenhague, qu’il n’a pas respecté. Puis l’Accord de Paris en 2015, qui n’est pas en voie de l’être.

Ça suffit! Nous avons besoin d’une vraie loi climat. Une loi contraignante qui nous obligera à atteindre les cibles établies par la science. Une loi rigoureuse assortie d’un budget carbone, de règles de reddition de compte tous les cinq ans, de transparence et d’imputabilité. Le premier échéancier doit être 2025 et les actions ambitieuses doivent commencer maintenant.

Une vraie loi climat ferait en sorte que des projets d’infrastructures toxiques comme GNL-Québec et Trans Mountain seraient interdits parce qu’ils aggraveraient la crise climatique. Si elles vont de l’avant, de telles infrastructures seront encore en opération en 2050, alors que le Canada s’est engagé à atteindre la carboneutralité pour la même année. Un minimum de cohérence est de mise!

Le projet de loi C-12 présenté par le gouvernement comme sa « loi sur la carboneutralité » n’a rien d’une vraie loi climat. Il est encore temps de l’améliorer. Nous demandons à tous nos élu.e.s à Ottawa d’agir maintenant avec ambition. C’est incontournable pour protéger nos enfants.

Nous bercerons d’un bras et brandirons l’autre. Nous sommes en colère, amoureusement en colère, et nous sommes de plus en plus nombreuses. Comme toutes les mères dans la nature, nous sommes prêtes à tout pour protéger nos petits. Sachez que nous vous regardons, que nous tenons le compte des gestes posés comme de ceux que vous n'avez pas le courage de faire, et que vous devrez en répondre, plus tôt que tard. Nous, mères, grands-mères et arrières grands-mères, resterons au front de votre inaction le temps qu'il faudra.

L’amour de nos enfants est notre arme de construction massive pour la suite du monde.

Sophie Dansereau,
Mère au front pour Barbara, Florence, Olivia, Delphine et Arthur et grand-mère au front pour Adrien

https://meresaufront.org



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Question mal posée?

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COURRIER DES LECTEURS
Publication : 25 février 2021
Par M. Pierre Joncas

Le Journal d'Outremont vous encourage à nous communiquer vos lettres d'opinion. La rédaction se réserve le droit d'éditer les textes qui lui sont soumis pour en faciliter la lecture et la compréhension. Ne seront retenus que les textes sur des sujets pertinents, utilisant un langage non-discriminatoire, non-injurieux et écrit dans un français correct. Le Journal d'Outremont se dégage totalement des propos publiés et n'assume aucune responsabilité quant à leur contenu. Vous pouvez nous communiquer votre missive par courriel en y indiquant votre nom et votre adresse. Nous publierons le nom du signataire de la lettre mais non son adresse. Les lecteurs pourront réagir à un propos en cliquant sur Ajouter un commentaire.


Comme mesure provisoire de santé publique pendant la pandémie de Covid-19, le gouvernement du Québec a décrété l’interdiction de rassemblements de plus de dix personnes dans les lieux de culte. Même si elle n’était pas défendable sur le plan scientifique, l’interdiction ne serait pas discriminatoire puisqu’elle vise également toutes les religions.

Le soir du vendredi 22 janvier, une centaine d’hommes et de garçons de la communauté hassidique skver, illégalement réunis à leur synagogue de l’avenue Durocher, ont forcé un cordon de police pour s’enfuir, certains lançant aux agents l’accusation « nazis ».

Le 29 janvier, la revue numérique The Conversation mettait en ligne « Hassidim et rassemblements illégaux : des pistes pour comprendre1 », signé Frédéric Dejean, professeur en sciences religieuses à l’UQÀM, et Valentina Gaddi, doctorante en sociologie à l’Université de Montréal. Onze mois auparavant, le 2 mars 2020, le maire Philipe Tomlinson avait annoncé leur embauche pour éclairer le Conseil d’Outremont sur la politique et les pratiques à adopter pour favoriser notre compréhension des Hassidim et améliorer nos relations intercommunautaires.

Ayant évoqué l’incident, Dejean et Gaddi mettent en garde leurs lecteurs contre la généralisation que tous les Hassidim ne respectent pas les consignes sanitaires et profèrent des insultes aux policiers. Certaines prières juives, expliquent-ils, sont collectives par nature : au moins une dizaine d’hommes doivent se rassembler pour les prononcer afin de les rendre agréables à Dieu. Ainsi, « renoncer […] à se retrouver pour la prière du Shabbat ne serait pas […] envisageable ». Tradition millénaire, la directive viendrait « directement de Dieu »; en conséquence, cette pratique « se poursuit […] même dans des situations extrêmes telles que l’Holocauste ». Dejean et Gaddi invoquent l’expertise de spécialistes du judaïsme orthodoxe cités par le Daily News (loin d’être le quotidien le plus fiable de New York) à l’effet que « le passage du présentiel au virtuel [met] à mal l’essence même de ce judaïsme ultra-orthodoxe ». Ils ajoutent : « Il y a là pour plusieurs observateurs de la vie publique une tension difficilement réconciliable entre le respect de la loi de Dieu et de la loi des hommes, la première l’emportant sur la seconde. » Tout en reconnaissant la difficulté pour une société laïque d’accepter la situation, ils laissent entendre que la question est mal posée et suggèrent un examen de la « supposée égalité » de tous devant les règlements pour limiter la pandémie.

Dans le but non pas d’engendrer « des aménagements spécifiques » mais de promouvoir une discussion féconde, Dejean et Gaddi notent l’opposition entre, d’une part, la responsabilité des autorités civiles d’adopter les mesures voulues pour contrer la propagation d’une pandémie et, d’autre part, la nécessité « de reconnaître la multiplicité des expériences personnelles et collectives qui ne sont pas toujours évidentes ». Voilà, résumé, l’article de Dejean et Gaddi. On trouvera en renvoi le lien vers leur texte pour permettre de juger si mon précis est fidèle. Cette question délicate de la plus haute importance justifie la précaution. À huit mois des élections, il importe de ne pas fausser le sens des propos d’auteurs dont les recommandations pourraient contribuer à fixer pour longtemps la nature de nos relations intercommunautaires. Le maire est fort de l’appui d’une majorité au Conseil, quoiqu’elle soit de plus en plus contestée. Les citoyens ont le droit d’être consultés et écoutés avant la prise de décisions difficilement révocables de nature à affecter en permanence la qualité de leur vie. En saine démocratie ce problème constituerait un enjeu électoral capital et sa solution exigerait un mandat clair.

• • •

Mes pensées, maintenant.

Je conviens, sans la moindre réserve, avec Dejean et Gaddi du péril des généralisations. Leur illogisme vaut pour les hassidim, les autres juifs, les chrétiens, les musulmans, les agnostiques, les athées, etc. Il m’est impossible d’oublier la persécution de tous les juifs, ainsi que des gitans et des homosexuels, sous le régime nazi : la barbarie et les outrages de ce régime ne sont pas le propre du monde civilisé. Il était donc impératif pour celui-ci de tendre la main aux victimes de celui-là et de les accueillir afin de leur permettre de revivre dans la dignité.

Il est raisonnable de présumer de la sagesse des principes du monde civilisé, dont celui de la soumission aux exigences de la raison, et de la noblesse de ses valeurs, dont celle de traiter l’autre en égal à moins qu’une inconduite persistante de sa part ne l’en rende indigne mais, même dans cette circonstance, de ne jamais le persécuter. J’ose croire qu’à Outremont nous appartenons au monde civilisé.

Le deuxième commandement du décalogue proscrit le mensonge sous serment et le juron. Mais pour un juif comme pour un chrétien, le texte biblique (« Tu ne prononceras pas à tort le nom du Seigneur, ton Dieu, car le Seigneur n’acquitte pas celui qui prononce son nom à tort ») comporte une interdiction largement ignorée, mais bien plus grave : celle d’attribuer le sceau divin à des ordres purement humains. Si je l’ai bien compris, ce commandement interdirait l’usurpation du pouvoir de réglementation morale appartenant à l’Être Suprême par des autorités religieuses ou autres. N’exigerait-il donc pas aussi des détenteurs de l’autorité civile – chrétiens ou juifs – de refuser tout concours aux autorités religieuses, quelle qu’en soit la confession, qui pratiqueraient cette imposture?

Je ne sais pas si, à l’origine, l’exigence d’un minimum de dix hommes pour la prière du sabbat constituait une usurpation consciente de l’autorité divine : je préfère imaginer que son invocation aujourd’hui illustre l’acceptation naïve d’une tradition vénérée depuis la nuit des temps, jamais remise en question. L’Être humain est toutefois doué de raison; si c’est Dieu qui l’a créé, Il l’en a doté. Équipé de cette précieuse faculté, le sens de la responsabilité devrait l’inciter à y recourir, même quand cela réclame de l’effort, voire du courage.

Quand un virus transmissible d’une personne à l’autre propage une maladie mortifère, la raison, soumise aux exigences de l’évidence scientifique, accepte toutes les précautions nécessaires. Quel dieu sensé demanderait à ses fidèles de mettre en péril leur vie en se rassemblant pour le vénérer et risquer ainsi de compromettre une vénération qui lui est agréable? Quel dieu bienveillant envers ses fidèles exigerait d’eux qu’ils se rassemblent pour lui adresser une prière? Dejean et Gaddi, ai-je noté, laissent entendre qu’en soulevant des objections aux accommodements revendiqués par les hassidim au nom d’une « supposée égalité » de tous devant les règlements sanitaires, notre société pose mal la question. Ceci porte à craindre qu’à leur avis, le jour où la crise de la Covid-19 sera terminée, notre société posera la question de façon encore pire.

• • •

L’Outremont où ma famille s’est installée en 1940 était aussi marqué par la diversité : anglophones et francophones en nombres grosso modo comparables, catholiques et protestants de même, et une population de confession juive non orthodoxe de taille moindre, mais suffisante pour justifier la synagogue Adath Israël, dont l’imposant édifice sert aujourd’hui à la communauté chrétienne maronite de Montréal sous le nom Saint-Antoine-le-Grand. À moins que ma mémoire ne me trompe, ces différentes communautés linguistiques et confessionnelles – enfant et adolescent, j’avais des copains dans chacune – se sont toujours voisinées dans la concorde et l’harmonie, chacune respectant les aspirations et les susceptibilités de celles l’ayant précédée sur ce territoire. Par contraste, si je m’en tiens aux propos souvent répétés par le maire Tomlinson et à ceux des universitaires Dejean et Gaddi dans leur article « Hassidim et rassemblements illégaux : des pistes pour comprendre », ce serait dorénavant à la société présente antérieurement à Outremont de se soumettre aux aspirations des communautés hassidiques nouvellement arrivées. Qui pose mal la question? Pierre Joncas

Auteur des Accommodements raisonnables entre Hérouxville et Outremont, Les PUL (Presses de l’Université Laval), Québec, 2009

1 https://theconversation.com/hassidim-et-rassemblements-illegaux-des-pistes-pour-comprendre-154018

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Question mal posée?

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COURRIER DES LECTEURS
Publication : 25 février 2021
Par M. Pierre Joncas

Comme mesure provisoire de santé publique pendant la pandémie de Covid-19, le gouvernement du Québec a décrété l’interdiction de rassemblements de plus de dix personnes dans les lieux de culte. Même si elle n’était pas défendable sur le plan scientifique, [...]

Lettre d'opinion +
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Avenue Marie-Stéphane : Dogmatisme et subordination

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COURRIER DES LECTEURS
Publication : 25 février 2021
Par M. Marc Poulin

Une nouvelle avenue dans le campus MIL portera le nom d’avenue Marie-Stéphane en l’honneur de Sœur Marie-Stéphane, de la congrégation des Sœurs des Saints Noms de Joseph et de Marie, qui fonda l'École supérieure de musique d'Outremont qui deviendra [...]

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Avenue Marie-Stéphane : Dogmatisme et subordination

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COURRIER DES LECTEURS
Publication : 25 février 2021
Par M. Marc Poulin

Le Journal d'Outremont vous encourage à nous communiquer vos lettres d'opinion. La rédaction se réserve le droit d'éditer les textes qui lui sont soumis pour en faciliter la lecture et la compréhension. Ne seront retenus que les textes sur des sujets pertinents, utilisant un langage non-discriminatoire, non-injurieux et écrit dans un français correct. Le Journal d'Outremont se dégage totalement des propos publiés et n'assume aucune responsabilité quant à leur contenu. Vous pouvez nous communiquer votre missive par courriel en y indiquant votre nom et votre adresse. Nous publierons le nom du signataire de la lettre mais non son adresse. Les lecteurs pourront réagir à un propos en cliquant sur Ajouter un commentaire.


Une nouvelle avenue dans le campus MIL portera le nom d’avenue Marie-Stéphane en l’honneur de Sœur Marie-Stéphane, de la congrégation des Sœurs des Saints Noms de Joseph et de Marie, qui fonda l'École supérieure de musique d'Outremont qui deviendra l'École de musique Vincent-d'Indy.

 Buste de Sœur Marie-Stéphane.

Bien que la nomination soit bien à propos, on peut s’interroger sur les raisons qui ont poussées l’administration Projet Montréal à tronquer le mot Sœur dans le nom de la rue pour ne garder que le prénom. Je doute fort qu’en son temps personne n’eut oser appeler Sœur Marie-Stéphane par son simple prénom en public. Cet événement, bien anodin en apparence, témoigne cependant de problématiques bien plus profondes dans la gestion de notre arrondissement.

Dans un échange sur la page Facebook de notre Maire, j’ai tenté d’obtenir réponse à cette interrogation. En effet, je considère que tronquer le nom de la personne que l’on veut honorer est non seulement irrespectueux, mais que par le fait même on a manqué une occasion de souligner, indirectement, l’apport de la congrégation qui a tant fait pour Outremont. Certaines personnes ont volé à la rescousse du Maire en tentant d’arguer que les préfixes religieux ou autres ne font jamais partie de la toponymie. Pourtant cette règle est loin d’être absolue tel qu’en font fois les lieux suivants à Montréal : Place et la rue du Frère André, le Parc Sœur Madeleine Gagnon, le Parc Mahatma Gandhi, 2 parcs du Père Marquette, la rue du Père Marcoux, l'avenue du Père de Foucauld, Place Monseigneur Charbonneau, boulevard Curé Labelle, la rue du Président Kennedy, la rue du notaire Girard, la rue du docteur Penfield. Ce n’est pas une règle toponymique.

En fait, on a affaire à une décision consciente de Projet Montréal d’agir ainsi. D’ailleurs notre Maire a même affirmé dans nos échanges ‘’ Qu'elle ait été soeur ou non, nous sommes heureux d'avoir son nom sur une de nos avenues.’’ Comme si le fait d’avoir été sœur était une tare! Venant d’une administration pourtant si prompte à reconnaitre le fait religieux dans d’autres circonstances, cela est plutôt décevant. L’administration s’oppose à ce que le port des religieux soit réglementé, soit, mais n’est pas prête à tolérer le mot « sœur » sur un panneau de rue!

M. Tomlison, fidèle à ses habitudes, a tenté de faire porter le blâme sur d’autres, ici la Société d’Histoire d’Outremont. Mais il m’a été confirmé que cette dernière aurait souhaité que le nom « Sœur » soit retenu, mais la ville centre en a décidé autrement. Et là le bât blesse à nouveau. J’ai tenté d’obtenir de M. Tomlinson qu’il présente un amendement à la réunion du conseil de ville officialisant le nom afin que « Sœur » soit ajouté. J’ai seulement eu droit à un émoticône méprisant. En fait, ceci est un autre exemple de l’avilissement de notre Maire aux politiques de son parti à la ville centre. Plutôt que de prendre la cause juste et de la défendre au conseil de ville en notre nom, notre backbencher de Maire, plus loyal à son parti qu’à ses citoyens, préfère étouffer l’affaire.

Petite histoire mais qui témoigne, oh combien, de comment les choses sont menées à Outremont avec Projet Montréal : Dogmatisme et subordination à la ville centre.

Outremont mérite mieux!

Marc Poulin,
Av. de la Brunante, Outremont



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Céder un terrain à l’encontre des intérêts outremontais

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COURRIER DES LECTEURS
Publication : 22 février 2021
Par Mme Céline Forget

L’école Lajoie, constituée de deux bâtiments (un sur Lajoie et l’autre sur Outremont), reçoit de plus en plus d’élèves et souhaite agrandir sa cour. Le terrain de stationnement hors rue sur Champagneur, voisin de la cour d’école, suscite de l’intérêt. [...]

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Céder un terrain à l’encontre des intérêts outremontais

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COURRIER DES LECTEURS
Publication : 22 février 2021
Par Mme Céline Forget

Le Journal d'Outremont vous encourage à nous communiquer vos lettres d'opinion. La rédaction se réserve le droit d'éditer les textes qui lui sont soumis pour en faciliter la lecture et la compréhension. Ne seront retenus que les textes sur des sujets pertinents, utilisant un langage non-discriminatoire, non-injurieux et écrit dans un français correct. Le Journal d'Outremont se dégage totalement des propos publiés et n'assume aucune responsabilité quant à leur contenu. Vous pouvez nous communiquer votre missive par courriel en y indiquant votre nom et votre adresse. Nous publierons le nom du signataire de la lettre mais non son adresse. Les lecteurs pourront réagir à un propos en cliquant sur Ajouter un commentaire.


L’école Lajoie, constituée de deux bâtiments (un sur Lajoie et l’autre sur Outremont), reçoit de plus en plus d’élèves et souhaite agrandir sa cour. Le terrain de stationnement hors rue sur Champagneur, voisin de la cour d’école, suscite de l’intérêt.

L’arrondissement entend le céder à l’école qui en fera un mini parc avec divers jeux et promet d’en laisser l’accès aux Outremontais le soir et les fins de semaine.

Mais pourquoi se départir d'un terrain public et perdre cet avoir collectif alors que l’arrondissement pourrait très bien réaliser ce mini-parc et le rendre accessible aux élèves de Lajoie durant les jours de classes ?

La meilleure façon d’assurer l’avenir de cet espace est de le conserver. Dans ce secteur de triplex, proche de l’avenue Bernard, il a une grande importance pour Outremont. Qu’il devienne une aire de stationnement de voitures électriques, de vélos, un mini-parc, une coop, ou autre… qui peut prédire les besoins de l’arrondissement dans 25 ans ? Laissons la vocation de cette parcelle évoluer selon nos besoins à venir. Faisons-en un mini-parc maintenant si les citoyens et commerçants sont en accord, mais sans le céder.

Si l’école en devient propriétaire, elle pourrait éventuellement décider de vendre un des bâtiments ou les deux pour des raisons qui lui appartiennent et le terrain de jeux partirait avec la vente.

Céder un terrain public est une démarche sérieuse, irréversible.

De plus, l’accès aux jeux n’est pas toujours possible lorsque ceux-ci sont dans l’enceinte de l’école. Prenons celui de l’école Guy-Drummond, par exemple. La clôture de la cour d’école est souvent fermée les soirs et la fin de semaine. Les enfants n’ont pas accès aux jeux qui ont pourtant été payés par l’arrondissement.

Pourquoi nous faudrait-il devenir locataires d’un espace dont nous sommes propriétaires ? Sur Champagneur, l’arrondissement doit garder ce terrain, consulter les Outremontais sur son usage, le convertir en mini-parc public si tel est la volonté, créer une entente avec l’école et conserver le contrôle sur l’accès au parc. Tout le monde y trouverait son compte.

Céline Forget,
Outremont



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Éditeur :René Soudre
Assistante-éditrice : Hélène Côté
Collaborateurs : Julie Turgeon, Viktor Lavoie, Emmanuelle Beaubien, Carla Geib
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Administration : Hélène Lavoie
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