100 personnes devant la mairie pour le parc canin

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Publication : 13 septembre 2019

Communiqué version abrégée APCO

Cette initiative citoyenne à laquelle l'APCO avait été invitée à se joindre a permis à de nombreux usagers du parc canin de manifester leur position dans le dossier de pérennité de ce lieu, cité par les experts comme étant exemplaire.

PHOTO COURTOISIE

Plus d'une centaine de personnes dont plusieurs accompagnées par leurs charmants compagnons quadrupèdes étaient réunies devant la salle du Conseil d'Outremont, le 3 septembre dernier, dans le but de faire entendre aux élus leur mécontentement dans la gestion du dossier de pérennité du parc Mali, anciennement appelé parc canin d'Outremont.

Ce parc canin, le plus grand de Montréal et le seul de l'arrondissement, est menacé en 2020 d'amputation et de relocalisation dû au réaménagement temporaire de l'intersection Bates\McEachran\Thérèse-Lavoie-Roux qui, selon les élus, doit être effectué dans le but de sécuriser ladite intersection. Mais selon les différents rapports d'analyses qu'a obtenus l'APCO, d'autres alternatives sont possibles permettant de conserver le parc dans son intégralité tout en sécurisant les lieux. À plus long terme, au plus tard 2030, le parc risque d’être réaménagé à un endroit non déterminé afin de permettre la réfection du viaduc Rockland.

Le but de l'Association étant de démontrer l'importance et l'unicité de ce parc et d'exiger des études qui comprendraient la possibilité de le conserver à court et long termes tout en développant ce nouveau secteur, dont les spécialistes et les élus prônent l'intégration des notions de développement durable, le respect de l'environnement et l'intégration de la biodiversité.

Le chef d'Ensemble Montréal, Monsieur Lionel Perez, ainsi que le conseiller municipal à Outremont, Monsieur Jean-Marc Corbeil s'étaient déplacés pour l'occasion afin d'appuyer les citoyens et citoyennes qui veulent conserver le parc Mali.

Il est à rappeler que ce parc de plus de 8000 mètres carrés est bordé par une haute haie de chèvrefeuille, qu'il comprend 80 arbres matures privilégiés pour la nidification de plusieurs groupes d'oiseaux et un anneau asphalté, ancienne piste d’athlétisme devenue un atout majeur et unique qui permet les déplacements humains et canins durant les 4 saisons. Ce lieu est chéri par une énorme communauté montréalaise qui apprécie y passer de longs moments en compagnie de leur chien qui eux socialisent et ont l'opportunité de vraiment bien dépenser leur énergie.

100 personnes devant la mairie pour le parc canin

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Publication : 13 septembre 2019

LES ANNONCES DU MAIRE TOMLINSON

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Publication : 5 septembre 2019

Lors de son introduction au conseil d’arrondissement lundi soir, le maire d’Outremont Philipe Tomlinson a fait quelques annonces dont voici le détail…

De nouveaux panneaux d’arrêt ont été installés à Outremont ct été dont celui-ci à l’angle de Bernard et de l’Épée.

« Nous avons été très actifs cet été pour la sécurité et les familles! », a-t-il affirmé d’emblée avant d’en faire la liste :
•30 supports à vélo de 7 places chaque, soit 210 places cyclistes de plus dans Outremont.
•Sécurisation du boulevard Dollard (reconfiguration de la traverse pour enfants devant Stanislas et réduction du terre-plein et coupe du buisson pour la traverse des écoliers à l’intersection Lajoie).
•Dans les projets qui se terminent sous peu : saillies sur Dunlop, Durocher et Champagneur; traverse piétonne surélevée sur Durocher; une reconfiguration des intersections pour du verdissement sur Duchastel.
•Nouveaux panneaux d’arrêt sur Bernard au coin de l’Épée et sur Saint-Joseph au coin Hutchison.
•Nouveaux feux piétons aux intersections Lajoie/Outremont et Wiseman/Van Horne.

D’autres mesures de sécurisation et de mobilité suivront dans les prochaines semaines :
•41 nouveaux dos d’ânes dans les prochaines semaines. La carte sera disponible sous peu. Le même nombre sera probablement installé l’an prochain.
•Projet-pilote de piste cyclable sur Stuart, Outremont et Wiseman
•Plusieurs mesures de sécurisation sur Lajoie, à l’ouest de Rockland, dont des saillies et des intersections surélevées.

Le maire Tomlinson a également fait part d’une « excellente nouvelle » selon lui, de la ville-centre, à savoir le financement pour la rénovation des chalets du parc Pratt et du Parc Joyce, « deux dossiers que nous avions déjà en planification. » Il a conclu son ouverture du CA en invitant les Outremontais aux portes ouvertes du campus MIL, de 14h à 22h le samedi 21 septembre, et celles de la nouvelle cour des travaux publics, de 11h à 15h le dimanche 29 septembre.

LES ANNONCES DU MAIRE TOMLINSON

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Publication : 5 septembre 2019

Manifestation pour le parc canin mardi 3 septembre

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Publication : 2 septembre 2019

Communiqué de Mmes Andréanne Harbec et Caroline Braun

Une manifestation aura lieu le mardi 3 septembre 2019 à17h30. Le point de départ sera le parc Canin d’Outremont dans le but d'arriver à l'hôtel de ville d'Outremont, où une réunion du conseil aura lieu le soir même.

PHOTO ARCHIVES LE JOURNAL D’OUTREMONT

Cette manifestation a pour but de dénoncer les politiques du maire Philipe Tomilson et de son parti « Projet Montréal » concernant le démantèlement du parc canin et de ses arbres par des travaux qui sont prévus pour le printemps 2020.

Une alternative proposée en 2015 permettait de conserver le parc et ses 86 000 pieds carrés jusqu'en 2030. Cette alternative est encore possible mais l’administration se montre inflexible dans sa position. Nous déplorons l'absence de transparence de l'administration quant aux projets futurs ayant lieu sur le site du parc Canin et concernant l'avenir du parc.

Nous mettons aussi sérieusement en doute la vocation environnementaliste de Projet Montréal, par exemple: Le rajout des 400 places de stationnement sur l'arrondissement d'Outremont ou encore, la destruction des arbres matures du parc canin, d’une haie de chèvrefeuille, d’un vaste espace gazonné, d’une aire de nidification pour plusieurs espèces d’oiseaux.

Nous déplorons l'absence d'écoute des opinions et besoins citoyens.

Cette manifestation est organisée par des citoyens d'Outremont et de Montréal, bénéficiaires du parc canin d’Outremont ainsi que des résidents qui sont inquiets pour la perte de cette oasis verte. La manifestation est aussi organisée de concert avec l’association du parc canin d’Outremont.

L'administration Tomlinson a récemment renommé le parc canin parc
"Mali" alors qu'elle n'avait aucunement l'intention de le conserver.

Manifestation pour le parc canin mardi 3 septembre

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Publication : 2 septembre 2019

Outremont, ville amie des monarques

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Publication : 29 août 2019

La Fondation Suzuki a souligné les mesures prises par l’arrondissement pour la protection des papillons en reconnaissant Outremont comme Ville amie des monarques. La remise officielle a été effectuée le 26 août dernier à l’Îlot St-Viateur dans l’espace dédié à l’agriculture urbaine.

Freddy Amegavie, chargé des communications et développement pour Outremont en famille, Marie-Claude Leblanc, directrice d’arrondissement, les conseillères d’arrondissement Fanny Magini et Valérie Patreau, Julie Roy, responsable de l’engagement citoyen de la Fondation Suzuki, le maire Philipe Tomlinson et son fils, la conseillère d’arrondissement Mindy Pollak, Anne-Marie Poitras, directrice par intérim, culture, sports, loisirs et développement social, les représentantes d’Outremont en famille, Claire-Isabelle Mauffette, présidente, Ines Maurette coordonnatrice, Delphine Huvé, assistante administrative et sa fille et Yohann Rousseau, agent technique de l’arrondissement. PHOTO COURTOISIE

PHOTO ARCHIVES JOURNAL D’OUTREMONT

Outremont, ville amie des monarques

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Publication : 29 août 2019

RUELLES SANS FOI NI LOI

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Publication : 27 août 2019

Par Michel Joanny-Furtin

Que se passe-t-il dans nos ruelles ? On y observe des comportements dignes du Far-West : vitesses dangereuses, intimidation, dépôts d’ordures dans l’irrespect des règlements, etc. Que font la police et l’arrondissement en dehors des "projets pilotes" dont on parle tant et sur lesquels il semble qu’il n’y ait pas moyen de s’entendre ?

Le mardi 25 juin dernier vers 17h50, une camionnette a emprunté la ruelle parallèle à Rockland et Davaar (entre Ducharme et Van Horne) en roulant à vive allure sans ralentir et klaxonnant de façon continue pour faire fuir la douzaine d’enfants de 2 à 12 ans qui y jouaient, et ce au risque de les blesser.

Des parents témoins et voisins ont tenté de s’interposer mais n’ont reçu que mépris et doigts d’honneur du conducteur qui semblait prêt à se battre ! Reconnaissant le chauffeur, un voisin du quartier, les parents ont appelé la police. Ils ont attendu longtemps pour rencontrer les policiers qui ne sont jamais venus à leur rencontre. On a appris plus tard que des policiers s’étaient rendus chez le présumé contrevenant, mais que « celui-ci n’était pas disponible pour les recevoir » et qu’ils sont repartis bredouilles !

Un dossier tournant ?
Sans nouvelles, cinq témoins de l’incident se sont déplacés le lendemain, mercredi 26 juin, au PDQ 26, mais l’agente présente, déjà en entretien, a refusé de prendre de plainte en raison de l’heure tardive (18h15) et que le dossier était entre les mains d’une autre agente. Le jeudi 27 au matin, on apprend que le dossier a été transféré à un troisième agent, qui travaille du samedi au mardi seulement. Puis en soirée, on leur dit que ce sera un plus haut gradé qui les rappellera. Le 2 juillet soit une semaine après les faits, personne ne les a rappelés ! Et le chauffard continue de passer par la ruelle en narguant les résidents. Aucune plainte n’a pu être déposée parce que les témoins n’ont pas filmé ni mesuré la vitesse !

Plusieurs questions nous interpellent :

Depuis quand un crime doit-il être filmé pour que les enquêteurs opèrent ?
Depuis quand faut-il des radars dans les ruelles pour surveiller la vitesse ?
Depuis quand quatre agents de police se refilent le dossier avant que quelque chose se passe ?
Depuis quand sept témoignages identiques ne sauraient être pris en compte pour rencontrer - vraiment - un suspect présumé ?
Depuis quand a-t-on le droit de dire à des enquêteurs à notre porte que l’on n’est « pas disponible », sans conséquence ?

Tout cela aurait pu être géré dans l’heure par un constat d’infraction…

« Malheureusement, vous ne représentez pas le seul cas de conduite agressive dans une ruelle de l'arrondissement d'Outremont », a répondu la conseillère du district, Fanny Magini. « C'est pourquoi dès le mois de décembre dernier, nous avons mis en place un projet pilote pour sécuriser trois ruelles de l'arrondissement. » Sauf qu’un projet pilote, ce n’est pas une interpellation pour mise en danger d’autrui…

D’autres ruelles en litige…
Et que dire de la malpropreté de certains résidants au détriment de leurs voisins dans d’autres ruelles comme de l’Épée/Bloomfield. « La situation dans la ruelle de l’Épée dépasse l’entendement », ont écrit des résidants au Journal d’Outremont, mais aussi à l'ombudsman de Montréal. « Depuis le mois de juin, des résidants, identifiables par les adresses laissées sur des documents jetés, accumulent déchets, couches souillées, nourriture, déchets de construction et produits chimiques dans la ruelle et le petit parc de l’Épée. »

Des plaintes documentées avec photos/preuves ont été transmises à la ville. « Malgré ces plaintes au 311, à la ville d'Outremont et la Sécurité publique, ces mêmes résidants font de notre quartier un véritable dépotoir, quotidiennement, illégalement, allègrement, impunément… Nous payons des taxes faramineuses pour un service (…) complètement inefficace, voire inexistant ». Des nettoyages ont été faits auparavant, mais « aucune mesure ne semble avoir été prise malgré les dizaines de plaintes des voisins (311, sécurité publique, arrondissement, site internet de plainte, etc.) », conclut ce groupe de résidants.

RUELLES SANS FOI NI LOI

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Publication : 27 août 2019

Par Michel Joanny-Furtin