Ouestfest sur Laurier dès jeudi cette semaine
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- Publication : 22 août 2016
Du 25 au 27 août, les commerçants de l’avenue Laurier Ouest se mettent en mode festif pour la 3e édition du Ouestfest. [...]
Du 25 au 27 août, les commerçants de l’avenue Laurier Ouest se mettent en mode festif pour la 3e édition du Ouestfest. [...]
Historiquement, cette adresse n’a hébergé que des boucheries, depuis la célèbre boucherie chevaline France-Canada il y près 40 ans. [...]
Historiquement, cette adresse n’a hébergé que des boucheries, depuis la célèbre boucherie chevaline France-Canada il y près 40 ans.
Forts du succès que connait leur restaurant « Provisions 1268 », les propriétaires reprennent en main ce local laissé vacant par le départ de la Boucherie du Gourmand. Local, frais, de saison, ici tout est fait maison. On privilégie les petits producteurs et on ne choisit que des viandes de qualité pour fabriquer jambon et briskets, brochettes, hot-dogs, bacon et autres charcuteries. Les travailleurs du coin qui maintiennent l’habitude de venir se procurer sandwichs (maintenant sur pain de la boulangerie Hof Kelsten) et salades, peuvent désormais les consommer sur place au petit standing bar.
1142, av. Van Horne (voir carte)
514 277-7788
Accompagner les professionnels à être « moins occupés », plus efficaces et épanouis, voilà la mission que s’est donnée depuis 2009, Louise Arcand, propriétaire d’Espace Vie Emploi et coach certifiée ICF, la Fédération Internationale de Coaching. [...]
Accompagner les professionnels à être « moins occupés », plus efficaces et épanouis, voilà la mission que s’est donnée depuis 2009, Louise Arcand, propriétaire d’Espace Vie Emploi et coach certifiée ICF, la Fédération Internationale de Coaching. Portrait d’une femme d’action, pleine d’idées, et de sa profession encore toute jeune au Québec.
Louise Arcand fait partie de cette nuée de lèves-tôt à succès, qui émergent à 5 heures, sans même avoir besoin d’un réveille-matin. À l’heure du lunch, vous la croiserez sans doute en pleine session de coaching au bistro Les Enfants Terribles. Une sorte d’extension de son bureau de l’avenue Van Horne, où, si vous y entrez un jour, constaterez rapidement que ce petit bout de femme pétillante ne pourrait jamais arriver à cacher sa vraie nature. Elle aurait beau tapisser tous ses murs de diplômes en développement de carrière et autres formations connexes, son espace de travail où siège sa firme de coaching, respire la création.
Designer d’intérieur pendant près de 20 ans, Louise Arcand n’est pas une imposteur dans le quartier. À Outremont, elle a entre autres eu un atelier-boutique sur Bernard, appelé les Nuits d’Hubert. Des meubles pour enfants haut de gamme et exclusifs, qui ont d’ailleurs connus un succès fou. Fut un temps où la télévision, les magazines, en passant par une clientèle du Vermont, d’ici et d’ailleurs, s’arrachaient ses créations.
Mais malheureusement pour elle, le glas avait sonné, sans qu’elle ne sache trop quoi en faire.
« J’étais vraiment fatiguée, je ne savais pas comment développer mes affaires et je me sentais vraiment toute seule. Puis finalement, avec tous ces gens qui entraient dans ma boutique et qui étaient très occupés dans leur vie de tous les jours, je me suis rendue compte que ce n’était pas des meubles de plus dont ils avaient besoin, mais plutôt d’être écoutés et entendus. Ça m’a interpellée », indique cette mère de famille de trois enfants, qui a entamé sa transition de carrière à l’âge de 37 ans.
Performant et zen
Louise Arcand travaille autant avec des créateurs, des entrepreneurs, des gens en démarrage d’entreprise, en transition de carrière ou en préparation d’un projet de retraite qu’avec des jeunes de 16 ans; dans ce cas-ci, un peu à la façon des conseillers d’orientation, mais avec sa propre méthode de coaching et d’outils psychométriques. « Le but c’est d’amener les gens du point A au point B de façon plus rapide que si elles étaient seules », en ponctuant que « c’est très puissant le coaching! »
La coach et conseillère en développement de carrière accompagne aussi grâce à Skype, des clients venant de partout : en Belgique, à Québec, à Toronto… Et bien qu’elle admet que sa clientèle est essentiellement féminine (15% d’hommes pour 40% de travailleuses autonomes), le processus du coaching reste le même selon elle, puisqu’il s’agit « d’une dynamique entre deux personnes, où l’on travaille ensemble sur un objectif précis, où justement, l’idée numéro 1 est d’arriver à trouver l’objectif, parce que si on en n’a pas, on va nulle part. Est-ce d’augmenter mon chiffre d’affaires? De mieux gérer mon temps? D’être mieux organisé? », soulève l’auteure du guide « Les 25 secrets pour devenir une travailleuse autonome performante et zen », une mine de conseils et d’outils qui s’appliquent aussi bien pour les hommes.
Performant et zen? « En fait, c’est qu’en tant que travailleur autonome, si l’on n’est pas dans la performance, on crève de faim, on n’a pas de salaire et on n’a pas de résultats. En même temps, si l’on est toujours du côté performant, ce qui nous guette, c’est le burn-out. Donc il faut trouver l’équilibre », répond-elle, en précisant que les gens qui sont les plus performants autour d’elle sont les gens les plus disponibles. « Ce qui fait ça, c’est l’organisation! Pour arriver à être plus performant et en équilibre, une grosse partie de la clé, c’est la gestion du temps. »
D’ailleurs, selon elle, il y a beaucoup de travail à faire dans Outremont sur ce plan, puisque « c’est frappant le nombre d’entreprises qui démarrent et ferment. Je trouve qu’il n’y a pas assez de soutien offert aux jeunes entrepreneurs, que tout le monde fait sa petite affaire tout seul, et que l’on gagnerait collectivement à avoir un réseau, à co-créer et à collaborer ensemble », fait-elle remarquer. Ce qui risque fort d’arriver prochainement, puisqu’elle est déjà en train de préparer le terrain afin d’offrir des formations aux entrepreneurs du quartier. À suivre !
1290, av. Van Horne (voir carte)
514 508-8819
espacevieemploi.com
Oyez, oyez, sonnez trompettes, le spectacle va débuter sur la grande scène élisabéthaine du Festival de Stratford, avec trois grands classiques de Shakespeare dans la plus pure tradition de ce grand festival ontarien, le plus célèbre en Amérique. [...]
Ce n’est plus une nouvelle pour les habitués, le restaurant ayant fermé le 31 mars dernier. Il fallait cependant souligner les 42 années d’existence de l’unique restaurant sur l’avenue Vincent-d’Indy, l’un des rares restaurants à Outremont ayant encore pignon sur rue après tant d’années et qui a marqué des générations d’étudiants des écoles et université des environs.
Unique en son genre, le restaurant a fait l’objet d’une mention dans un mémoire de Roxanne Arsenault présenté à l’université du Québec en 2011 intitulé « Les commerces kitsch exotiques au Québec : Reconnaissance et sauvegarde d’un nouveau patrimoine». Voici en partie la description qu’elle en donne :
« … le Restaurant Percé (…) construit en 1974 afin de profiter de la clientèle étudiante du collège Saint-Nom-de-Marie, ainsi que de l'Université de Montréal. Le décor intérieur composé de tables et banquettes séparées par des divisions de bois tourné et vernis brun foncé, détient aussi plusieurs éléments rappelant la Gaspésie, allant d'une immense toile du Rocher Percé à quelques objets souvenirs de la région. Selon Georges Stamadianos, qui est de la troisième génération de propriétaires, un des premiers actionnaires, un Grec, avait fait son voyage de noces à Percé et avait bien aimé. Lorsque ce fut le temps de choisir un thème pour son nouveau restaurant, il suggéra Percé pour plusieurs raisons. Tout d'abord parce qu'il voulait un nom québécois et francophone pour le quartier francophone d'Outremont où était placé le restaurant, (…). L'entreprise est reconnue pour son approche familiale, mais aussi pour son décor en grande partie inchangé.
Le local du 9 Vincent-d’Indy fait actuellement l’objet de rénovations. Le Journal d’Outremont apprenait récemment que l’endroit allait devenir un bistro-café de qualité, dont l’ouverture est prévue au mois de septembre.
La boulangerie Au Pain Doré célèbre cette année ses 60 ans. Pour souligner cet anniversaire, la boulangerie a conçu la 1956, une baguette signature qui éveillera pour beaucoup des souvenirs gustatifs à prix d’autrefois.
La baguette sera en vedette à la boutique de la rue Laurier, angle de l’Épée, – mais aussi dans les autres succusales – le vendredi 20 mai, lors duquel elle sera vendue au prix symbolique de 25 ¢. Un prix qui rappelle l’époque de la fondation de la boulangerie, où les produits se vendaient pour une bouchée de pain !
1145, av. Laurier O. (voir carte)
514 276-0947
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Éditeur :René Soudre
Assistante-éditrice : Hélène Côté
Collaborateurs : Julie Turgeon, Viktor Lavoie, Emmanuelle Beaubien, Carla Geib
Photos : Marili Soudre-Lavoie
Administration : Hélène Lavoie
Ventes : Marili Soudre-Lavoie, René Soudre
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