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Droits d’exposition : une artiste d’Outremont s’indigne

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COURRIER DES LECTEURS
Publication : 22 mai 2015
Par Catherine Rondeau

Le Journal d'Outremont vous encourage à nous communiquer vos lettres d'opinion. La rédaction se réserve le droit d'éditer les textes qui lui sont soumis pour en faciliter la lecture et la compréhension. Ne seront retenus que les textes sur des sujets pertinents, utilisant un langage non-discriminatoire, non-injurieux et écrit dans un français correct. Le Journal d'Outremont se dégage totalement des propos publiés et n'assume aucune responsabilité quant à leur contenu. Vous pouvez nous communiquer votre missive par courriel en y indiquant votre nom et votre adresse, même si le numéro civique de celle-ci ne sera pas publié : info@journaloutremont.com. Vous pouvez réagir à un propos en cliquant sur Ajouter un commentaire.

J’écris ce texte comme on lance une bouteille à la mer…
J’écris pour dénoncer une réalité que vivent trop d’artistes au Québec.

Catherine RondeauCatherine Rondeau, artiste-photographe.

Si j’ai eu beaucoup de chance depuis mon retour à la pratique artistique en 2010, avec notamment la publication d’un livre et l’obtention de plusieurs expositions solo, je me frotte depuis quelque temps à une pratique malheureusement courante dans le milieu artistique professionnel : le non-paiement de redevances de droits d’exposition. Autrement dit, bien souvent, les artistes ne reçoivent pas un sou lorsqu’ils exposent leur œuvres.

Depuis l’automne dernier, j’ai refusé quatre offres d’exposition pour l’année 2016 de la part de diffuseurs qui n’accordent pas de redevances aux artistes : le Musée populaire de la photographie de Drummondville, le Centre culturel Stewart Hall de Pointe-Claire, la salle d’exposition de l’Entrepôt de Lachine et l’Espace Mur-Mur des Arts de la bibliothèque Georgette-Lepage de Brossard. Il s’agit de lieux de culture respectables qui pigent dans les projets déposés sur le réseau Accès Culture Montréal ou qui exigent le dépôt de dossiers d’artistes touffus (présentation de projet, texte de démarche artistique, cv, visuel, etc.). Nous ne parlons donc pas d’exposer au café du coin ou sur les murs du Commensal!

Au Regroupement des artistes en arts visuels du Québec (RAAV), on me dit que c’est une pratique courante et que la plupart des artistes acceptent quand même d’exposer sans recevoir de redevances, sans quoi ils n’exposeraient pas.

Il y a peut-être des éléments qui m’échappent, mais j’estime qu’un diffuseur culturel qui est en mesure de payer des employés pour organiser des expositions devrait aussi s’organiser pour accorder des redevances minimales aux artistes. A-t-on idée d’aller chez le dentiste ou le coiffeur, ou encore de faire appel aux services d’un plombier ou d’un électricien, sans payer d’honoraires à ces professionnels? Alors pourquoi demander aux artistes professionnels de travailler gratuitement?

Les diffuseurs me rétorquent que les artistes peuvent vendre leurs œuvres lors des expositions. Belle affaire! Car même si le travail artistique est très apprécié des visiteurs, rares sont ceux qui peuvent se permettent d’acquérir une œuvre. J’ai reçu une vingtaine de messages de personnes intéressées à m’acheter des images au cours de la dernière année, mais aucune vente n’a été conclue. C’est compréhensible; la plupart des gens qui visitent les maisons de la culture et les centres d’exposition n’ont pas les moyens d’acheter des impressions photographiques haut de gamme offertes en tirages limités. Mais en tant qu’artiste professionnelle, je me tirerais une balle dans le pied si je ne vendais pas assez cher, je perdrais toute respectabilité vis-à-vis de mes pairs… C’est pourquoi le paiement des redevances est justement si important!

Si on considère que la plupart des expositions restent en salle environ 6 semaines, et en tenant compte du temps de battement entre les expos, cela donne une moyenne de 6 expositions par année pour un lieu de diffusion. En accordant des redevances minimales de 1 000 $ par artiste, cela représente un budget annuel d’environ 6 000 $. Qu’un lieu de diffusion de la culture ne puisse pas débloquer 6 000 $ par année pour payer les artistes professionnels qu’il trie sur le volet, cela dépasse l’entendement. Même le concierge qui nettoie les planchers des salles d’exposition reçoit un salaire, lui!

Les diffuseurs qui refusent de verser des redevances se moquent bien de mes convictions, ils ont une longue liste d’artistes prêts à tout pour exposer. Pour ma part, j’estime que c’est une forme d’abus.

Un journaliste culturel réputé avec qui j’ai communiqué ce matin me demande : « Qui pourrait faire changer cette pratique? Le ministère? Une loi? Qui? » Je n’ai pas de réponse à ces questions. Mais il me semble que pour espérer changer les choses, il faut commencer par les dénoncer. C’est pourquoi je m’insurge!

Et vous, qu’en pensez-vous?



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Nos petits commerces

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COURRIER DES LECTEURS
Publication : 20 avril 2015
Par Pierre Joncas

Les petits commerces de proximité contribuent davantage à la qualité de la vie d’un quartier que les produits et les services qu’ils proposent à leurs clients. Le tissu de ces petits commerces (boulangeries pâtisseries, fruiteries, cafés, [...]

Vie de quartier +
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Nos petits commerces

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COURRIER DES LECTEURS
Publication : 20 avril 2015
Par Pierre Joncas

Le Journal d'Outremont vous encourage à nous communiquer vos lettres d'opinion. La rédaction se réserve le droit d'éditer les textes qui lui sont soumis pour en faciliter la lecture et la compréhension. Ne seront retenus que les textes sur des sujets pertinents, utilisant un langage non-discriminatoire, non-injurieux et écrit dans un français correct. Le Journal d'Outremont se dégage totalement des propos publiés et n'assume aucune responsabilité quant à leur contenu. Vous pouvez nous communiquer votre missive par courriel en y indiquant votre nom et votre adresse, même si le numéro civique de celle-ci ne sera pas publiée. : info@journaloutremont.com. Vous pouvez réagir à un propos en cliquant sur Ajouter un commentaire.

Les petits commerces de proximité contribuent davantage à la qualité de la vie d’un quartier que les produits et les services qu’ils proposent à leurs clients. Le tissu de ces petits commerces (boulangeries pâtisseries, fruiteries, cafés, salons de coiffure, friperies, et ainsi de suite) anime notre petit village enclavé dans une ville de grande taille. Ils constituent un des éléments essentiels de son « âme ».

Amour des thés

Tant la nécessité de ces petits commerces nous paraît-elle normale que leur présence nous semble appartenir à un paysage immuable. À force de revoir les visages des commerçants, des caissières, etc., ceux-ci nous deviennent familiers. Si l’on n’y prend garde, l’on s’attache à toutes ces physionomies. L’emplette devient l’occasion de remplir son sac de provisions, oui, mais aussi de moissonner d’agréables sourires. L’on s’y habitue, l’on en devient accroc.

Pourtant… Quand un commerce disparaît, fût-ce un restaurant, une librairie, une fromagerie, une papeterie, que sais-je encore, c’est un deuil. Tragédie, bien entendu, pour ceux qui doivent mettre la clé sous le paillasson et pour leurs employés; perte aussi pour tous d’un service utile facilement accessible; perte enfin, et peut-être surtout, de sourires prêts à être cueillis et d’amitiés dont on ne sentait qu’inconsciemment la bienfaisance. «Plaisirs minuscules», aurait pu écrire Philippe Delerm – mais sans trop y croire, j’imagine. Plaisirs simples, à n’en pas douter, mais si simples que seule leur disparition permet d’en apprécier l’importance et la richesse.

Des petits commerces de cette nature foisonnent à Outremont. Leur magie nous enchante, même si nous ne nous en rendons que trop rarement compte. Ils favorisent la vie sociale. Pas mondaine, sociale: ce n’est pas synonyme. Outremont est depuis trop longtemps accablé d’une réputation imméritée de snobisme qui ne disparaîtra pas. Qu’il suffise donc de bien faire et de laisser braire. Pas nécessaire de nous comparer avec ailleurs. Oui, il se trouve des snobs chez nous: mais n’y en a-t-il pas partout? Pour la plupart, les gens d’ici sont accueillants. Fiers? Sans doute, mais quel est le mal là? Orgueilleux? Non. S’il fallait résumer l’esprit, l’« âme », de ce quartier en un mot, y en a-t-il de plus apte, de plus juste que « souriant »?

Sans le nommer – ce n’est pas une réclame –, j’aimerais rendre hommage à un petit café près de mon cœur. Je le fréquente tous les jours. Tout dernièrement, ayant constaté qu’un virus m’avait rendu triste, les employées m’ont surpris avec un bouquet de tulipes. Cette délicatesse m’a ému et égayé. J’imagine que d’autres ont vécu ailleurs des expériences sinon identiques, à tout le moins comparables.

Voilà un grand attrait, pour moi, de ce village enclavé où je suis revenu, il y aura bientôt deux décennies, pour y retrouver mon enfance et ma jeunesse. Je les retrouve.



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Cabanes en…règle

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COURRIER DES LECTEURS
Publication : 4 février 2015
Par Léon Gagnon

J’ai reçu il y a quelques jours un document de l’Arrondissement portant sur les obligations relatives à la modification des bâtiments (« Liste non limitative des documents exigés lors de toute demande de Permis et de Certificat »). [...]

Règlementation +
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Cabanes en…règle

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COURRIER DES LECTEURS
Publication : 4 février 2015
Par Léon Gagnon

Le Journal d'Outremont vous encourage à nous communiquer vos lettres d'opinion. La rédaction se réserve le droit d'éditer les textes qui lui sont soumis pour en faciliter la lecture et la compréhension. Ne seront retenus que les textes sur des sujets pertinents, utilisant un langage non-discriminatoire, non-injurieux et écrit dans un français correct. Le Journal d'Outremont se dégage totalement des propos publiés et n'assume aucune responsabilité quant à leur contenu. Vous pouvez nous communiquer votre missive par courriel en y indiquant votre nom et votre adresse, même si le numéro civique de celle-ci ne sera pas publié. : info@journaloutremont.com. Vous pouvez réagir à un propos en cliquant sur Ajouter un commentaire.

Souccas

(3 février 2015) J’ai reçu il y a quelques jours un document de l’Arrondissement portant sur les obligations relatives à la modification des bâtiments (« Liste non limitative des documents exigés
lors de toute demande de Permis et de Certificat »). Pour faire une demande de modification de mon bâtiment il faudrait donc que je fournisse un grand nombre de documents, près d’une soixantaine! Cela m’amène à conclure que dans notre arrondissement on prend au sérieux la qualité de nos bâtiments et aussi la qualité du paysage qu’ils offrent à la vue. Mais toute cette règlementation n’empêche pas une importante exception: les cabanes temporaires que des membres des sectes hassidiques placent près de leur maison à chaque automne. La Cour suprême du Canada a décidé en 2004 que ces cabanes temporaires pouvaient être placées près des maisons lors d’une fête qu’on appelle Soukkot; l’argument était d’ordre religieux. Il restait alors aux pouvoirs municipaux le soin d’encadrer cette pratique afin qu’elle nuise le moins possible aux voisins.

Dans la municipalité d’Outremont, devenue par la suite un arrondissement de Montréal, on a édicté un règlement pour encadrer cette pratique.

« Règlement 1177. CHAPITRE 6. USAGES COMPLÉMENTAIRES ET BÂTIMENTS ACCESSOIRES
6.1. Usage provisoire
Nonobstant les autres dispositions du présent règlement, les usages suivants, qui sont limitatifs, sont permis de façon provisoire : (…)
- les sukkoths, durant une période maximum de quinze (15) jours. »

Au fil des années, l’administration de notre arrondissement a considéré que ce règlement était difficile à appliquer du fait qu’on n’avait pas indiqué avec précision la période où les cabanes pouvaient faire partie du paysage: quand commençait cette période et quand finissait-elle.

En octobre dernier, un nouveau règlement sur les cabanes a été soumis à la consultation publique, puis à un registre qui permettait aux citoyens de s’opposer à ce nouveau projet de règlement. Celui-ci autorise la présence des cabanes temporaires durant :

  • 3 jours ouvrables (installation des cabanes avant la fête)
  • 9 jours (durée de la fête)
  • 3 jours ouvrables (démantèlement des cabanes après la fête).

Aucun citoyen ne s’est présenté pour demander une ouverture de registre afin de contester ce règlement. Il ne reste donc qu’une seule étape légale afin de mettre en vigueur ce nouveau règlement : son adoption finale au conseil d’arrondissement d’Outremont.

Cependant un vote sur cette question n’apparaissait pas à l’ordre du jour du conseil de janvier, la mairesse Cinq-mars ayant refusé de l’ajouter. Le processus est alors figé.

Je crois qu’on doit passer à la prochaine étape, soit voter sur le projet de règlement. Il est nécessaire que l’administration de notre arrondissement ait à sa disposition un règlement clair qui lui permette d’agir dans l’encadrement des cabanes.

Dans le projet de règlement des améliorations ont été faites :

  • en précisant les jours permis afin de rendre le règlement applicable
  • en allouant un minimum de 15 jours garantis, qui excluent les fins de semaine, un avantage qui favorise les familles hassidiques qui installent ces cabanes.

Maintenant nos représentants au conseil d’arrondissement doivent conclure :

  • en adoptant ce règlement
  • en veillant à sa mise en application.

Un règlement clair, un encadrement vigilant, une très grande majorité de mes voisins constructeurs de cabanes qui respectent déjà les règles, je crois que c’est la recette pour maintenir les bonnes relations et la paix dans mon quartier.

Léon Gagnon
Citoyen d’Outremont



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Du bruit, c'est du bruit

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COURRIER DES LECTEURS
Publication : 27 janvier 2015
Par Jean Larin

Le Journal d'Outremont vous encourage à nous communiquer vos lettres d'opinion. La rédaction se réserve le droit d'éditer les textes qui lui sont soumis pour en faciliter la lecture et la compréhension. Ne seront retenus que les textes sur des sujets pertinents, utilisant un langage non-discriminatoire, non-injurieux et écrit dans un français correct. Le Journal d'Outremont se dégage totalement des propos publiés et n'assume aucune responsabilité quant à leur contenu. Vous pouvez nous communiquer votre missive par courriel en y indiquant votre nom et votre adresse, même si le numéro civique de celle-ci ne sera pas publiée. : info@journaloutremont.com. Vous pouvez réagir à un propos en cliquant sur Ajouter un commentaire.

J'habite, depuis une trentaine d'années, juste en face de la cour de récréation du Collège Stanislas. Avec ma conjointe, nous aimons voir et entendre les écoliers et collégiens s'animer pendant leurs pauses ou leurs activités sportives. Pour nous, c'est de la vie que nous trouvons généralement agréable. Et si ce voisinage grouillant et tapageur ne nous plaisait pas, il y a belle lurette que nous aurions choisi de vivre ailleurs.

École Lajoie

(26 janvier 2015) Au cours des années, il est arrivé exceptionnellement que le bruit de leurs activités dépasse la limite du supportable. Par exemple, l'été dernier un professeur de gymnastique a choisi pour accompagner son cour une musique disco diffusée par un puissant amplificateur. Les vitres chez moi en tremblaient et le bruit de cette musique rythmée transmise à fond la caisse nous interdisait en pratique toutes formes d'activité. J'ai alors traversé la rue puis j'ai interpellé le professeur responsable pour lui faire part de notre malaise. Heureusement, il nous a compris puis il a baissé le volume de sa musique et nous avons ainsi tous pu continuer à vivre normalement. Dieu merci, ce professeur n'a pas été sourd à ma demande. Si ce même type de problème se répétait et que cette fois le professeur décidait de faire le sourde oreille à ma demande, je n'aurai alors aucun recours supplémentaire si l'amendement que projette madame la mairesse Marie Cinq Mars était adopté. Son amendement a en effet pour but d'exclure comme nuisance publique tout bruit excessif émanant des cours d'école lors de festivités ou d'activités scolaires.

Madame la mairesse du bruit excessif quelque soit sa provenance, je vous l'assure, est du bruit nuisible. En changeant la règlementation pour encadrer l'exception, vous risquez de semer la pagaille là ou le bon voisinage et le dialogue entre propriétaires et écoles sont généralement la règle à Outremont.

Jean Larin
résident de l'avenue McEachran



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Du bruit, c'est du bruit

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COURRIER DES LECTEURS
Publication : 2 février 2015
Par Jean Larin

J'habite, depuis une trentaine d'années, juste en face de la cour de récréation du Collège Stanislas. Avec ma conjointe, nous aimons voir et entendre les écoliers et collégiens s'animer pendant leurs pauses ou leurs activités sportives. Pour nous, c'est de la vie que nous trouvons généralement agréable. Et si ce voisinage grouillant et tapageur ne nous plaisait pas [...]

Champs libre +
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Soixante-dix ans à l’ouvrage

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COURRIER DES LECTEURS
Publication : 11 janvier 2015

Plusieurs personnes d’Outremont ont fréquenté ce barbier de la rue Saint-Viateur, un peu à l’extérieur de l’arrondissement, et qui a maintenant pris sa retraite. Un résident d’Outremont et habitué de l’endroit a voulu lui rendre hommage. Nous publions ici intégralement ce témoignage que nous livre M. Léon Gagnon. [...]

Hommage +
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Éditeur :René Soudre
Assistante-éditrice : Hélène Côté
Collaborateurs : Julie Turgeon, Viktor Lavoie, Emmanuelle Beaubien, Carla Geib
Photos : Marili Soudre-Lavoie
Administration : Hélène Lavoie
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