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La diversité biologique sans la diversité linguistique

Détails
COURRIER DES LECTEURS
Publication : 12 décembre 2022

La Ville de Montréal est l’hôte de la quinzième conférence des parties à la Convention sur la diversité biologique (CDB) des Nations Unies. Pour l’occasion, le Conseil jeunesse de Montréal (CjM) a été invité à participer à cet événement. [ + ]

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La diversité biologique sans la diversité linguistique

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COURRIER DES LECTEURS
Publication : 12 décembre 2022

Le Journal d'Outremont vous encourage à nous communiquer vos lettres d'opinion. La rédaction se réserve le droit d'éditer les textes qui lui sont soumis pour en faciliter la lecture et la compréhension. Ne seront retenus que les textes sur des sujets pertinents, utilisant un langage non-discriminatoire, non-injurieux et écrit dans un français correct. Le Journal d'Outremont se dégage totalement des propos publiés et n'assume aucune responsabilité quant à leur contenu. Vous pouvez nous communiquer votre missive par courriel en y indiquant votre nom et votre adresse. Nous publierons le nom du signataire de la lettre mais non son adresse. Les lecteurs pourront réagir à un propos en cliquant sur Ajouter un commentaire.


La Ville de Montréal est l’hôte de la quinzième conférence des parties à la Convention sur la diversité biologique (CDB) des Nations Unies. Pour l’occasion, le Conseil jeunesse de Montréal (CjM) a été invité à participer à cet événement. Malgré les nombreuses critiques qui sont adressées à la COP15, les membres y ont vu une opportunité de faire entendre les préoccupations de la jeunesse pour qui la crise environnementale est un enjeu central.

Conscient que cet enjeu en est un qui suppose un changement de paradigme à l’échelle internationale, le CjM était enthousiaste à l’idée de bâtir des ponts avec des actrices et des acteurs de la transition écologique à travers le monde. Fier de voir notre ville être l’hôte de cet évènement, le Conseil a toutefois été navré de constater le manque de considération du Secrétariat de la Convention sur la diversité biologique à l’égard de la langue locale.

En effet, la convocation principale transmise le 30 novembre 2022 destinée aux participant-es ainsi que d’autres invitations subséquentes étaient uniquement rédigées en anglais, tout comme le contenu des hyperliens joints à ces courriels. Nous avons d’ailleurs constaté avec consternation que l’ensemble du site web de l’événement est uniquement disponible en anglais (https://www.cbd.int/conferences/2021-2022). Il en va de même pour la grande majorité des visuels une fois sur les lieux (il suffit d’ailleurs de consulter les photos de l’événement pour le constater).

Nous reconnaissons que le Secrétariat de la Convention sur la diversité biologique est un organe international et que l’anglais est considéré comme la langue des communications à l’échelle internationale. Or, nous considérons qu’il est de la responsabilité de ce Secrétariat de faire preuve de considération à l’égard de la culture locale en fournissant notamment des informations traduites dans la langue officielle de la ville hôte, à savoir le français. Nous considérons également qu’il relève de la responsabilité de la Ville de Montréal de s’assurer qu’un événement d’intérêt public d’une telle ampleur se déroulant sur son territoire soit minimalement accessible aux locutrices et locateurs du français, seule langue officielle de Montréal.

Soulignons d’ailleurs qu’à l’occasion de la Journée internationale de la langue maternelle du 21 février 2022, Movses Abelian, Secrétaire général adjoint chargé des affaires de l’Assemblée générale et Coordonnateur pour le multilinguisme des Nations Unies, affirmait que « le monolinguisme peut cloisonner et ériger des murs entre groupes linguistiques distincts ».

M. Fekitamoeloa ‘Utoikamanu, Secrétaire général adjoint et Haut-Représentant pour les pays les moins avancés, les pays en développement sans littoral et les petits États insulaires en développement des Nations Unies, rappelait pour sa part que de nombreuses études montrent qu’« il existe un lien très étroit entre la biodiversité et la diversité linguistique ».

À cela, ajoutons que de nombreux penseurs ont déjà théorisé l’impossibilité de revoir notre relation à la nature sans en même temps questionner les rapports de domination culturels, politiques, économiques et sociaux. Dans son essai Écologie sociale, récemment traduit en français, Murray Bookchin écrivait d’ailleurs : « Parvenir à notre pleine humanité est un problème social, qui dépend de changements institutionnels et culturels fondamentaux : ne pas le voir, c’est réduire l’écologie à la zoologie et faire de toute tentative de réaliser une société écologique une chimère » (Bookchin, 2020 : 15).

La question nous semble alors légitime : comment se fait-il qu’un organisme tel que le Secrétariat de la Convention sur la diversité biologique qui lutte en faveur de la biodiversité ne soit pas en mesure de reconnaître la particularité linguistique de la Ville de Montréal, plus grande métropole francophone en Amérique ?

Le CjM est également préoccupé de constater que la Ville de Montréal n’a pas su saisir l’opportunité d’affirmer son caractère distinct face à une organisation prétendument sensible à ce genre d’enjeux. La Ville a non seulement perdu une occasion de se positionner face à l'enjeu actuel qui touche la francophonie à l’échelle internationale, mais elle n’a pas non plus su montrer aux générations futures qu’elle était en mesure d’incarner le caractère holistique des enjeux contemporains.

À l’occasion d’un événement qui avait pour but de trouver des solutions à l’extinction massive de la diversité du vivant, la Ville de Montréal ainsi que le Secrétariat de la Convention sur la diversité biologique se sont donc inscrits dans une logique hégémonique qui nuit à l’effort en faveur de la diversité linguistique et culturelle. Le fait qu’ils se soient montrés incapables de reconnaître qu’il y a là matière à problème nous laisse malheureusement présager de l'inefficacité du processus qu’ils tentent d’entreprendre.

Il a dès lors semblé primordial aux membres du CjM de rappeler que la lutte à la crise climatique ne peut être traitée indépendamment des luttes mondiales en faveur de la diversité linguistique et culturelle.

Myriam Boileau et Pascal-Olivier Dumas-Dubreuil ainsi que tous les membres du Conseil jeunesse de Montréal



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Une coupe-à-blanc sur le mont Royal

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COURRIER DES LECTEURS
Publication : 8 novembre 2022
Par Roxane Girard, Véronique Wong Keet et Pierre Girard

Le 21 octobre 2022, la ville de Montréal a procédé à une coupe-à-blanc sur un flanc du Mont-Royal, plus précisément au parc Tiohtià:ke Otsira’kéhne, situé à l’arrière du CEPSUM de l’Université de Montréal. [ + ]

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Une coupe-à-blanc sur le mont Royal

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COURRIER DES LECTEURS
Publication : 8 novembre 2022
Par Roxane Girard, Véronique Wong Keet et Pierre Girard

Le Journal d'Outremont vous encourage à nous communiquer vos lettres d'opinion. La rédaction se réserve le droit d'éditer les textes qui lui sont soumis pour en faciliter la lecture et la compréhension. Ne seront retenus que les textes sur des sujets pertinents, utilisant un langage non-discriminatoire, non-injurieux et écrit dans un français correct. Le Journal d'Outremont se dégage totalement des propos publiés et n'assume aucune responsabilité quant à leur contenu. Vous pouvez nous communiquer votre missive par courriel en y indiquant votre nom et votre adresse. Nous publierons le nom du signataire de la lettre mais non son adresse. Les lecteurs pourront réagir à un propos en cliquant sur Ajouter un commentaire.


Le 21 octobre 2022, la ville de Montréal a procédé à une coupe-à-blanc sur un flanc du Mont-Royal, plus précisément au parc Tiohtià:ke Otsira’kéhne, situé à l’arrière du CEPSUM de l’Université de Montréal. La cicatrice qui marque dorénavant les lieux est dégoutante et d’une grande tristesse.

Il avait là, auparavant, des bosquets de verdure constitués d’arbres, d’arbustes de différentes essences et de nombreuses sortes de plantes. Tout au long de la belle saison, floraisons et petits fruits y encourageaient la présence d’oiseaux variés et nombreux. Tout cela créait une enclave de végétation baignant dans la paix et l’harmonie. La coupe-à-blanc a tout détruit.

Que visait le brillant fonctionnaire municipal qui a ordonné ce saccage? Était-ce « d’ouvrir une vue » sur le nord-ouest de la ville pour que le visiteur puisse bien admirer la laideur des édifices à l’horizon et le halo de pollution recouvrant la région? Cela était pourtant déjà possible, pour qui se déplaçait vers le promontoire un peu plus loin. Et puis, le charme de l’endroit résidait justement dans le fait que le promeneur pouvait oublier la ville en se reconnectant à la nature.

Quelles sont les explications fallacieuses que nous serviront les responsables de ce gâchis insensé pour tenter de le justifier? Pourquoi tant d’inconscience eu égard au Mont-Royal, alors qu’il faudrait plutôt le respecter et le protéger?




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Avancée de la démocratie à Outremont

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COURRIER DES LECTEURS
Publication : 24 août 2022
Par Marc Poulin

La présente est en réplique au billet de Mme Diane Shea publié le 17 août dernier. Ce billet est rempli de tellement d’inexactitudes que je me suis senti obliger de prendre la plume pour rétablir les faits. [ + ]

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Avancée de la démocratie à Outremont

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COURRIER DES LECTEURS
Publication : 24 août 2022
Par Marc Poulin

Le Journal d'Outremont vous encourage à nous communiquer vos lettres d'opinion. La rédaction se réserve le droit d'éditer les textes qui lui sont soumis pour en faciliter la lecture et la compréhension. Ne seront retenus que les textes sur des sujets pertinents, utilisant un langage non-discriminatoire, non-injurieux et écrit dans un français correct. Le Journal d'Outremont se dégage totalement des propos publiés et n'assume aucune responsabilité quant à leur contenu. Vous pouvez nous communiquer votre missive par courriel en y indiquant votre nom et votre adresse. Nous publierons le nom du signataire de la lettre mais non son adresse. Les lecteurs pourront réagir à un propos en cliquant sur Ajouter un commentaire.


La présente est en réplique au billet de Mme Diane Shea publié le 17 août dernier. Ce billet est rempli de tellement d’inexactitudes que je me suis senti obliger de prendre la plume pour rétablir les faits.

Mme Shea tente ici de semer de la désinformation sur les modifications proposées par l’équipe du Maire Desbois sur le déroulement des séances du conseil. Ces propositions, portent principalement sur trois points :

1- Limiter le temps de parole pour le Maire et les conseillères à cinq minutes en début de séance afin de passer plus rapidement à la période de questions des citoyens
2- Permettre aux citoyens de poser une question et de pouvoir poursuivre avec une question subsidiaire, droit que techniquement les citoyens n’avaient pas dans le présent règlement, et que Mme Patreau a récemment utilisé pour ne pas avoir à élaborer sur ses réponses lapidaires.
3- Exiger que les motions des élus soient déposées 7 jours à l’avance pour qu’elles fassent l’objet d’un débat lors de la séance du conseil. Ceci a pour but que chaque membre du conseil ait eu le temps nécessaire pour en faire l’analyse et ainsi faciliter les discussions. Cela évite les motions surprises déposées avec, comme seul but, la manœuvre politique.

Notons que ces balises sont en vigueur dans de nombreux arrondissements de Montréal et à la Ville centre.

Contrairement à ce que Mme Shea affirme, ces propositions n’empêchent aucunement « les conseillères d’ajouter un point à l’ordre du jour ». Il est également faux d’affirmer que « les élues doivent avoir son contrôle et accord préalable pour déposer des motions alors que c’est lui qui détermine les ordres du jour du conseil ». L’ordre du jour du conseil continuera d’être voté à la majorité des membres du conseil, y inclus la possibilité d’y ajouter des points nouveaux. De plus, une motion déposée dans les délais sera automatiquement à l’agenda.

Mme Shea se surpasse lorsqu’elle affirme que l’ex-Maire Tomlinson « supprimé certaines des limites à l’intervention des citoyens afin d’étendre la démocratie, y compris mettre fin à la pratique consistant à couper le micro des citoyens et des conseillères ». On parle ici du même M. Tomlinson qui avait fait voter un règlement pour chasser certains citoyens du conseil pour une période indéterminée, qui a expulsé de nombreux citoyens du conseil, qui a continuellement insulté et coupé le droit de parole au conseiller Corbeil, etc… Mme Shea oublie aussi de noter que M. Desbois permet aux conseillères de s’exprimer avant le vote sur chaque motion, ce qui était la plupart du temps proscrit par M Tomlinson qui coupait souvent le micro à M. Corbeil. Quiconque a suivi le déroulement des séances du conseil sous Projet Montréal comprend que Mme Shea est aveuglée par sa partisannerie.

Pour le reste, Mme Shea reprend le procès d’intention que Mme Patreau a fait à M. Desbois quant aux prétendues motivations misogynes de ce dernier comme motivation première de ces nouveaux règlements. Mme Patreau parle même d’un patriarcat d’une autre époque! Pourtant le Maire s’est imposé les mêmes limites de temps que pour les conseillères!

En fait, loin d’être un recul pour la démocratie, ces mesures encadrent celle-ci à l’intérieur de paramètres respectueux afin de favoriser la participation citoyenne, les débats constructifs et la minimisation du recours à la petite politique partisane. C’est, il est vrai, une autre façon d’entrevoir la démocratie que celle à laquelle nous avait habituée Projet Montréal.

Le citoyen en sort gagnant.

Marc Poulin




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Recul de la démocratie à Outremont

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COURRIER DES LECTEURS
Publication : 17 août 2022
Par Diane Shea

Le Journal d'Outremont vous encourage à nous communiquer vos lettres d'opinion. La rédaction se réserve le droit d'éditer les textes qui lui sont soumis pour en faciliter la lecture et la compréhension. Ne seront retenus que les textes sur des sujets pertinents, utilisant un langage non-discriminatoire, non-injurieux et écrit dans un français correct. Le Journal d'Outremont se dégage totalement des propos publiés et n'assume aucune responsabilité quant à leur contenu. Vous pouvez nous communiquer votre missive par courriel en y indiquant votre nom et votre adresse. Nous publierons le nom du signataire de la lettre mais non son adresse. Les lecteurs pourront réagir à un propos en cliquant sur Ajouter un commentaire.


Le maire d’Outremont, M. Desbois a récemment proposé des modifications aux règles d’intervention lors du conseil. Il semblerait que le maire trouve que les élues conseillères d’arrondissement parlent trop longtemps et déposent trop de motions lors des séances. Il limite donc le temps d’intervention et la possibilité des conseillères d’ajouter un point à l’ordre du jour notamment pour déposer une motion.

La conseillère Valérie Patreau a écrit sur Facebook : « C’est une façon de nous museler et de nous infantiliser ». Il est en effet évident que ce que propose M. Desbois est un recul de la démocratie. M. Desbois dit que d'autres arrondissements ont de telles limites, mais pourquoi Outremont devrait-il suivre les arrondissements avec des règles moins démocratiques, plutôt que continuer d’être un exemple de débat ouvert et transparent ?

Il est impossible de ne pas remarquer que M. Desbois est le seul homme du conseil. Avec ses propositions, les quatre élues doivent avoir son contrôle et accord préalable pour déposer des motions, alors que c’est lui qui détermine les ordres du jour du conseil. Comme on le voit trop souvent, les droits des femmes peuvent être fragiles. C’est pourquoi il est très important de donner aux femmes une voix en politique et de soutenir leurs efforts et certainement pas de réduire leur pouvoir.

Lorsque Philipe Tomlinson a été élu maire, il a supprimé certaines des limites à l'intervention des citoyen.ne.s afin d'étendre la démocratie, y compris mettre fin à la pratique consistant à couper le micro des citoyen.ne.s et des conseillers-ères. Est-ce que maintenant M. Desbois trouve les séances du conseil trop fatigantes, ou est-ce qu’il n'apprécie pas les contributions de nos élues conseillères au sein de notre arrondissement ? Pourquoi s'octroie-t-il plus de pouvoir ?

Les citoyens et citoyennes d'Outremont doivent être vigilants face à toute tentative de réduire le débat démocratique. Les modifications proposées par M. Desbois constituent un recul de la démocratie à Outremont.

Diane Shea
Outremont



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Recul de la démocratie à Outremont

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COURRIER DES LECTEURS
Publication : 17 août 2022
Par Diane Shea

Le maire d’Outremont, M. Desbois a récemment proposé des modifications aux règles d’intervention lors du conseil. Il semblerait que le maire trouve que les élues conseillères d’arrondissement [ + ]

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L’avenue Bernard piétonne; vraiment ?

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COURRIER DES LECTEURS
Publication : 13 juillet 2022
Par Hubert Sacy

Le Journal d'Outremont vous encourage à nous communiquer vos lettres d'opinion. La rédaction se réserve le droit d'éditer les textes qui lui sont soumis pour en faciliter la lecture et la compréhension. Ne seront retenus que les textes sur des sujets pertinents, utilisant un langage non-discriminatoire, non-injurieux et écrit dans un français correct. Le Journal d'Outremont se dégage totalement des propos publiés et n'assume aucune responsabilité quant à leur contenu. Vous pouvez nous communiquer votre missive par courriel en y indiquant votre nom et votre adresse. Nous publierons le nom du signataire de la lettre mais non son adresse. Les lecteurs pourront réagir à un propos en cliquant sur Ajouter un commentaire.


Durant l’été, l’avenue Bernard est, du moins en partie, réservée aux piétons et aux clients attablés des restaurants.


Des panneaux bien en vue demandent aux cyclistes de descendre de leurs vélos sur ces segments de rue.

Petite statistique : en une heure et demie, bien comptée, 139 cyclistes, plusieurs roulant à pleine vitesse, ont fait fi de cette indication et seulement 2 l’ont respectée. Et on viendra nous parler de civisme…

Ou bien cette signalisation n’a pas sa raison d’être et dans ce cas, il faut l’enlever. Ou alors elle est nécessaire et dans ce cas, il faut la faire appliquer.

Mais pour le moment, elle est inutile.

Hubert Sacy
Outremont



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L’avenue Bernard piétonne; vraiment ?

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COURRIER DES LECTEURS
Publication : 13 juillet 2022
Par Hubert Sacy

Durant l’été, l’avenue Bernard est, du moins en partie, réservée aux piétons et aux clients attablés des restaurants. [ + ]

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