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Louise Lapointe, l’infatigable

Détails
LES GRANDS OUTREMONTAIS
Publication : 14 mars 2017
Par Hélène Côté

Sa feuille de route est impressionnante. L'infatigable Louise Lapointe, fondatrice de Casteliers, semble réussir tout ce qu'elle entreprend. Dans l’univers incertain de la pérennité des arts, son parcours et ses réalisations tiennent de l'exploit. [...]

Portrait +
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Louise Lapointe, l’infatigable

Détails
LES GRANDS OUTREMONTAIS
Publication : 14 mars 2017
Par Hélène Côté

Sa feuille de route est impressionnante. L'infatigable Louise Lapointe, fondatrice de Casteliers, semble réussir tout ce qu'elle entreprend. Dans l’univers incertain de la pérennité des arts, son parcours et ses réalisations tiennent de l'exploit. À la tête du succès de Casteliers depuis 12 ans, elle est un acteur majeur dans l'avènement de la Maison internationale des arts de la marionnette (MIAM) à Outremont, la première du genre au Canada. Plus récemment, elle accède au Conseil exécutif de UNIMA, Union international de la marionnette, créée à Prague en 1929 et partenaire de l'UNESCO. On lui confie la Commission des Festivals internationaux pour les quatre prochaines années. Portrait d'une puissance tranquille.

Louise Lapointe de passage au bureau du Journal d’Outremont. PHOTO LE JOURNAL D’OUTREMONT

Il y eut un commencement
« C'est d'abord le travail de la matière qui m'a séduite », dit-elle d'entrée de jeu. Les arts plastiques et la fabrication de masques à l'Université Laval, puis la technique et la production en théâtre à Ryerson (Ontario), la fabrication de marionnettes à l'École nationale des arts de la marionnette à Charleville-Mézières en France, et le perfectionnement dans la fabrication de marionnettes à Prague, elle a gravi un à un les échelons du savoir-faire. Sa rencontre avec le pionnier d'origine allemande de la marionnette moderne, Felix Mirbt, a été déterminante. « J'ai été éblouie! » ajoute-t-elle avec enthousiasme. Le voir travailler, ça été une découverte à tous points de vue. »

De nombreuses réalisations artistiques
Elle mettra son talent et ses connaissances à exécution dans la conception et la fabrication de masques, de costumes et de décors pour une trentaine de productions du Conservatoire d'art dramatique de Montréal et de nombreuses compagnies théâtrales au Québec, en Ontario et en France. En 2005, le Théâtre Outremont lui demande de monter une programmation pour les enfants durant la relâche scolaire. Les Casteliers prenaient leur envol dans la diffusion des arts de la marionnette. Depuis 12 ans, le festival annuel des Casteliers accroit son rayonnement sur la scène du Théâtre Outremont, avec la présentation d'artistes venus de partout dans le monde mais nous fait aussi connaître aussi les marionnettistes de chez nous.

L'arrière-scène du succès
« L'union fait la force », elle y tient et y revient sans cesse. Nous faisons un travail d'équipe, c'est notre succès ». Elle partage la direction générale de Casteliers avec Catherine Renaud, directrice de production. Un solide partenariat unit l'entreprise avec l'arrondissement, la bibliothèque Robert-Bourassa, le Théâtre Outremont. Des liens solides se tissent avec les associations de marionnettistes d'ici et d'ailleurs. Des partenaires publics ainsi que des entreprises privées participent au financement et les commerces d'Outremont offrent leur vitrine aux marionnettes durant le festival. L'aptitude de cette rassembleuse à s'entourer et à gagner la confiance est remarquable.

« Le temps détruit ce qui est fait sans lui », la puissance du travail et du temps, elle aime à se le répéter, est essentielle. Il faut en mettre de l'énergie pour que ça fonctionne. Loin d'être du temps perdu, c'est avec une pierre puis une autre qu'on bâtit un édifice, celui de la réussite, comme ce fut le cas pour ses projets antérieurs. Elle rappelle que les entreprises culturelles sont portées à bout de bras par de petites équipes, le travail est énorme et repose sur peu d'épaules.

Après ma rencontre avec Louise Lapointe, j'en suis venue à la conclusion que sa réussite tient d'abord à la passion qu'elle cultive pour l'art de la marionnette depuis 35 ans. Un amour immense qui rejaillit sur ses partenaires et ceux avec qui elle travaille. Elle tient certainement aussi au bonheur de vivre ensemble, artistes, petits et grands admirateurs, sur la planète poétique des marionnettes, le temps d'un spectacle.



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DANS L’OMBRE DES POLITICIENS, un portrait de Diane Phaneuf

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LES GRANDS OUTREMONTAIS
Publication : 24 août 2016
Par Julie Turgeon

Engagée et féministe, plus jeune, elle aurait aimé être ministre de la condition féminine. Mais sa carrière l’a menée à travailler un peu dans l’ombre. Investie dans le monde politique pendant plus de 25 ans, Diane Phaneuf a entre autres côtoyé de près les députés [...]

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DANS L’OMBRE DES POLITICIENS, un portrait de Diane Phaneuf

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LES GRANDS OUTREMONTAIS
Publication : 24 août 2016
Par Julie Turgeon

Engagée et féministe, plus jeune, elle aurait aimé être ministre de la condition féminine. Mais sa carrière l’a menée à travailler un peu dans l’ombre. Investie dans le monde politique pendant plus de 25 ans, Diane Phaneuf a entre autres côtoyé de près les députés fédéraux libéraux d’Outremont Lucie Pépin, Martin Cauchon et Jean Lapierre, en tant que conseillère politique et directrice de bureau de comté pendant 15 ans. Le Journal d’Outremont a rencontré cette jeune retraitée cet été.

Avec Jean Lapierre en 2006.

Diane Phaneuf a un air de vacances. Elle revient à peine d’un voyage en bord de mer aux États-Unis. Mais elle dégage aussi une impression que quelque chose d’emballant habite sa pensée. En effet, elle révèlera plus tard que son mari et elle viennent tout juste de signer ce matin même l’offre d’achat de leur maison de campagne dans les Cantons-de-l’Est.

Alors que depuis environ un an, elle peut s’offrir le luxe de passer un après-midi complet à lire des romans historiques, comme ceux de Ken Follett dont elle raffole, et que tout récemment elle rêve d’avoir un canot pour prendre le large, l’exercice de faire un retour sur sa carrière aujourd’hui, en est un de mémoire. Comme si tout ça était déjà bien loin derrière, laissera-t-elle entendre à quelques reprises pendant l’entretien. À l’évidence, le rythme effréné des soupers-spaghetti qu’elle a longtemps tenu, est bel et bien chose du passé !

Ses premiers pas en politique
Elle les a faits alors qu’elle était encore étudiante en science politique, à titre d’attachée aux communications au sein du Parti libéral du Québec en 1979. « Je n’étais pas issue d’une famille qui était dans le milieu comme tel, mais j’étais féministe et engagée socialement; à l’école, j’étais présidente de ma classe, et j’étais déjà une jeune idéaliste, impliquée dans la Commission des femmes — puis j’ai commencé au parti, j’ai connu le référendum du Québec… et j’ai beaucoup aimé, alors j’ai voulu continuer », raconte celle qui a été conseillère politique de cinq députés libéraux, au provincial et au fédéral, au cours de sa carrière, c’est-à-dire Lucie Pépin, Henri-François Gautrin, Martin Cauchon, Jean Lapierre et Marlene Jennings. Soit près de 25 ans dans les coulisses du pouvoir.

Avec Martin Cauchon en 2008

Sachant cela et peut-être parce que la série House of Cards nous a bien gâtés ces dernières années, même si cela reste de la fiction, il est facile de s’imaginer que Mme Phaneuf en connait un rayon sur le sujet. Mais non, impossible de lui soutirer quelconque histoires sur la vie politique, ni même de lui faire commenter quoi que ce soit sur la Commission Gomery, une enquête qu’elle a tout de même vécu de l’intérieur. Son droit de réserve est béton, et la vérité selon elle, c’est « qu’il n’y a rien à cacher », et « que j’ai travaillé avec des gens qui étaient pour moi très engagés, très honnêtes et très, très bien. »

Mais Mme Phaneuf arrivera tout de même à confier de manière générale par la suite que « c’est sûr que moi quand j’ai commencé ce n’était pas aussi difficile que ce ne l’était les dernières années », faisant référence à la population qui a une perception beaucoup plus sévère envers ses politiciens aujourd’hui, à son sens; en citant brièvement l’exemple du bureau de Martin Cauchon, alors ministre de la Justice, qui avait été la cible d’un vandale en 2003.

« Mais quand on travaille dans ce milieu, on ne généralise pas tout: on voit les choses différemment », souligne-t-elle, en abordant le fait que la politique c’est aussi beaucoup de travail de terrain, qui, par la force des choses, sensibilise à diverses réalités.

Avec Lucie Pépin en 1988.

Avec la député Lucie Pépin, une ancienne infirmière, et avec qui elle a commencé sa carrière de conseillère politique dans les années 80, ça a été entre autres l’importance de l’engagement sur le plan médical; avec certains groupes communautaires, la lutte contre les logements sociaux exécrables; puis avec le député Martin Cauchon, aujourd’hui propriétaire du groupe de presse Capitales Médias, et avec qui elle a travaillé pendant plus de dix ans, le soutien notamment de l’organisme Jeunesse au Soleil, pour les familles dans le besoin.

Diane Phaneuf, une éminence grise?
« Oui, on a toujours une certaine influence quand on travaille avec quelqu’un, mais comme cette personne a de l’influence sur nous », nuance-t-elle. Dans ce métier, « tu es les oreilles du député lorsque les citoyens appellent au bureau. Le député, c’est un peu un ombudsman du comté. On est conscients des gens autour de nous, des problèmes sociaux… Il y en a de la pauvreté, il y en a de la discrimination; j’en ai vu des gens qui sont démunis face à des dossiers qu’ils ont avec le gouvernement et que même s’ils sont très instruits n’arrivent pas à se démêler dans tout ça. C’est pourquoi le rôle de l’attaché politique est important, pour aider les gens et les faire cheminer. »

Et il reste que dans ce métier, rien n’est acquis selon elle. « Quand tu es attachée politique, même si tu es employée de la Chambre des communes, avec les mêmes avantages que certains fonctionnaires, tu n’as aucune sécurité d’emploi. Si ton député part, ou perd, tu peux te retrouver sans emploi. » Et à cela, Mme Phaneuf ajoute aussi que dans la vie, quand on commence à perdre du monde, ça créé un vide immense et c’est d’une tristesse, évoquant son ami et collègue, le coloré Jean Lapierre, dont le décès à créé une onde choc au Québec cette année.

Outremontaise depuis plus de 30 ans, Mme Phaneuf qui a été présidente de l'Association libérale fédérale de son arrondissement pendant plusieurs années jusqu’en 2014, continue de s’engager socialement, en tant que membre active de la Commission des femmes du PLC, du comité de jumelage du quartier et celui du financement du Théâtre d’Outremont notamment. Mais en l’écoutant parler de tous ses projets de voyages aujourd’hui, force est de constater que sa place n’est plus dans l’ombre, mais certainement bien au soleil !



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Une Outremontaise gastronome honorée

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LES GRANDS OUTREMONTAIS
Publication : 22 février 2016
Par René Soudre

Mme Rollande Desbois a été nommée au sein de l’Ordre du Canada le 12 février dernier pour son apport à la diffusion et à l’évolution de la culture culinaire québécoise par son enseignement et ses écrits.

« Je suis très touchée et honorée de recevoir l’une des plus prestigieuses distinctions honorifiques de notre pays » précise humblement madame Desbois.

Laurea ArielSon Excellence le très honorable David Johnston, gouverneur général du Canada a annoncé le 12 février 2016 les nouvelles nominations au sein de l’Ordre du Canada incluant madame Rollande Desbois, C.M., à titre de membre.

Formée à l’École Cordon Bleu de Londres, Angleterre, Rollande Desbois a complété ses études par de nombreux stages de formation en France et en Italie. Elle a consacré près de 35 ans de sa carrière à l’enseignement de la fine cuisine en Europe et au Canada. À Montréal, elle a enseigné à des amateurs gastronomes à l’Institut de tourisme et d’hôtellerie du Québec, 1979-1989 ainsi qu’à l’Institut national des viandes de 1979 à 1985 et à l’Académie culinaire de Montréal pendant plus de 15 ans. Chroniqueuse en gastronomie, elle a collaboré à plusieurs magazines dont Châtelaine, La Barrique, Sel et Poivre, Vins & vignobles et Intercourrier. Aujourd'hui, elle est éditrice du site Web : www.rollande-desbois.riaq.ca

Elle a été récipiendaire, en 1989, du grade de Chevalier du Mérite agricole français décerné par le Ministre français de l’agriculture, pour sa contribution à la gastronomie québécoise et française. Au printemps 2007, elle a été promue au rang d’Officier du Mérite agricole français. En 1996, elle est aussi récipiendaire, à Parme, en Italie, du 2ième prix, au Concours international de journalisme gastronomique. La Société des chefs cuisiniers et pâtissiers du Québec de concert avec L’Alliance des femmes professionnelles des métiers de bouche crée le Prix Reconnaissance Rollande Desbois en mai 2013.

Mme Desbois est aussi l’auteur de plusieurs livres de recettes et de gastronomie.



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Une artiste d’ici médaillée à Bucarest

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LES GRANDS OUTREMONTAIS
Publication : 22 février 2016
Par René Soudre

Mme Jeanne Auclair, artiste-peintre renommée, s’est vue décerner une double reconnaissance de son art à la 42e exposition internationale du Cercle des Artistes peintres et sculpteurs du Québec (CAPSQ) à Bucarest en Roumanie. [...]

Arts +
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Une artiste d’ici médaillée à Bucarest

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LES GRANDS OUTREMONTAIS
Publication : 22 février 2016
Par René Soudre

Mme Jeanne Auclair, artiste-peintre renommée, s’est vue décerner une double reconnaissance de son art à la 42e exposition internationale du Cercle des Artistes peintres et sculpteurs du Québec (CAPSQ) à Bucarest en Roumanie.

Mme AuclairMme Auclair dans les bureaux du journal d’Outremont avec l’œuvre gagnante intitulée « Paix ».

Mme Auclair, une résidante d’Outremont, a reçu du président d’honneur du comité officiel roumain, le Prince Serban Dimitrie Sturdza, un diplôme d’honneur pour sa contribution à la promotion de l’art de son pays sur la scène internationale, puis la médaille d’or en art contemporain pour son oeuvre intitulée « Paix ». 115 œuvres de 79 artistes québécois, canadiens et européens ont été présentées à cette exposition internationale qui a eu lieu à l’automne 2015.

www.capsq.qc.ca



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Une Outremontaise gastronome honorée

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LES GRANDS OUTREMONTAIS
Publication : 22 février 2016
Par René Soudre

Mme Rollande Desbois a été nommée au sein de l’Ordre du Canada le 12 février dernier pour son apport à la diffusion et à l’évolution de la culture culinaire québécoise par son enseignement et ses écrits. [...]

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DES HONNEURS POUR FRANÇOIS BEAUDIN

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LES GRANDS OUTREMONTAIS
Publication : 30 mars 2015

M. François Beaudin de la Société d’Histoire d’Outremont sera honoré lors du banquet du Congrès du 50e anniversaire de la Fédération des sociétés d'histoire du Québec (FHQ) le 16 mai prochain qui se tiendra à Rivière-du-Loup. [...]

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Des honneurs pour François Beaudin

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LES GRANDS OUTREMONTAIS
Publication : 30 mars 2015

Communiqué version abrégée 30 mars 2015

M. François Beaudin de la Société d’Histoire d’Outremont sera honoré lors du banquet du Congrès du 50e anniversaire de la Fédération des sociétés d'histoire du Québec (FHQ) le 16 mai prochain qui se tiendra à Rivière-du-Loup.

Francois Beaudin

François Beaudin a été archiviste de la Ville de Québec (1970-1972), puis de l’Université de Montréal (1972-1976), il devint Conservateur des Archives nationales du Québec (1976-1980) et, durant la dernière année, sous-ministre adjoint (archives, musées et patrimoine). Durant cette période, il enseigna l’archivistique dans le réseau collégial et universitaire du Québec, fut membre fondateur de l’Association des Archivistes du Québec et fonda la revue Archives, organe de l’Association.

De 1980 à 1985, il présida la Commission de toponymie du Québec ; de 1985 à 1999, il fut successivement cadre au bureau du président de l’Office de la langue française, secrétaire général adjoint de l’Organisation universitaire interaméricaine et secrétaire général du Conseil québécois du Patrimoine vivant.

À sa retraite, déménagé à Outremont, en 1999, et devenu marguillier de Saint-Viateur en 2002, il en est devenu l’archiviste bénévole depuis 2010 et y a rédigé plusieurs brochures : 90e anniversaire de l’église Saint-Viateur (2003) ; La chapelle baptismale ou baptistère (2005) ; Guide visuel de l’église (2007) ; Commémoration (1910-1920) du 21e congrès eucharistique international (Montréal, sept. 1910). Il a aussi coordonné la rédaction, en juillet 2006, d’un Mémoire sur l’église et la paroisse Saint-Viateur-d’Outremont.

Le 18 janvier 1964 lors d'une réunion préparatoire à la fondation d'une fédération de sociétés historiques régionales au Québec, M. François Beaudin alors archiviste à l'archevêché de Montréal, secrétaire de la Société historique de l'Île Jésus et directeur de la Société historique de Boucherville, a été élu secrétaire du Conseil exécutif provisoire de la future FHQ.
M. Beaudin serait le seul survivant de ce Conseil fondateur qui comprenait 9 membres.



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Éditeur :René Soudre
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Administration : Hélène Lavoie
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