Facebook Instagram
  • NOUVELLES
    • Archives
  • VOYAGES
    • CANADA
      • Île-du-Prince-Édouard
      • Nouvelle-Écosse
      • Terre-Neuve
      • Terre-Neuve 2
    • QUÉBEC
      • Bas-Saint-Laurent
      • Cantons-de-l'Est
      • Cantons-de-l'Est 2
      • Cantons-de-l'Est 3
      • Charlevoix
      • Charlevoix 2
      • Charlevoix 3
      • Charlevoix 4
      • HÔTELS OTL
      • Lanaudière
      • Laurentides
      • Laurentides 2
      • Laurentides 3
      • Laurentides 4
      • Mauricie
      • Outaouais
      • Outaouais 2
      • Saguenay-Lac-Saint-Jean
      • Ville de Québec
    • ÉTATS-UNIS
      • Californie
      • Maine
      • Maine 2
      • Massachusetts
      • New Hampshire
      • New-York
    • AMÉRIQUE CENTRALE
      • Honduras
    • Îles du monde
      • CUBA
      • LA DOMINIQUE
      • GUADELOUPE
      • SAINT-PIERRE-ET-MIQUELON
    • EUROPE
      • Pays-Bas
      • République tchèque
    • HÔTELS LE GERMAIN
  • IMMOBILIER
  • GALERIE
    • Outremont en photos
    • Outremont en peinture
  • L'ARRONDISSEMENT
  • ÉDITIONS PASSÉES
Société d'histoire d'Outremont
nuance septembre
  • Remax
  •  bardagi
  • mecanique 360
  • Proxim
  • Leveque
  • Manifeste
Previous Next

Question mal posée?

Détails
COURRIER DES LECTEURS
Publication : 25 février 2021
Par M. Pierre Joncas

Comme mesure provisoire de santé publique pendant la pandémie de Covid-19, le gouvernement du Québec a décrété l’interdiction de rassemblements de plus de dix personnes dans les lieux de culte. Même si elle n’était pas défendable sur le plan scientifique, [...]

Lettre d'opinion +
powered by social2s

Avenue Marie-Stéphane : Dogmatisme et subordination

Détails
COURRIER DES LECTEURS
Publication : 25 février 2021
Par M. Marc Poulin

Une nouvelle avenue dans le campus MIL portera le nom d’avenue Marie-Stéphane en l’honneur de Sœur Marie-Stéphane, de la congrégation des Sœurs des Saints Noms de Joseph et de Marie, qui fonda l'École supérieure de musique d'Outremont qui deviendra [...]

Lettre d’opinion +
powered by social2s

Avenue Marie-Stéphane : Dogmatisme et subordination

Détails
COURRIER DES LECTEURS
Publication : 25 février 2021
Par M. Marc Poulin

Le Journal d'Outremont vous encourage à nous communiquer vos lettres d'opinion. La rédaction se réserve le droit d'éditer les textes qui lui sont soumis pour en faciliter la lecture et la compréhension. Ne seront retenus que les textes sur des sujets pertinents, utilisant un langage non-discriminatoire, non-injurieux et écrit dans un français correct. Le Journal d'Outremont se dégage totalement des propos publiés et n'assume aucune responsabilité quant à leur contenu. Vous pouvez nous communiquer votre missive par courriel en y indiquant votre nom et votre adresse. Nous publierons le nom du signataire de la lettre mais non son adresse. Les lecteurs pourront réagir à un propos en cliquant sur Ajouter un commentaire.


Une nouvelle avenue dans le campus MIL portera le nom d’avenue Marie-Stéphane en l’honneur de Sœur Marie-Stéphane, de la congrégation des Sœurs des Saints Noms de Joseph et de Marie, qui fonda l'École supérieure de musique d'Outremont qui deviendra l'École de musique Vincent-d'Indy.

 Buste de Sœur Marie-Stéphane.

Bien que la nomination soit bien à propos, on peut s’interroger sur les raisons qui ont poussées l’administration Projet Montréal à tronquer le mot Sœur dans le nom de la rue pour ne garder que le prénom. Je doute fort qu’en son temps personne n’eut oser appeler Sœur Marie-Stéphane par son simple prénom en public. Cet événement, bien anodin en apparence, témoigne cependant de problématiques bien plus profondes dans la gestion de notre arrondissement.

Dans un échange sur la page Facebook de notre Maire, j’ai tenté d’obtenir réponse à cette interrogation. En effet, je considère que tronquer le nom de la personne que l’on veut honorer est non seulement irrespectueux, mais que par le fait même on a manqué une occasion de souligner, indirectement, l’apport de la congrégation qui a tant fait pour Outremont. Certaines personnes ont volé à la rescousse du Maire en tentant d’arguer que les préfixes religieux ou autres ne font jamais partie de la toponymie. Pourtant cette règle est loin d’être absolue tel qu’en font fois les lieux suivants à Montréal : Place et la rue du Frère André, le Parc Sœur Madeleine Gagnon, le Parc Mahatma Gandhi, 2 parcs du Père Marquette, la rue du Père Marcoux, l'avenue du Père de Foucauld, Place Monseigneur Charbonneau, boulevard Curé Labelle, la rue du Président Kennedy, la rue du notaire Girard, la rue du docteur Penfield. Ce n’est pas une règle toponymique.

En fait, on a affaire à une décision consciente de Projet Montréal d’agir ainsi. D’ailleurs notre Maire a même affirmé dans nos échanges ‘’ Qu'elle ait été soeur ou non, nous sommes heureux d'avoir son nom sur une de nos avenues.’’ Comme si le fait d’avoir été sœur était une tare! Venant d’une administration pourtant si prompte à reconnaitre le fait religieux dans d’autres circonstances, cela est plutôt décevant. L’administration s’oppose à ce que le port des religieux soit réglementé, soit, mais n’est pas prête à tolérer le mot « sœur » sur un panneau de rue!

M. Tomlison, fidèle à ses habitudes, a tenté de faire porter le blâme sur d’autres, ici la Société d’Histoire d’Outremont. Mais il m’a été confirmé que cette dernière aurait souhaité que le nom « Sœur » soit retenu, mais la ville centre en a décidé autrement. Et là le bât blesse à nouveau. J’ai tenté d’obtenir de M. Tomlinson qu’il présente un amendement à la réunion du conseil de ville officialisant le nom afin que « Sœur » soit ajouté. J’ai seulement eu droit à un émoticône méprisant. En fait, ceci est un autre exemple de l’avilissement de notre Maire aux politiques de son parti à la ville centre. Plutôt que de prendre la cause juste et de la défendre au conseil de ville en notre nom, notre backbencher de Maire, plus loyal à son parti qu’à ses citoyens, préfère étouffer l’affaire.

Petite histoire mais qui témoigne, oh combien, de comment les choses sont menées à Outremont avec Projet Montréal : Dogmatisme et subordination à la ville centre.

Outremont mérite mieux!

Marc Poulin,
Av. de la Brunante, Outremont



Partagez sur
2 commentaires
powered by social2s

Céder un terrain à l’encontre des intérêts outremontais

Détails
COURRIER DES LECTEURS
Publication : 22 février 2021
Par Mme Céline Forget

L’école Lajoie, constituée de deux bâtiments (un sur Lajoie et l’autre sur Outremont), reçoit de plus en plus d’élèves et souhaite agrandir sa cour. Le terrain de stationnement hors rue sur Champagneur, voisin de la cour d’école, suscite de l’intérêt. [...]

+
powered by social2s

Céder un terrain à l’encontre des intérêts outremontais

Détails
COURRIER DES LECTEURS
Publication : 22 février 2021
Par Mme Céline Forget

Le Journal d'Outremont vous encourage à nous communiquer vos lettres d'opinion. La rédaction se réserve le droit d'éditer les textes qui lui sont soumis pour en faciliter la lecture et la compréhension. Ne seront retenus que les textes sur des sujets pertinents, utilisant un langage non-discriminatoire, non-injurieux et écrit dans un français correct. Le Journal d'Outremont se dégage totalement des propos publiés et n'assume aucune responsabilité quant à leur contenu. Vous pouvez nous communiquer votre missive par courriel en y indiquant votre nom et votre adresse. Nous publierons le nom du signataire de la lettre mais non son adresse. Les lecteurs pourront réagir à un propos en cliquant sur Ajouter un commentaire.


L’école Lajoie, constituée de deux bâtiments (un sur Lajoie et l’autre sur Outremont), reçoit de plus en plus d’élèves et souhaite agrandir sa cour. Le terrain de stationnement hors rue sur Champagneur, voisin de la cour d’école, suscite de l’intérêt.

L’arrondissement entend le céder à l’école qui en fera un mini parc avec divers jeux et promet d’en laisser l’accès aux Outremontais le soir et les fins de semaine.

Mais pourquoi se départir d'un terrain public et perdre cet avoir collectif alors que l’arrondissement pourrait très bien réaliser ce mini-parc et le rendre accessible aux élèves de Lajoie durant les jours de classes ?

La meilleure façon d’assurer l’avenir de cet espace est de le conserver. Dans ce secteur de triplex, proche de l’avenue Bernard, il a une grande importance pour Outremont. Qu’il devienne une aire de stationnement de voitures électriques, de vélos, un mini-parc, une coop, ou autre… qui peut prédire les besoins de l’arrondissement dans 25 ans ? Laissons la vocation de cette parcelle évoluer selon nos besoins à venir. Faisons-en un mini-parc maintenant si les citoyens et commerçants sont en accord, mais sans le céder.

Si l’école en devient propriétaire, elle pourrait éventuellement décider de vendre un des bâtiments ou les deux pour des raisons qui lui appartiennent et le terrain de jeux partirait avec la vente.

Céder un terrain public est une démarche sérieuse, irréversible.

De plus, l’accès aux jeux n’est pas toujours possible lorsque ceux-ci sont dans l’enceinte de l’école. Prenons celui de l’école Guy-Drummond, par exemple. La clôture de la cour d’école est souvent fermée les soirs et la fin de semaine. Les enfants n’ont pas accès aux jeux qui ont pourtant été payés par l’arrondissement.

Pourquoi nous faudrait-il devenir locataires d’un espace dont nous sommes propriétaires ? Sur Champagneur, l’arrondissement doit garder ce terrain, consulter les Outremontais sur son usage, le convertir en mini-parc public si tel est la volonté, créer une entente avec l’école et conserver le contrôle sur l’accès au parc. Tout le monde y trouverait son compte.

Céline Forget,
Outremont



Partagez sur
1 commentaire
powered by social2s

Ruelles vertes: la fuite en avant de Projet Montréal s’accélère

Détails
COURRIER DES LECTEURS
Publication : 18 février 2021
Par M. Simon Latraverse

Le Journal d'Outremont vous encourage à nous communiquer vos lettres d'opinion. La rédaction se réserve le droit d'éditer les textes qui lui sont soumis pour en faciliter la lecture et la compréhension. Ne seront retenus que les textes sur des sujets pertinents, utilisant un langage non-discriminatoire, non-injurieux et écrit dans un français correct. Le Journal d'Outremont se dégage totalement des propos publiés et n'assume aucune responsabilité quant à leur contenu. Vous pouvez nous communiquer votre missive par courriel en y indiquant votre nom et votre adresse. Nous publierons le nom du signataire de la lettre mais non son adresse. Les lecteurs pourront réagir à un propos en cliquant sur Ajouter un commentaire.


Non, je ne suis pas obsédé par les ruelles vertes de Projet Montréal, et je suis bien d’accord avec l’idée du verdissement des ruelles, mais ce qui me dérange profondément, c’est l’approche prise par Projet Montréal.

 Carottage dans la ruelle au nord de Lajoie entre McEachran et Dollard (Projet Ruelle des arts). PHOTO COURTOISIE

Outremont avait depuis 2009 une politique des ruelles vertes. En avril 2019, l’administration Tomlinson, pour ne pas être en reste sur les autres arrondissements Projet-Montréal, a jeté cette politique aux rebuts pour adopter sa propre politique calquée sur celle du Plateau. En plus de donner plus de valeur aux voix de ceux qui proposent des aménagements (25% suffit) qu’à celles de ceux qui s’opposent (50%+1 est nécessaire), la nouvelle politique des ruelles vertes préconise et privilégie la déminéralisation des ruelles (extraction de l’asphalte) comme base du verdissement. La déminéralisation peut prendre deux formes, soit l’excavation de tranchées au milieu de la ruelle et l’installation de pavés alvéolés pour faciliter l’écoulement des eaux de pluie, soit l’excavation d’un tronçon de la ruelle sur toute sa largeur pour l’aménagement de zones champêtres. La politique de Projet Montréal à Outremont privilégie les aménagements champêtres à cause des bénéfices écologiques et sociaux mythiques immenses qu’elle leur prête.

Suite au dépôt de la politique, sept (7) projets de ruelle verte ont été élaborés à l’automne 2019 et au printemps 2020 par des comités verts avec une participation plus ou moins forte des riverains. En principe, selon le Guide des ruelles vertes d’Outremont, un comité vert doit être composé de 5 résidents et il doit y avoir 25% de lettres d’approbation signées par des riverains, mais il ne semble pas y avoir eu de décompte systématique des résidents, ni de contrôle rigoureux du 25%. Les projets soumis par les comités verts ont été approuvés par l’arrondissement après étude préliminaire et ils ont fait l’objet en juillet 2020 de présentations qui peuvent être visionnées sur le site des webdiffusions. Je me suis farci l’écoute de ces sept présentations, j’ai pris note des plans et j’ai établi à l’aide de Google Maps aussi précisément que possible les dimensions des aménagements proposés. Présentement, l’administration Projet-Montréal et le bureau des projets d’Outremont sont engagés dans une course contre la montre pour réaliser les 7 projets au printemps, faire des inaugurations pendant tout l’été et en tirer profit pour les élections à l’automne 2021.

La confection des plans a débuté à l’automne 2020 et on a vu dernièrement une équipe de forage venir prélever des carottes dans les ruelles pour faire l’analyse des sols. Cette analyse est cruciale pour déterminer la perméabilité des sols, la profondeur à excaver et le type de remblai à installer pour assurer l’écoulement des eaux, la stabilité des pavés alvéolés et le type et succès des plantations de végétaux. Elle permettra d’estimer les coûts d’excavation et de remblai, et le volume de sols contaminés à extraire dont il faudra disposer éventuellement séparément.

A Outremont, contrairement aux autres arrondissements, les ruelles doivent être déneigées pour permettre le stationnement et l’enlèvement des ordures. Environ 75% de la longueur nord-sud des ruelles que l’on veut déminéraliser donne sur des espaces de stationnement. Pour permettre le passage des engins lourds, on laissera des roulières asphaltées sur les côtés et l’on excavera au milieu des ruelles des tranchées d’un mètre de large où on installera des pavés alvéolés. Comme les zones champêtres ont rencontré quelque résistance auprès des résidents, Projet-Montréal, faisant croire que c’est l’initiative des comités verts et des résidents, s’est rabattu sur les tranchées en pavés alvéolés pour maintenir son objectif de déminéralisation.

A partir des plans présentés par l’arrondissement, j’ai estimé qu’on excaverait près de 575 m de tranchées et 800 m2 de zones champêtres ou entrées de ruelles, soit 1 375 m2 pour une profondeur moyenne de 1 m et un coût de 137 500 $ au prix de 100 $/m2. Il est possible que la profondeur d’excavation soit inférieure en certains endroits ou supérieure selon la capacité d’absorption du sol ou le type de plantations. La profondeur d’excavation ne devrait que marginalement affecter les coûts.

J’ai calculé qu’on installera environ 950 m2 de pavés alvéolés (type Cassara Verde). Pour couvrir un m2 en pavés alvéolés, il faut selon le fabricant (Permacon) 8,2 pavés. Le prix du pavé sera d’environ 9 $ l’unité, pour un coût estimé de près de 300 $/m2 comprenant pavé, terreau, graminées et installation. Le coût total des pavés alvéolés serait ainsi d’environ 282 000 $ pour les 7 ruelles vertes.

Cependant, comme l’asphalte existante des ruelles est fortement dégradée et qu’il faut assurer une capacité portante suffisante des roulières, un support latéral adéquat aux pavés alvéolés, ainsi qu’une pente vers la tranchée, si on veut réellement drainer les eaux de pluie, il sera nécessaire, aux dires mêmes du spécialiste de l’arrondissement (présentation l’Aquaruelle 14 juillet) de refaire à neuf la fondation et l’asphalte des roulières, le long des tranchées centrales. La solution retenue serait celle du béton rainuré ce qui implique de couler une couche de béton sur une base d’agrégats, comme on fait pour les trottoirs, et d’imprimer des rainures.

Dans l’éventualité où cette solution serait appliquée partout tout où l’on prévoit creuser des tranchées, il faut s’attendre à une augmentation très substantielle des coûts, peut-être de 200 000 $ ou même davantage. Il est possible que la solution des roulières en béton soit nécessaire pour éviter les problèmes de capacité portante et de drainage, et aussi parce que de laisser le vieil asphalte, ce ne serait pas très beau et très durable. Alors, on aura glissé vers une solution où on refait les ruelles à neuf, alors qu’au départ, on ne disait que vouloir les verdir.

Par mesure de prudence, je n’ai ajouté dans mon estimation que les 150 m linéaires de roulières en béton prévus dans les plans pour 2 ruelles, à 300 $/m2 et un coût de 45 000 $, sans ajout pour les autres ruelles où l’on projette de creuser des tranchées. J’ai ajouté aussi 40 000 $ pour les 8 barrières amovibles que l’on prévoit installer, ainsi que 20 000 $ pour les plantations de végétaux et le mobilier (bancs, bacs, armoires à poubelles, etc.), ce qui est peu. L’estimation du coût des travaux pour les 7 ruelles grimpe à 525 000 $; une marge de 20% d’imprévus porte le total à 630 000 $. Enfin, il faut ajouter le coût des analyses de sol, estimé à 50 000 $, et les honoraires des architectes et des ingénieurs, estimés à 15% du coût des travaux, soit 80 000 $.

Par cet exercice, j’arrive à un coût total estimatif de 760 000 $ pour les 7 ruelles vertes prévues en 2021, ce qui à mon avis est un chiffre conservateur. De plus, il faut ajouter à ce montant la rémunération et les charges du spécialiste des ruelles vertes, soit environ 100 000 $/an ou 200 000 $ pour 2019/20 et 2020/2021, plus les salaires et charges des employés municipaux qui seront impliqués dans les aménagements et dans l'entretien des ruelles vertes, ces coûts étant imputés au budget de fonctionnement. On arrive donc facilement à coût total de 1 000 000 $.

Il est alors très probable que les montants investis dans les ruelles vertes en 2020/21 soient bien supérieurs à ce qui est prévu au Programme triennal d’investissement (PTI) qui est de 250 000 $ pour 2020/21 (250 000 $ pour 2021/22 et 300 000 $ pour 2022/23).

A mes questions répétées aux séances du conseil à savoir comment l’arrondissement ferait pour rentrer dans le budget du TPI, Mme Patreau et le maire Tomlinson ont d’abord répondu que les coûts ne seraient pas si élevés, pour ensuite dire que l’arrondissement disposait de surplus. Effectivement, dans sa réponse aux citoyens en désaccord avec le projet « Ruelle des oiseaux » (Rockland-Davaar/Van Horne-Ducharme) qui s’inquiétaient des coûts du projet, le maire Tomlinson a répondu que « l’arrondissement a depuis des années accumulé de gros montants non utilisés dans d’anciens projets d’immobilisation », et donc il n’y a pas de problème à la dépense et vous n’aurez pas d’augmentation de taxes. Nous aimerions savoir quels sont ces montants non inutilisés qui viendraient s’ajouter au règlement d’emprunt AO-509 de 800 000 $, le maire Tomlinson peut-il donner un chiffre?

Donc, sur la base de mon analyse, j’accuse l’administration Projet-Montréal, afin de satisfaire ses partisans et dans une approche clairement électoraliste, de manquer de transparence et de leurrer les citoyens sur les coûts des ruelles vertes et d’adopter des priorités d’investissement qui n’ont pu être évaluées et approuvées par les citoyens. De plus, si on prend en exemple les passages piétonniers chromés de la rue Lajoie et la placette plaquée-or de l’Espace Champagneur à côté du théâtre Outremont, cette administration ne lésinera pas sur les moyens pour avoir du beau et on se retrouvera avec des ruelles vertes qui auront coûté très cher pour des bénéfices qui n’ont pas été évalués sérieusement et une durabilité incertaine, car l’entretien sera à la charge des résidents. Qui seront-ils, les 25% qui auraient voté pour, ou les 75% qui ne se sont pas prononcés ou qui sont contre? Et voilà! Vlan pour la durabilité et l’harmonie entre voisins à la Projet Montréal! Et vlan pour la restreinte dans les dépenses, car une fois les projets réalisés, il faudra rembourser les emprunts par nos taxes! Nous sommes en année d’élections, n’est-ce pas?

Simon Latraverse, Outremont



Partagez sur
Ajouter un commentaire
powered by social2s

Ruelles vertes: la fuite en avant de Projet Montréal s’accélère

Détails
COURRIER DES LECTEURS
Publication : 18 février 2021
Par M. Simon Latraverse

Non, je ne suis pas obsédé par les ruelles vertes de Projet Montréal, et je suis bien d’accord avec l’idée du verdissement des ruelles, mais ce qui me dérange profondément, c’est l’approche prise par Projet Montréal. [...]

+
powered by social2s

La Maison Holmes-McFarlane ou le patrimoine laissé pour compte

Détails
COURRIER DES LECTEURS
Publication : 15 février 2021
Par Lise Anne Desjardins et de Paul Granda

Le Journal d'Outremont vous encourage à nous communiquer vos lettres d'opinion. La rédaction se réserve le droit d'éditer les textes qui lui sont soumis pour en faciliter la lecture et la compréhension. Ne seront retenus que les textes sur des sujets pertinents, utilisant un langage non-discriminatoire, non-injurieux et écrit dans un français correct. Le Journal d'Outremont se dégage totalement des propos publiés et n'assume aucune responsabilité quant à leur contenu. Vous pouvez nous communiquer votre missive par courriel en y indiquant votre nom et votre adresse. Nous publierons le nom du signataire de la lettre mais non son adresse. Les lecteurs pourront réagir à un propos en cliquant sur Ajouter un commentaire.


Bonjour,
Nous sommes consternés de voir que cette maison patrimoniale (la Maison Holmes-MacFarlane NDLR) est laissée à l’abandon et que l’arrondissement ne la protège pas de la détérioration comme elle le mérite.

Cette maison a été donnée à l’arrondissement par les petites filles de Monsieur Holmes qui l’a construite et qui doit se retourner dans sa tombe devant l’insouciance de l’arrondissement à la maintenir en bon état.

Vous négligez d’engager les frais d’entretien alors que vous gaspillez des sommes considérables à faire des intersections en dalles qui vont certainement tenir moins longtemps que cette majestueuse maison unique.

Si l’arrondissement ne veut pas s’en occuper comme il se doit, allez à la Cour et faites-vous libérer de la clause testamentaire et vendez-la à des gens qui vont l’entretenir avec respect !

C’est vraiment honteux !
Lise Anne Desjardins et Paul Granda
Avenue Antonine Maillet



Partagez sur
4 commentaires
powered by social2s

La Maison Holmes-McFarlane ou le patrimoine laissé pour compte

Détails
COURRIER DES LECTEURS
Publication : 15 février 2021
Par Lise Anne Desjardins et de Paul Granda

Bonjour,
Nous sommes consternés de voir que cette maison patrimoniale (la Maison Holmes-MacFarlane NDLR) est laissée à l’abandon et que l’arrondissement ne la protège pas de la détérioration comme elle le mérite. [...]

+
powered by social2s

Le passage en force des ruelles vertes à Outremont

Détails
COURRIER DES LECTEURS
Publication : 12 février 2021
Une lettre d’opinion collective

Le Journal d'Outremont vous encourage à nous communiquer vos lettres d'opinion. La rédaction se réserve le droit d'éditer les textes qui lui sont soumis pour en faciliter la lecture et la compréhension. Ne seront retenus que les textes sur des sujets pertinents, utilisant un langage non-discriminatoire, non-injurieux et écrit dans un français correct. Le Journal d'Outremont se dégage totalement des propos publiés et n'assume aucune responsabilité quant à leur contenu. Vous pouvez nous communiquer votre missive par courriel en y indiquant votre nom et votre adresse. Nous publierons le nom du signataire de la lettre mais non son adresse. Les lecteurs pourront réagir à un propos en cliquant sur Ajouter un commentaire.


Plusieurs projets de ruelles vertes doivent voir le jour à Outremont en 2021. Par les temps qui courent, la majorité des citoyens est sensible à la qualité de vie et, de tels projets de verdissements du milieu urbain devraient être bien accueillis… à la condition qu’ils soient bien conçus et mis en place dans le respect des principes démocratiques élémentaires.

À Outremont, une ruelle verte génère une certaine inquiétude et maintenant une opposition grandissante.

Les riverains de la « ruelle des oiseaux », située entre les avenues Van Horne, Ducharme, Davaar et Rockland ont reçu avec quelques jours de préavis, un avis de l’arrondissement d’Outremont les invitant à participer le 23 juillet 2020 à une rencontre ZOOM (visioconférence) présentant le projet d’aménagement proposé et déposé à l’arrondissement d’Outremont par le comité de ruelle verte, en collaboration avec M. Rousseau, Agent technique en horticulture et arboriculture de l’arrondissement.

Ce projet est à plusieurs égards conduit hâtivement et sans concertation suffisante avec les riverains, malgré les tentatives de s’y impliquer et les propositions soumises au comité de la ruelle verte. Le projet a été soumis au vote pendant les vacances de la construction. De nombreux riverains n’avaient aucune idée de l’existence de ce projet, qui mijote pourtant depuis plus d’un an. Les riverains se retrouvent devant le fait accompli, sans réelle prise en compte de leurs préoccupations.

Lors de la réunion d’information, un croquis fait en 5 minutes qui ne reflétait plus la proposition de l’arrondissement a été utilisé afin de faire « imaginer » ce que serait le projet aux riverains. Aucun plan élaboré ni complet permettant de bien comprendre les lieux des installations et des zones de déminéralisation de la ruelle n’a été présenté. Aucune évaluation technique n’avait été faite. La confusion était notable parmi bon nombre de participants. Durant cette même réunion, on apprend par M. Rousseau que les différents experts peuvent modifier tout plan sans qu’il ne soit en bout de ligne présenté aux riverains dans sa forme finale, avec étude d’experts à l’appui, pour un vote final (ou une opposition finale). Mme Leblanc, directrice d’arrondissement, nous répond que ce plan final ne sera partagé qu’avec le comité de ruelle pour leurs commentaires. Il semble que tout changement important ainsi que les études techniques (qui rappelons-le, n’ont pas été faites avant la présentation aux riverains) devraient être partagés avec l’ensemble des riverains, en particulier ceux directement impactés par ces aménagements.

Voici les raisons pour lesquelles beaucoup de riverains sont contres le projet tel que présenté :

• Risques pour les fondations des édifices directement adjacents. Aucune garantie (comme dans Villeray-Saint-Michel-Parc-Extension) d’éviter des excavations le long des fondations des bâtiments.
• Réduction possible de la ruelle parallèle à Van Horne déjà étroite par l’ajout de bacs. Aucune garantie (comme dans Villeray-Saint-Michel-Parc-Extension) de laisser 3 mètres de large pour assurer la circulation des véhicules de service
• Pas de garantie de dégagement minimal sécuritaire autours des intersections et des entrées et sorties (comme par ex. 5,0 mètres obligatoire dans Mercier-Hochelaga-Maisonneuve)
• Aucune indication ou exigence quant à la nécessité de retirer ces installations l’hiver pour respecter les contraintes de déneigement
• Aucun engagement à nous fournir des études techniques en lien avec l’installation de pavés alvéolés. Aucune idée quant à la qualité et la durabilité des aménagements
• Incertitudes quant au ramassage des déchets (compost, vidanges).
• Entretien possiblement non constant et/ou défaillant. La réalisation d’une ruelle verte est effectuée, payée et menée à terme par la Ville. Cependant, une fois le tout accompli, le comité de la ruelle verte doit s’assurer de la poursuite du projet à long terme et de l’entretien tel que stipulé à la page 6 du Guide d’aménagement d’une ruelle verte (propreté, arrosage, désherbage, remplacement de végétaux). Tous les frais encourus d’entretien doivent alors être assurés par les citoyens riverains. (ex: https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1342347/ruelles-vertes-abandonnees-mercier-montreal-eco-quartier)
• Perte conséquente de la valeur des propriétés, en lien avec tous les points cités ci-haut

Notons que le comité de la ruelle verte a « consulté » certains riverains, mais sans tenir compte des commentaires ou suggestions soumis et sans jamais tenir les citoyens informés des étapes du projet à suivre. La grande majorité des riverains ne sait pas qui compose le comité de ruelle verte. Des questions sur la légitimité d’un comité se composant de 3 membres -là où le règlement d’arrondissement en requiert 5- se posent.

Ce projet coordonné par l’arrondissement, va de l’avant beaucoup trop vite. L’agenda électoral et les objectifs politiques ne peuvent prévaloir sur l’intérêt des citoyens. Suite à la réunion ZOOM du 23 juillet 2020, les riverains ont eu jusqu’au 19 août pour se prononcer. Lors de cette réunion, Mme Marie-Claude Leblanc, Directrice de l’arrondissement, avait signifié que les formulaires permettant aux résidents riverains de se prononcer sur le projet seraient « remis porte-à-porte ». En pleine période estivale où des riverains se trouvent à l’extérieur, ce ne sont finalement que quelques avis collés sur les portes d’entrée des copropriétés, qui stipulait de se rendre à une adresse internet pour télécharger un formulaire et le retourner à une adresse courriel… qui était erronée. Malgré cela, au moins 40 lettres d’oppositions au projet auraient été reçues selon M. Rousseau. Dans une des copropriétés, 18 foyers sur 23 se sont prononcés contre ce projet, dans l’autre, ce sont 8 copropriétaires sur 12 qui se sont prononcés contre. À cela s’additionnent des résidents de « plexs » riverains.

Il faut par ailleurs souligner que le règlement de ruelles vertes de l’arrondissement d’Outremont est le moins exigeant de l’ile de Montréal avec celui du Plateau-Mont-Royal. Malgré cela, ce même règlement n’est pas respecté dans le cadre de ce projet.

D’autre part, à Outremont, l’exercice de la démocratie se fait ainsi : le règlement prévoit qu’une minorité de 25% de résidents riverains soit requise pour approuver un projet de ruelle verte. Il faut par contre plus de 50% de résidents riverains opposés au projet pour l’annuler.

Rappelons que les résidents riverains n’ont jamais eu accès au décompte des soutiens / opposants au projet. Comment le décompte a-t-il été effectué? La majorité est-elle représentative des riverains concernés? Toutes nos demandes auprès du maire M. Tomlinson sont restées sans réponses concrètes.

Il semble qu’un arrêt du projet tel qu’il est actuellement conçu, soit nécessaire afin de permettre une réelle collaboration future avec le comité de ruelle verte, et ainsi embellir notre ruelle sans pour autant causer des torts aux riverains. Une planification adéquate et une plus grande transparence serait de nature à rassurer les nombreux riverains inquiets, et donc opposés à ce projet.

Les meilleures intentions et le plus grandiose des projets ne peuvent justifier des entorses aux principes démocratiques à Outremont.

Alan Bakli
Stephan Kaiser
Valérie Audet
Stéphane Galzin
Caroline Lamache
Annick Poussart
André Canuel
Marie Bonvarlet



Partagez sur
2 commentaires
powered by social2s

Page 14 sur 48

  • Début
  • Précédent
  • 9
  • 10
  • 11
  • 12
  • 13
  • 14
  • 15
  • 16
  • 17
  • 18
  • Suivant
  • Fin
Remax Frederic Guilmard bardagi mécanique 360 Pantonal manifeste medias outremont station mont-royal
outremont station mont-royal

Le journal d'Outremont

  • Nouvelles
  • Courrier des lecteurs
  • Outremont Gourmand
  • Voyages
  • Immobilier
  • Galerie-Outremont en photos
  • Galerie-Outremont en peinture
  • L'arrondissement
 

Pour nous contacter

T. 514 276-0386
F. 514 273-9660
 
 
Le Journal d’Outremont
1175, av. Bernard Ouest, bureau 200
Outremont (QC) H2V 1V5
 
info@journaloutremont.com
 

Infolettre

Recevez votre journal gratuitement chaque semaine.
Abonnez-vous à l'infolettre!

 

Éditeur :René Soudre
Assistante à l’édition : Marili Soudre-Lavoie
Rédacteur en chef : René Soudre
Collaborateurs : Julie Turgeon, Viktor Lavoie, Emmanuelle Beaubien, Carla Geib, Alexis Drapeau-Bordage, Hélène Côté, Laetitia Arnaud-Sicari
Photos : Marili Soudre-Lavoie
Administration : Hélène Lavoie
Ventes : Marili Soudre-Lavoie, René Soudre

© Journal d'Outremont 2014-2025

MENU

  • NOUVELLES

    NOUVELLES

    • Archives

      Archives

  • VOYAGES

    VOYAGES

    • CANADA

      CANADA

      • Île-du-Prince-Édouard

        Île-du-Prince-Édouard

      • Nouvelle-Écosse

        Nouvelle-Écosse

      • Terre-Neuve

        Terre-Neuve

      • Terre-Neuve 2

        Terre-Neuve 2

    • QUÉBEC

      QUÉBEC

      • Bas-Saint-Laurent

        Bas-Saint-Laurent

      • Cantons-de-l'Est

        Cantons-de-l'Est

      • Cantons-de-l'Est 2

        Cantons-de-l'Est 2

      • Cantons-de-l'Est 3

        Cantons-de-l'Est 3

      • Charlevoix

        Charlevoix

      • Charlevoix 2

        Charlevoix 2

      • Charlevoix 3

        Charlevoix 3

      • Charlevoix 4

        Charlevoix 4

      • HÔTELS OTL

        HÔTELS OTL

      • Lanaudière

        Lanaudière

      • Laurentides

        Laurentides

      • Laurentides 2

        Laurentides 2

      • Laurentides 3

        Laurentides 3

      • Laurentides 4

        Laurentides 4

      • Mauricie

        Mauricie

      • Outaouais

        Outaouais

      • Outaouais 2

        Outaouais 2

      • Saguenay-Lac-Saint-Jean

        Saguenay-Lac-Saint-Jean

      • Ville de Québec

        Ville de Québec

    • ÉTATS-UNIS

      ÉTATS-UNIS

      • Californie

        Californie

      • Maine

        Maine

      • Maine 2

        Maine 2

      • Massachusetts

        Massachusetts

      • New Hampshire

        New Hampshire

      • New-York

        New-York

    • AMÉRIQUE CENTRALE

      AMÉRIQUE CENTRALE

      • Honduras

        Honduras

    • Îles du monde

      Îles du monde

      • CUBA

        CUBA

      • LA DOMINIQUE

        LA DOMINIQUE

      • GUADELOUPE

        GUADELOUPE

      • SAINT-PIERRE-ET-MIQUELON

        SAINT-PIERRE-ET-MIQUELON

    • EUROPE

      EUROPE

      • Pays-Bas

        Pays-Bas

      • République tchèque

        République tchèque

    • HÔTELS LE GERMAIN

      HÔTELS LE GERMAIN

  • IMMOBILIER

    IMMOBILIER

  • GALERIE

    GALERIE

    • Outremont en photos

      Outremont en photos

    • Outremont en peinture

      Outremont en peinture

  • L'ARRONDISSEMENT

    L'ARRONDISSEMENT

  • ÉDITIONS PASSÉES

    ÉDITIONS PASSÉES

À propos des cookies sur ce site

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez les fichiers témoins (aussi appelés "cookies"). Nous les utilisons pour vous offrir une expérience en ligne agréable ainsi que pour analyser le trafic du site. Pour en savoir plus sur les fichiers témoins, veuillez consulter notre politique de confidentialité.

Politique de confidentialité