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Sondage sur le parc Outremont : Méthodologie douteuse

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Publication : 6 janvier 2021
Par Mme Christa Japel

À titre de chercheure, j’ai une expertise dans le développement de sondages et de l’importance de leur représentativité de la population visée.

Un sondage sur le parc Outremont, récemment mis en ligne, reposerait sur un précédent sondage fait en 2018-2019. L’arrondissement mentionne que selon certains commentaires reçus, le parc Outremont et son chalet pourraient offrir une nouvelle variété de services.

L’administration propose maintenant d’ajouter ces services au parc Outremont. Le sondage actuel présente six activités, commodités et services et demande de les ordonner selon notre préférence de 1 à 6. Cependant, pour qu’un sondage soit professionnel, on devrait avoir l’option de rejeter tous les éléments proposés. Ce qui n’est pas le cas.

De plus, seuls les résidents autour du parc Outremont ont reçu un avis à domicile les informant du nouveau sondage. Ne résidant pas autour de ce parc, j’ai été sensibilisée à ce sondage grâce à une amie. Si l’arrondissement a fait de la publicité pour ce sondage, il faudrait évaluer son efficacité à rejoindre la majorité de la population. L’avenir de ce parc est important et l’arrondissement doit s’assurer de la validité de cette consultation publique.

Cette initiative étant payée par des fonds publics… on pourrait s’attendre à une approche professionnelle tant sur le plan scientifique, qu’éthique. Ce qui n’est vraisemblablement pas le cas.

En preuve, plus de 4000 personnes ont signé jusqu’à maintenant une pétition en ligne s’opposant aux ajouts de services proposés par l’arrondissement et demandant de sauvegarder le caractère bucolique et la valeur historique exceptionnelle du parc Outremont.

L’argent disponible devrait servir à restaurer le chalet, y aménager de nouvelles toilettes, revoir les sentiers et mettre à jour l’espace jeux des tous petits. Et surtout, assurer la propreté et salubrité de nos parcs.

Dr. Christa Japel
Av. Querbes



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Contraventions pour stationnement ''interdit'' sur Mont-Royal

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Publication : 4 janvier 2021

Une lettre d’opinion collective

Depuis que la bande de verdure entre la voie de circulation et le trottoir a été ajoutée sur le boulevard Mont-Royal, il y a vingt-cinq ans, le stationnement sur les allées asphaltées situées sur la bande et qui permettent l'accès aux riverains à leur propriété a toujours été toléré.

Malgré que ces allées d'accès fassent partie du domaine public, elles ont toujours été entretenues aux frais des riverains qui les utilisent. Ces derniers en assurent le déneigement et bien entendu les frais afférents.

Récemment les riverains qui se stationnent sur les allées d'accès se voient remettre des contraventions pour stationnement interdit sur la propriété de la ville alors que la réglementation en vigueur ne l’interdit pas clairement. Il faut comprendre que l'administration Tomlinson cherche à augmenter les revenus de contravention et de permis liés au stationnement car les revenus espérés du plan initial ne sont pas au rendez-vous.

La logique voudrait que si l’arrondissement d’Outremont décide d’interdire l’utilisation de ces allées, qu’elle se doive, à tout le moins, d’en assurer l’entretien et le déneigement afin que les citoyens puissent avoir accès en tout temps à leurs stationnements sur leurs propriétés et qu’ils puissent s’assurer d’utiliser leurs véhicules en tout temps, même en situation d’urgence; pensons simplement aux citoyens du corps médical étant de garde et risquant d’avoir à se déplacer à tout heure du jour ou de la nuit.

Il semble que l’administration Tomlinson cherche à tirer profit d’un flou réglementaire au dépend des citoyens sans assumer la responsabilité financière que la cohérence exigerait. Il y a ici un manque total de logique de l’administration, et ce, au moment où les citoyens sont en télétravail en raison de la Pandémie.

L'administration Tomlinson ne peut encaisser des revenus de permis de stationnement et forcer les riverains à entretenir à leurs frais le domaine public. Il est aberrant d'exiger le beurre et l'argent du beurre!

Riverains du boulevard Mont-Royal,
Luc Vallée, Victoria Jo Miller, Noah Vallée, Alex Tessier, Patrice Picard, Louise Renaud, Monique Chênevert, Caroline Dignard, Pierre Gagné, Adrian Tedeschi, Adèle Rubiano, Francine Leduc-Houde, Pierre Barsalou, Isabelle Rondier, Marie-France Durocher, Gilles Chatillon, Anny Sasseville, Alexandre d'Aragon, Pascale Balducchi, Sabine Karsenti, Douglas Arnold, Allison Ready, André Saine, Roger Delorme, Marie-Pierre Raymond, Vincenza La Greca, Linda Cesaratto, Yves Pichette, Paule Langlois.



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2 mois pour ramasser les déchets

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Publication : 14 décembre 2020
Par Emeric Thibaud

Bonjour,
Je vous écris pour vous expliquer à quel point notre arrondissement n’est pas bien surveillé concernant les déchets.

J’ai signalé souvent par courriel à Mme Magini les problèmes de déchets dans la ruelle (angle McEachran et Van Horne) derrière la banque TD et cela a pris plusieurs semaines (2 mois) avant qu’on envoie une personne de la Ville de Montréal pour nettoyer et prendre des photos.

Maintenant, j’aimerais simplement qu’on y installe un panneau qui indique le montant de l’infraction si le respect des horaires n’est pas suivi par les citoyens.

Nous avons eu dans le bloc appartement du 820 avenue McEachran des rats et j’aimerais que cela soit corrigé pour ne pas les revoir en 2021.

Merci de soumettre ma demande à M. le Maire

Cordialement,
Emeric Thibaud



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La Lamborghini de M. Tomlinson

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Publication : 3 décembre 2020
Par Marc Poulin

Le 18 novembre dernier lors d’une autre séance spéciale du conseil d’arrondissement d’Outremont, l’administration Projet Montréal a approuvé le contrat de rénovation du chalet du parc Joyce. Nul ne conteste la nécessité de rénover nos chalets de parc à Outremont. Cependant, dans le cas présent, le coût du projet excède de plus de 255 000 $ les estimés initiaux, soit plus de 16%. Et puisque que les subsides accordés par la ville centre sont fixes, ce 255 000$ d’excédents s’ajoutent à la contribution initialement prévue pour un total d’environ 700 000 $. Quand on pense que le budget d’investissement pour 2021 de l’arrondissement est d’un peu plus de 2 500 000$, on parle de sommes importantes.

Cet excédent de coûts, qui amputera certainement la capacité de l’arrondissement à pourvoir à d’autres besoins urgents en infrastructure, ne semblait pas inquiéter le moins du monde notre Maire qui l’a qualifié de normal. Mais c’est lorsque que questionné sur l’à-propos de modifier le projet pour en réduire les coûts que M. Tomlinson nous a révélé sa philosophie de la gestion des fonds publics. A la suggestion de couper quelques options à la Cadillac, M. Tomlinson, nous a plutôt révélé qu’il visait plutôt une Lamborghini!

Pour Projet Montréal, l’excédent de coûts n’est pas grave car nous avons déjà emprunté l’argent dans les anciens PTI. Cette administration, qui se targue d’une gestion serrée, dépense et continue de dépenser tant qu’il y aura de l’argent dans nos coffres. La COVID-19 met à mal nos finances publiques, qu’à cela ne tienne, on peut encore dépenser car il y a de l’argent dans nos surplus. La dernière en ligne, un des organisme chouchou de l’arrondissement, la Maison des Jeunes, dirigé par un ex-membre de l’exécutif de Projet Montréal, a reçu une autre subvention dans le cadre du fond COVID et cette fois pour plus de 8000 $. Quel est le service essentiel qui sera assumé grâce à ce 8000 $ de fonds public : la livraison de sapins de Noël à domicile. Pendant ce temps, on a fermé l’aréna cet été pour économiser une somme à peine plus importante, privant ainsi plus de cent jeunes de leur camp de patin.



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L’importance de la presse locale

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Publication : 3 décembre 2020
Par Pierre Joncas

Malgré la mondialisation, peut-être même à cause d’elle en cette époque de turbulence, les attributs d’un milieu de vie en déterminent, pour l’essentiel, la qualité. Quand les habitants d’une agglomération de petite taille se concertent pour consolider, élargir ou affermir les assises de leur existence saine et agréable ou, en son absence, pour les établir, ils contribuent à la quiétude générale, au bien-être de chacun, et à la pérennisation d’un état heureux au profit de générations à venir.

Le rappel de cette évidence n’entend pas conforter l’indifférence envers une réalité plus éloignée (la ville, la province, le pays, et au-delà) sur laquelle l’individu n’a que peu d’influence; il vise au contraire à relever l’importance du tout près, à souligner la pertinence d’agir là où les effets de l’action personnelle seront palpables, là où les interventions de chacun contribueront au bien-être de tous.

Ce rappel se veut une incitation à agir sur place tout en réfléchissant à une échelle plus vaste. « Sur place », pour nous, c’est Outremont. Depuis mon enfance, j’y entends injustement accolée l’étiquette « snob ». Nous n’avons pas à rougir de son élégance : sa discrétion en est d’ailleurs un élément. Outremont n’a pas à se préoccuper de se faire remarquer. La simplicité et le sourire en sont des traits dominants. Les railleries ne peuvent ni dissimuler son charme, ni défigurer sa beauté, ni atténuer la joie d’y vivre. Pour pasticher Sacha Guitry, «si ceux qui en disent du mal savaient ce que nous pensons d’eux», ils en diraient bien davantage.

Parenthèse historique importante. En 2000, poussé par le maire Pierre Bourque alors que peu d’autres le réclamaient, le gouvernement Bouchard découpa Montréal en arrondissements et réduisit ainsi les municipalités autonomes de l’île, dont Outremont, les amputant ainsi de nombreuses compétences qu’il confia à la ville. « Une île, une ville ». Sans l’obsession de Pierre Bourque d’agrandir la sphère de son influence et de son autorité, nous aurions échappé à ce bouleversement inutile. En avril 2004, le gouvernement Charest ouvrit la porte à la défusion des anciennes municipalités, mais en l’assortissant de conditions strictes et coûteuses, et en appâtant les élus des municipalités qui s’en abstiendraient par des émoluments considérablement enrichis. Contrairement à ceux de Mont-Royal et de Westmount notamment, nos élus se laissèrent séduire et se gardèrent de nous encourager à signer le registre pour déclencher le processus : à peine nous en informèrent-ils! Le seuil de 10% des inscrits au rôle électoral n’ayant pas été atteint, Outremont ne regagna pas son statut perdu de municipalité. À l’évidence, sa fusion à Montréal n’y a ni accru l’efficacité des services, ni réduit les dépenses ou les taxes, bien au contraire.

Malgré la perte de compétences au profit de Montréal, malgré la fusion irréfléchie, malgré l’occasion de défusion sabotée par nos élus, dans l’esprit d’un grand nombre, sinon la majorité, de nos habitants, Outremont n’en demeure pas moins un village distinct. L’aliénation au profit de la ville de compétences critiques condamne-t-il ce village à perdre son « âme »? Dans les nouvelles conditions, cette « âme » peut-elle survivre intacte? Est-ce souhaitable? Que préserver? Comment nous y prendre?

Si l’« âme » d’une personne est difficile à saisir, celle d’une collectivité l’est encore davantage. Pour les fins de cette analyse, j’emprunterai la première définition du Petit Robert (2019) de ce qui anime un groupe, soit l’ensemble des états de conscience communs à ses membres. Comme environ 25 000 personnes peuplent Outremont, l’existence d’états de conscience communs à toutes est improbable. Je procéderai donc indirectement par recours à ce qu’en révèlent le bâti et la façon de vivre des résidants. Méthode approximative, mais je n’en connais pas de moins sujette à caution, ni ne puis-je en imaginer de moins imparfaite.

Dans le chapitre intitulé « Outremont: A Convivial Elegance » de son étude In Search of Elegance, Michel Lincourt retient, pour dépeindre notre bâti, l’aspect amène du parc résidentiel, la tranquillité des rues, l’attention à l’entretien des demeures; il note l’empressement des résidants à embellir leur terrain et le domaine public l’avoisinant : ils y plantent des fleurs, y soignent les arbres et les arbustes, etc. L’auteur fait état de l’accueil chaleureux du client dans les commerces. Bien qu’il n’en fasse pas mention, qui ne se rappelle pas que, jusqu’à récemment, les riverains veillaient tous à la propreté et la salubrité de l’entourage de leur propriété? La rue et la ruelle n’y étaient nulle part jonchées de détritus et d’ordures. Il ne l’a pas évoqué non plus, mais j’ai maintes fois remarqué l’affabilité des voisins les uns envers les autres, la civilité des rencontres entre inconnus qui, à la répétition, se transforme en courtoisie, puis en prévenance, et parfois même en amitié. Je ne me souviens pas d’avoir connu un autre endroit où, sans importuner dans un restaurant, on peut adresser la parole à la table voisine et en recevoir une réponse agréable sans être envahissante. Bref, l’« âme » d’Outremont c’est peut-être le « charme discret » de sa bourgeoisie, pour reprendre l’expression que Lincourt emprunte à Luis Buñuel : ceux qui, comme moi, perçoivent ainsi cette âme et y sont attachés, désireront la voir sauvée.

N’est-il donc pas souhaitable de préserver cet heureux état, de sauvegarder l’intégrité de l’âme précieuse d’Outremont? Pour y parvenir, il faut en être conscient collectivement aussi bien qu’individuellement; il nous faudra, ensemble, en reconnaître les éléments concrets et prendre l’habitude de les alimenter de cette attention affectueuse qui les sustente.

Cependant, notre attention est de plus en plus captivée par les médias de masse qui s’intéressent avant tout aux nouvelles dont le caractère accrocheur agrippe l’attention et assure la rentabilité commerciale, et par les médias sociaux dont les participants sont intéressés et souvent guidés par un ordre du jour dissimulé. Si, comme j’ai essayé de le montrer plus haut, notre bien-être dépend largement – largement, pas uniquement – de ce qui se passe tout près, ne serait-il pas sage d’en prendre connaissance avec autant de soin?

D’où l’importance immense, mais pas toujours appréciée, pour la qualité de notre vie d’une presse locale consciencieuse et compétente pour nous informer des actualités économiques et sociales – réjouissance à l’ouverture de nouveaux commerces, deuil à la fermeture d’anciens, restauration, activités culturelles, etc. –, mais presse locale non partisane pour rapporter objectivement la réalité politique, pour accepter dans ses pages ou son espace électronique, selon le cas, l’expression respectueuse de points de vue divergents.

Seule l’indépendance financière d’une presse locale peut en assurer l’objectivité, l’utilité et la survie. Cette indépendance nécessaire n’est toutefois pas suffisante. Dans un marché de taille modeste comme Outremont, si des citoyens en nombre suffisant ne s’impliquent pas financièrement et activement par une surveillance exigeante et bienveillante, cette presse locale, si nécessaire à notre bien-être collectif et individuel, périra. Entendra-t-on cet appel?



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Problème de déchets non-réglé

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Publication : 12 novembre 2020
Par M. Tomasz Szkopek-Szkopowski

Suite à l’article paru dans le Journal d’Outremont où le maire d’Outremont affirme que « … quand un citoyen observe quelque chose d’anormal ou constate des irrégularités, il écrit ou appelle au 311 et on agit rapidement », un résidant de l’avenue Bloomfield réagit et nous fait parvenir cette missive que nous reproduisons intégralement.

dechets2

J'ai lu avec intérêt l'article de M. Joanny-Furtin du 4 novembre 2020 intitulé "PROGRAMMES & RÉGLEMENTS, QUI VEILLE AU GRAIN?" Vous serez peut-être intéressé de savoir qu'il existe un problème similaire dans la ruelle entre Champagneur et Bloomfield.
Le problème de la construction sans permis et des déchets de construction persiste depuis plus d'un an. Ma première communication à la ville concernant ce problème date du 25 mars 2020. Ma plus récente communication à la ville est jointe (voir plus bas).

J'espère que l'administration municipale prendra des mesures pour réaliser ses objectifs d'un quartier plus vert et plus sécuritaire.

Cordialement,
Tomasz Szkopek-Szkopowski

Chers représentants de l'arrondissement d'Outremont,

J'espère que vous allez bien.

Je vous écris pour vous informer que la situation concernant les déchets de construction à l'arrière du XXX avenue Champagneur n'a pas été réglée. La toilette cassée reste. Des pots de peinture usagés, un évier cassé et plus de déchets ont été ajoutés. Fait alarmant, la zone est parfois utilisée comme urinoir en plein air par les travailleurs de la construction. Je ne pense pas que ce soit acceptable pour une ruelle où les enfants jouent. Veuillez consulter les photos ci-jointes.

En ce qui concerne le respect des règlements municipaux, j'ai plusieurs autres observations. Il n'y a pas de permis de construire visible sur la propriété, à l'avant ou à l'arrière. La construction avec des outils électriques se poursuit les dimanches. Un climatiseur a été installé sur le toit, avec un câble d'alimentation perforant le mur extérieur. J'ai annoté des photos pour votre commodité.

Veuillez me faire savoir si je devrais contacter une autre autorité concernant cette situation.

Merci de votre coopération pour assurer la verdure et la sécurité de notre quartier.

Sincèrement,
Tomasz Szkopek-Szkopowski
Av. Bloomfield



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Racisme systémique à Outremont?

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Publication : 2 novembre 2020
Par Pierre Joncas

Une lettre de M. Pierre Joncas à l’adresse de M. le maire Philipe Tomlinson

« Il faut prendre acte qu’ici, à Outremont, il y a du racisme systémique» 1, avez-vous répondu, le 13 octobre, à la question de Shannon Babcock sur les mesures prises par notre Conseil pour transformer Outremont en « société plus inclusive et plus juste». Parallèlement, notre concitoyenne évoqua la suffocation de George Floyd par un agent de police et le décès poignant de Joyce Echaquan sous le regard méprisant et les paroles insultantes de ses soignantes.

Les allusions de Mme Babcock portent à imaginer une crise à peine moins alarmante à Outremont qu’à Minneapolis, et un dédain pour notre minorité hassidique comparable à celui d’employées atypiques de l’hôpital de Joliette pour une autochtone. La suffisance de votre réponse conforte cette impression.

Je suis disposé à accepter que les propos de notre concitoyenne étaient irréfléchis, et votre réponse de même. Vous êtes cependant maire : n’est-ce pas votre rôle d’atténuer l’animosité, non de l’alimenter et d’intensifier la polarisation malsaine qui nous déchire?

Examinons les présupposés de la question et de votre réponse à la lumière des faits.

D’abord, le présupposé de l’ exclusion que les résidants majoritaires d’Outremont seraient coupables d’infliger à la minorité hassidique de l’arrondissement.

Le 24 novembre 2013 à l’émission Second Regard, le rabbin Eliezer Franfurter expliqua que le hassid recherche Dieu sans relâche et avec enthousiasme. Ce rabbin s’estime gardien d’une vérité transmise par Dieu à Moïse sur le mont Sinaï. Sa tâche, ajoute-t-il, est de la préserver et de la perpétuer, de protéger ses ouailles contre les influences hérétiques corruptrices de l’extérieur, c’est-à-dire les nôtres. « On est quand même dans un pays avec des gens qui ont d’autres cultures, poursuit-il […] D’avoir vraiment une relation tout à fait hétérogène – on va tout partager, puis on va vivre comme tout le monde – c’est impossible, c’est inconcevable. Et on est obligés d’avoir […] une certaine attitude qui est : “OK. Nous on vous dérange pas, mais surtout ne nous dérangez pas.” » Qui cherche à exclure qui? Si, par respect pour le souci de fidélité des ultra-orthodoxes aux préceptes de leur rabbin, la majorité se tient à leur écart, n’est-il pas malséant de le lui reprocher?

Ensuite, le présupposé du racisme systémique.

Vous affirmez que le racisme systémique existe « depuis des années […] dans nos rues, nos ruelles, nos parcs ». L’allégation est grave. Auriez-vous, ainsi que votre Comité de voisinage et votre Table de concertation, conclu à son existence avant même d’avoir étudié la question? Quelle assurance aurons-nous de l’objectivité des membres de ces corps consultatifs? Précisez, s’il vous plaît, votre interprétation de l’expression « racisme systémique ». Reconnaître que « c’est complexe et large » ne suffira pas. Comme l’a noté Nicolas Boileau, « Ce qui se conçoit bien s’énonce clairement ».

Pierre Joncas

1http://journaloutremont.com/nouvelles/vie-municipale/a-outremont-il-y-a-du-racisme-systemique

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Vivre ensemble en période de pandémie

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Publication : 15 octobre 2020
Par Mmes Monique Hervieu et Francine Séguin

Nous continuons à vivre une crise sanitaire dont l’ampleur et les conséquences sont encore difficiles à prédire. Dans un tel contexte, les actions des uns ont inévitablement des impacts importants sur le sort des autres. Au début de la première vague en mars dernier, Outremont faisait partie des quartiers les plus durement frappés par la COVID-19. Alors que les rassemblements étaient interdits, nous avions appris que des mariages à grand déploiement avaient eu lieu dans la communauté hassidique avec plusieurs invités en provenance de New York. Alors que le confinement était déjà imposé par la Direction de la santé publique du Québec, nous avions aussi appris que des rassemblements de prières dans les synagogues continuaient d’avoir lieu.

Nous vivons actuellement une deuxième vague de pandémie. Comme l’indique l’article de la Presse du mardi 13 octobre, des rassemblements religieux importants, tant intérieurs qu’extérieurs, ont eu lieu à Boisbriand. C’est aussi à Outremont, où la communauté hassidique est importante, que l’on recense actuellement le plus grand nombre de cas par 100 000 habitants (NDLR en date du 13 octobre 2020), selon la Direction de la santé publique de Montréal.

Comment expliquer ce comportement des Hassidim, comportement qui met en danger leur santé et celle de leurs concitoyens?

D’une part, beaucoup de juifs hassidiques ont érigé un mur entre eux et la communauté dans laquelle ils vivent et ce, afin de préserver leur identité. Repliés sur eux-mêmes, ils se conforment aux règles sociales si elles ne vont pas à l’encontre de leurs croyances et de leurs pratiques religieuses. D’autre part, ils suivent les directives de leurs rabbins plutôt que celles des autorités gouvernementales. Un professeur de droit à l’Université Bar-Ilan, et senior fellow à l’Institut démocratique d’Israël, écrivait sur ce sujet dans le Times of Israël du 8 avril dernier :

« C’est un moment rare dans l’histoire où deux sources d’autorité se sont confrontées pour gérer une question de vie ou de mort. Une source d’autorité est le gouvernement et les scientifiques qui ont ordonné la suspension de tout rassemblement religieux jusqu’à la fin de la crise. Et l’autre source d’autorité est celle du grand rabbin qui croit que tout est dans les mains du ciel et que les prières de la Torah vont surmonter la crise. Pendant deux semaines, la voix du rabbin a triomphé sur celle du gouvernement. En conséquence, les juifs orthodoxes, qui constituent 12% de la population ont représenté jusqu’à 60% des cas de COVID-19 dans les hôpitaux israéliens.» (traduction libre).

Il concluait qu’en agissant ainsi, les juifs hassidiques portaient atteinte à la santé de leurs concitoyens et à celle de la population israélienne en général. Il insistait aussi sur la nécessité qu’en démocratie, une seule loi doit s’appliquer.

Tout récemment, dans le Times of Israël, on pouvait lire ceci: « Aucune communauté n’est une île. Tant que les Israéliens Haredi (souvent appelés juifs ultra-orthodoxes ou simplement ultra-orthodoxes) se considéreront comme coupés des institutions de l’État, leurs comportements iront à l’encontre des normes et règles publiques. » (traduction libre). Cette problématique nous semble tout aussi pertinente chez nous à Outremont.

Alors que nous venons d’entrer dans la deuxième vague de la pandémie, qui peut être encore plus difficile que la première, il est primordial que les autorités gouvernementales s’assurent que la loi et les règles s’appliquent à tous de la même façon. C’est ce qu’on appelle l’équité réglementaire. Alors que les rassemblements intérieurs et extérieurs demeurent interdits et que la distanciation sociale est toujours nécessaire, il faut s’assurer qu’une seule loi, celle du gouvernement du Québec, s’applique à tous les citoyens de la même façon, et que la santé de tous les citoyens soit ainsi protégée. C’est ce que doit signifier VIVRE ENSEMBLE à Outremont.

Monique Hervieu et Francine Séguin Citoyennes de longue date d’Outremont



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L’art de piper les dés

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Publication : 9 octobre 2020
Par M. Pierre Lacerte

Le 2 mars 2020, le maire Philipe Tomlinson annonçait l’adoption d’un budget pour, entre autres, financer une étude qui permettra de cartographier les espaces publics, les parcs et les trottoirs partagés par les communautés juives et non-juives. L’idée étant de savoir si l’harmonie règne sur nos trottoirs et nos bancs publics.

Quel bonheur ce fut d’entendre le maire raconter qu’il en avait assez des discussions sur les relations avec les juifs hassidiques basées sur des rumeurs ou des ouï-dire ! Il souhaite désormais asseoir ses politiques d’accommodements sur du solide. Même la conseillère Mindy Pollak s’est montrée des plus heureuses en sachant que Projet Montréal pourra enfin compter sur des données provenant d’études «neutres» et «indépendantes»1.

Or, n’en déplaise à Projet Montréal, en confiant l’une de ces études à Mme Valentina Gaddi, Philipe Tomlinson torpille lui-même ce dialogue avant même qu’il ne puisse débuter.

Il faut savoir que Mme Gaddi ne s’est pas simplement intéressée de près aux relations intercommunautaires de notre arrondissement. Elle s’y est investie au point de fusionner avec les groupes hassidiques et leurs supporteurs. De toute évidence, elle n’a pas su garder la distance professionnelle nécessaire pour jouer son rôle adéquatement.

Les signes de son implication sont nombreux, mais s’il fallait commencer par ce qui est absolument inconcevable de la part d’un chercheur digne de ce nom, soulignons que Mme Gaddi a choisi de devenir officiellement administratrice de l’association activiste Friends of Hutchison Street 2 (FOHS) fondée par nulle autre que Mindy Pollak.

Pendant au moins deux ans et jusqu’en janvier dernier, son nom figure à ce titre au registre des entreprises du Québec.3 Il n’est pas anodin de noter que la doctorante de l’Université de Montréal n’a renoncé à sa fonction au sein du groupuscule des FOHS qu’au moment où M. Tomlinson s’apprêtait à la choisir pour remplir son mandat salvateur pour l’harmonie du quartier.

Le parti pris de Mme Gaddi date de bien plus longtemps. Par exemple, dans le cadre du IXe colloque de l'ACSSUM4 (13 et 14 mars 2014), elle avoue avoir choisi de participer et de collaborer avec les Friends of Hutchison Street et un autre groupe d’activistes (qu’elle surnomme Y) «non seulement pour mon intérêt de recherche», mais bien parce que «je partage les buts de ces associations et que je suis personnellement engagée, comme les autres membres… pour atteindre ces buts ». Le tout, ajoute-t-elle, au risque «d’orienter mon propre terrain de recherche et de développer une relation d’extrême proximité». On saurait difficilement trouver experte plus officiellement tendancieuse.

Pour ne rien arranger, lors de ce même évènement, Mme Gaddi révélait avoir conduit son enquête ethnographique en terre outremontaise auprès de deux groupes qui ne comptent aucun Québécois francophone.

On lui sait gré de sa franchise, mais on se demande tout de même où elle a remisé tous ces résidents francophones alors qu’elle avait déjà avoué « vouloir aller au fond des choses, provoquer la discussion, surtout avec ceux qui ne pensent pas comme moi ». Le fait d’avoir milité et soutenu ouvertement Mindy Pollak, la candidate de Projet Montréal, lors des élections de 2013 explique son parti-pris flagrant.

En raison de ses agissements antérieurs, Valentina Gaddi a allègrement passé la mesure et s'est placée dans une position intenable pour réaliser un mandat aussi petit soit-il et dont la finalité est pourtant de favoriser le dialogue entre les citoyens d'Outremont.

Mais, en premier lieu et en fin de compte, le principal coupable n'est pas Mme Gaddi. La bavure est le fait de Philipe Tomlinson.

Il semble assez clair que Projet Montréal cherche les façons d'aligner les astres pour répondre à ses intérêts électoralistes.

Pierre Lacerte

1 https://www.ledevoir.com/societe/573943/une-etude-pour-mieux-comprendre-les-hassidiques
2 https://www.facebook.com/FriendsAmisHutchison
3 https://drive.google.com/file/d/1af1o1s7zxFtkZC7nfqmjCTa5Oas5eJSv/view
4 https://drive.google.com/file/d/1OkiqnGUmYNSBNiye-OjdoKeyhKXFufFK/view


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Baisse ou hausse de taxes ?

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Publication : 7 octobre 2020
Par M. Marc Poulin

Au conseil spécial sur le budget, M Tomlinson a affirmé, et je cite, « pour quelqu’un qui a une résidence dans la moyenne il va y avoir une baisse de taxe de 23,93 $ », et ce malgré une hausse de la taxe locale. LA RÉALITÉ EST TOUT AUTRE, l’unifamiliale moyenne à Outremont va voir son compte de taxe AUGMENTER de 19,31 $. Hier (lundi soir dernier), M. Tomlinson peinait à nous expliquer ses tableaux mentionnant que « il y a beaucoup de calculs qui entrent dans ces données-là », mais malheureusement pour nous le Maire ne maîtrisait pas son sujet.

La simple logique aurait dû mettre la puce à l’oreille de notre Maire : Comment peut-on augmenter les revenus de 2% tout en baissant le compte de taxe moyen dans un arrondissement presque tout bâti? N’en déplaise à M. le Maire, l’administration Projet Montréal n’a pas encore réussi à faire en sorte que l’argent pousse dans les arbres.

En fait le tableau présenté par le Maire oublie de tenir compte que la valeur de l’unifamiliale moyenne à Outremont va passer de 1 595 000 à 1 689 000$ en 2021 compte tenu que l’augmentation du rôle d’évaluation de 16,1% a été répartie sur 3 ans. Ainsi la résidence moyenne valait au rôle 1 595 000$ et payait un taux de 0,0475 pour un compte de 757,63$ et en 2021 elle va avoir une valeur au rôle de 1 689 000 $ à un taux de 0,046 pour une facture de 776, 94$.

Je ne sais pas si c’est guidé par l’euphorie de ses inhabilités mathématiques que M. Tomlinson n’a pas hésité à budgéter des hausses de dépenses de 2,5% qui s’ajoutent au 5% de l’an dernier, mais il n’en demeure pas moins que l’arrondissement augmentent encore une fois ses dépenses bien au-delà de l’inflation.

La présentation du budget ne dit pas si une partie de ces hausses de taxes vont servir à augmenter les salaires des conseillères, mais les dépenses du cabinet du maire augmentent de 30% l’an prochain.

M. Tomlinson allez-vous publiquement reconnaître votre erreur et faire amende honorable à la prochaine séance du conseil mardi prochain? A défaut de quoi nous devrons interpréter que ce n’était pas une erreur, aussi inquiétante soit-elle, mais bien une tentative d’induire les citoyens en erreur.

Marc Poulin



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