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DANGEREUX SOCLES DE POUBELLES AU PARC KENNEDY

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Publication : 24 avril 2020
Par Mariclaude Ouimet

Lundi 6 avril 2020. Promenade dans le parc Kennedy. Je remarque des plaques de ciment dont les 4 vis apparentes de presque 5 cm m’apparaissent potentiellement dangereuses. J’en avise à haute voix Madame Patreau que je croise fortuitement et elle me répond qu’elle est au courant car des poubelles vont y être vissées très bientôt. Je me dis qu’elle doit être rudement bien informée et concernée puisqu’elle est conseillère du district Joseph-Beaubien, présidente du comité Parc/Environnement et que résidant face au parc, elle a le temps quotidiennement de faire une vérification de l’état des lieux.

Mardi 7 avril 2020. J’écris un courriel à la conseillère Patreau (la directrice d’arrondissement et le maire Tomlinson sont en c.c.) qui m’affirme qu’elle n’a pas attendu mon message pour faire un suivi sur plusieurs points à améliorer dans ce parc.

Jeudi 16 avril 2020. Promenade dans le parc Kennedy. Sur les 4 socles de poubelles problématiques, 2 ont été neutralisés et 2 représentent toujours un certain danger. Courriel a été envoyé aux 3 personnes mentionnées dans le courriel du 7 avril.

Jeudi 23 avril 2020. Il fait beau soleil. Promenade dans le parc Kennedy : plusieurs jeunes enfants y font des courses de vélo et d’autres courent partout. Il y a toujours 2 socles de poubelles dont les vis apparentes représentent un sérieux danger. De guerre lasse devant l’inaction administrative, j’ai téléphoné au 311 en espérant que ma plainte sera plus efficace que le suivi promis par la conseillère Patreau.

Une personne de l’administration Tomlinson est forcément imputable pour cette situation qui perdure, à ma connaissance, depuis plus de 3 semaines. Paresse ? Incompétence ? Manque de coordination ? Laxisme ? Je m’en-foutisme ? Toutes ces réponses ?

Mariclaude Ouimet


restaurantlaurea.com



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QUAND LE PÉTROLE S’ÉCRASE!

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Publication : 21 avril 2020
Par M. Alberto delBurgo

Quand nous avons connu la crise du pétrole et subi l’agressivité des multinationales en 1973, dans un discours célèbre, le Président Nixon avait eu à la télé un lapsus historique :

Recommandant qu’à l’avenir nous n’ayons plus à subir le chantage des apprentis sorciers du Moyen-Orient il émit l’intention de mettre l’Amérique à l’abri de toute énergie étrangère, mais sa langue fourcha et il prononça : mettre l’Amérique à l’abri de tout ennemi étranger : we will be free of any foreign ennemy…. Ooops! We will be free of any foreign energy!

Voici que le gros du continent de l’Amérique du Nord, voit son pétrole tomber en dessous de zéro! Les pétrolières sont prêtes à payer pour qu’on les débarrasse de leurs excédents de pétrole et pourtant, personne ne se presse pour faire la queue pendant des heures devant les stations d’essence!

La solution serait que les producteurs qui ont peur de voir leurs puits s’abîmer faute d’usage, offrent une journée internationale de plein gratuit aux automobilistes!... même du super!!!

Nous ferons alors la queue devant les stations service, même si ça doit révolutionner la circulation aux carrefours et perturber l’agressivité des cyclistes qui ont déjà envahi l’espace. Les autos devront se tenir à deux mètres minimum et se mettre un masque sur la grille de la calandre, et leurs lave-glace sera de l’alcool à 70 degrés. Les stations feront plaisir aux voisins qui accepteront volontiers de faire faire les petites réparations ou entretiens pour le plus grand bonheur des mécaniciens et des pompistes qui recevront de généreux pourboires des assoiffés de fuel. Les puits recommenceront à puiser, les pompistes à pomper, les chauffards à chauffer… Et les gouvernements fédéral, provinciaux et municipaux ... à taxer (à titre provisoire bien sûr!).

Les trésors de notre sous-sol seront préservés pour ne pas en priver la couche d’ozone (présentement en rémission), et maintenir la faune marine en hausse, (J’adore le tilapia, le saumon et le mahi-mahi) et la liste des cancéreux en baisse! Le surplus d’oncologues ira aider les aides soignants dans les dernières (?) résidences des aînés, confirmant ainsi un mouvement de dé-civilisation et de dé confinement amorcé déjà par d’autres pays souvent totalitaires, sur notre continent ou ailleurs!

On devra alors assurer aux personnes âgées en perte d’autonomie, des revenus leur permettant de se faire transporter et livrer leurs emplettes, et des logements où ils ne sentiront pas comme des lions en cage. Pour moi, je propose mes services pour les encourager à rester confinés pour laisser le monde continuer à mal tourner…



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Quand on dépense sans compter… et mal

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Publication : 15 avril 2020
Par M. Marc Poulin

Lors du dernier conseil d’arrondissement l’équipe Projet Montréal de M. Tomlinson a voté un montant de 50 000$, puisé à même les surplus de l’arrondissement, pour financer des organismes communautaires dans le cadre de la crise de la COVID 19. Ce montant s’ajoute aux 40 000$ déjà octroyés à Centraide à même le surplus.

On comprend que la crise de la COVID 19 est un évènement extraordinaire et que les besoins sont criant. Personne ne conteste l’à propos de faire quelque chose. Il n’en demeure pas moins que même en temps de crise, on peut dépenser l’argent à bon escient. M. Tomlinson n’a pas été à même de justifier la somme demandée, ni de nous détailler qui allait recevoir ces sommes et pour quels projets. En fait, il confie à la directrice générale la responsabilité de déterminer, selon son bon vouloir, à qui ces sommes seront allouées.

Questionné par M. Corbeil (seul conseiller de l’opposition) sur la façon quelque peu désinvolte de dépenser les deniers publics, M. Tomlinson a choisi de porter en dérision l’intervention de ce dernier. Cette façon de faire est pourtant un autre exemple du manque de rigueur fiscale de cette administration. Tout d’abord, un gestionnaire aurait déterminé clairement pour quel type de projets l’argent serait dépensé. Va-t-on favoriser des projets d’aide alimentaire, des projets de support psychologique aux ainés, des projets pour supporter les commerçants, etc...? On ne le sait pas et la motion votée ne le dit pas. Deuxièmement quels sont les critères qui vont permettre de choisir les organismes qui bénéficieront des fonds. Comment va-t-on s’assurer que les sommes qui leurs seront confiées vont être bien investies. Devront-elles déposer un projet pour justifier leurs subventions? Quels sont les organismes qui se qualifient? Est-ce que ce programmes va se limiter à des organismes qui ont pignons sur rues depuis de nombreuses années et dont on peut vérifier la rigueur financière ou va-t-on accorder des sommes à quiquonque s’est improvisé organisme de charité dans la foulée de la crise? Autant de questions non répondues.

Pourtant la rigueur qui fait défaut à Projet Montréal Outremont on la retrouve dans d’autres arrondissements. Prenez St-Laurent, par exemple, qui faisait l’annonce suivante le lendemain de notre conseil d’arrondissement : Le conseil de Saint-Laurent confirme que sept organismes sociocommunautaires se partagent un soutien particulier totalisant 50 000 $ dans le cadre du Fonds d'urgence COVID-19. Ressources jeunesse de Saint-Laurent, l'Accueil au cœur de l'enfance / Centre de pédiatrie sociale, le Centre d'action bénévole et communautaire Saint-Laurent, le YMCA Saint-Laurent, le COCLA, le CEJFI et le Comité logement Saint-Laurent sont donc retenus. Plus sollicités que jamais, ces organismes soutiennent les locataires, distribuent des aliments et offrent des services aux jeunes adultes en maison d'hébergement, entre autres.

Tout y est. Notez au passage que pour un arrondissement quatre fois populeux que le nôtre la somme investie est la même. À Outremont on dépense avant d’avoir validé les projets et on sème à tout vent. Nos conseillères Projet Montréal sont de toute évidence plus préoccupées de trouver des façons de préserver leur augmentation de salaire rétroactive (en reportant le vote plutôt que de retirer la motion) que de travailler à bâtir des projets structurants avec les organismes de l’arrondissement face à la COVID 19. Aux États-Unis ce genre de programme flou de dispersion des fonds a un nom : pork barrel. Il ne nous reste qu’à espérer que les sommes allouées le seront en toute transparence et que, contrairement à la pratique américaine, elles ne seront pas allouées sur des bases politiques.



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Crise de la COVID19 : où est le maire d’Outremont ?

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Publication : 31 mars 2020
Par François Audet

Un message ? C’est ce qu’on aurait espéré recevoir de la part du maire, ou de ses représentants. Au moment où le monde entier incluant notre arrondissement vit une crise historique, il aurait été essentiel de la part de nos élus d’envoyer un message clair concernant la gestion de l’arrondissement et des facteurs de risques ainsi que des directives sur les mesures de sécurité à suivre. Bref, nous aurions espéré du Maire Tomlinson qu’il soit présent et qu’il assume les responsabilités pour lesquelles il a été élu.

Force est d’admettre cependant que le leadership en temps de crise n’est pas donné à tous. Le manque de leadership et l’absence totale de directives comme l’on voit actuellement de la part de nos élus à Outremont devraient pousser les autorités de la ville centre et du gouvernement à envisager la possibilité d’une mise en tutelle.

En effet, Outremont est l’un des secteurs les plus touchés par l’épidémie de la COVID-19 au Canada. Parallèlement, les problèmes bien documentés d’insalubrité, d’accumulation de déchets domestiques, et du manque d’entretien des ruelles mettent Outremont à risque d’une réelle situation de crise de santé publique. Le contexte insalubre d’Outremont peut exacerber les risques sanitaires. C’est ce qui doit être évité en pleine pandémie mondiale. Qui plus est, alors que les décrets étaient déjà annoncés par la province de Québec, les autorités d’Outremont ont délaissé la ville, laissé des activés publics se maintenir, et n’ont pas pris l’initiative de communiquer avec la population afin de faire une présentation adéquate de la situation et une mise en place d’un plan de gestion sanitaire de l’arrondissement. En somme, le capitaine a quitté son bateau avant qu’il ne coule.

Les citoyens d’Outremont sont en droit d’exiger des explications de ces lacunes. Le maire d’Outremont et son équipe sont actuellement responsables d’une grave négligence et ils devront répondre de leur manque de diligence.

François Audet



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FLIRTER AVEC L’IMPENSABLE

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Publication : 31 mars 2020
Par M. Alberto Del Burgo

J’espère que vous n’êtes pas tannés de lire encore un texte sur ce maudit virus!

Et pourtant, nous ne regarderons jamais plus avec envie les diablesses pulpeuses du carnaval de Rio, et les croisières dans des palaces flottants n’occuperont plus la première place de nos rêves.

Serrer nos jeunes dans les bras (et les moins jeunes aussi!), secouer les mains des copains sans nous précipiter sur le flacon de Purel, se saluer poing contre poing, faire bruyamment atchoum! tousser sans mettre ostensiblement le nez au creux de votre coude, (Ah! elle doit être belle, votre chemise!), fréquenter les foules d’un festival du film, d’un luxueux casino, d’un événement sportif ou faire la queue pour y entrer, partager généreusement notre clavier d’ordi, notre sandwich, notre bière, une frite brûlante, une pizza succulente ou notre… intimité, sourire à une caissière sans reflets sur son plexiglas, autant de gestes que nous faisions sans y penser, ça va être difficile sans une arrière pensée parano.

On ne pourra plus, comme certains charmants petit vieux, distribuer généreusement de chastes becs à toutes les belles inconnues ou connues, sans y trouver de résistance, après le confinement. Seuls nos infatigables politiciens viennent le faire quotidiennement, (…le con, finement), en nous promettant de dépenser abondamment les milliards qu’ils refusent systématiquement à des causes bien plus modestes…

On nous recommande régulièrement de nous laver les mains à l’eau et au savon, faute des gants et désinfectants, accaparés par de gros malins et stockés dans des chambres fortes!.. Et puis, bonne nouvelle : Le Dr. Weiss passe son message : Quand je me regarde, je me désole, mais quand je regarde les autres, je me console…



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Camp de Jour et choix politiques

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Publication : 27 mars 2020
Par Marc Poulin

L’arrondissement vient, avec un certain retard qui a fait en sorte que les renseignements ne firent pas partie de la programmation d’été publiée en début de mois, de faire connaitre la tarification du camp de jour pour l’été 2020. Plusieurs parents ont sursautés devant les tarifs exigés qui dans certains cas peuvent passer du simple au double selon les options choisies. Décidément confier le camp Soleil à une OBNL ne se fera pas sans heurt.

Cela dit, il ne faut pas s’en surprendre. En vertu des données recueillies lors du budget, le camp de jour géré par la ville en 2020 aurait généré des pertes de 128 000$ sur des revenus de 170 000$, donc des dépenses de 298 000$ principalement des salaires. Puisque l’arrondissement n’a octroyé qu’une subvention de 30 000$ et comme il est impensable de couper les dépenses de 100 000$ sur un budget d’opération de 298 000$, il fallait bien augmenter les tarifs. (On ne peut augmenter le nombre d’inscrits indéfiniment sans pour autant augmenter les dépenses car il y a des ratios d’encadrement à respecter).

Déjà lors du budget j’avais part de ces commentaires au Maire qui m’avait assuré qu’il avait bon espoir de trouver une OBNL pour faire le camp. Il s’est bien tenu de dire qu’il n’allait pas obliger l’OBNL à maintenir le tarif. Ou encore croyait-il peut-être l’OBNL capable de miracles. Ce n’est pas la faute de l’OBNL qui, je suis sûr, va offrir un camp de qualité. A l’impossible nul n’est tenu.

Le vrai problème c’est que c’est un choix politique de cette administration qui se targue pourtant d’être du côté des familles. Si on avait vraiment voulu continuer la mission sociale d’offrir un camp de jour abordable aux familles, on aurait fixé les tarifs dans l’appel d’offre et augmenter la subvention. Projet Montréal préfère se payer des conseillers politiques ou encore augmenter le salaire des conseillères d’arrondissement. On préfère donner des rabais de stationnement aux résidents et non-résidents à faible revenus plutôt qu’aider les familles à faible revenus qui ont des enfants en leur offrant un camp de jour abordable. Encore un autre exemple de l’incohérence de cette administration.

Marc Poulin
Avenue de la Brunante



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Augmentation de salaires injustifiée

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Publication : 12 mars 2020
Par M. Marc Poulin

Au dernier conseil M. Tomlinson nous annonçait l’intention de Projet Montréal d’augmenter de plus de 12 000$ par an le salaire de nos conseillers d’arrondissement. Cette prime va s’ajouter à diverses primes déjà existantes et porter le salaire de base d’un conseiller d’arrondissement à environ 60 000 $. Évidement si vous êtes du parti au pouvoir et que comme Madame Patreau vous siégez sur divers comités à la ville centre votre rémunération va dorénavant frôler les 100 000 $ par an (source TVA 14 sept. 2019).

Une augmentation substantielle (…)
Premièrement, on vote cette augmentation de façon rétroactive au 1er janvier et n’ayant pas été budgétée, elle sera payée à même le surplus. Pourtant l’approbation du budget au conseil ne date que de quelques mois… Où était l’urgence (…) ? Combien de simples mortels se font fait dire par leur patron alors qu’ils réclamaient une augmentation de salaire ‘’ je comprends mais ce n’est pas prévu au budget, on en reparlera au prochain budget’’. Pas à Outremont car les budgets, on les manipule…. Il était beau d’entendre la résidente du Mile End et conseillère Mindy Pollak, justifier cette utilisation du surplus pour financer une dépense d’opération récurrente, par le fait que le budget présenté ne faisait pas appel aux surplus (vrai mais ceci fut accompli en modifiant la façon de comptabiliser certains revenus…). En fait depuis le dépôt du budget, Projet Montréal a approuvé pour 283 000$ de dépenses imputées au surplus (dont 125 000$ récurrente). A vous de juger si il s’agit de mauvaise planification ou d’un tour de passe-passe pour se vanter d’un budget équilibré.

Deuxièmement, les raisons invoquées. D’abord d’autres arrondissement le font pourquoi pas nous? Doit-on rappeler à nos élues qu’Outremont est l’un des plus petits arrondissements? Que St-Laurent avec sa population de 98 000 âmes accorde une prime à ses 2 conseillers d’arrondissement qui représentent 25 000 citoyens chacun, cela peut se comprendre. Mais 4 primes à Outremont pour représenter environ 5500 citoyens par conseillers, c’est indécent. Si Mme Magini voulait le salaire d’un conseiller de ville, elle n’avait qu’à se présenter dans Côte-des-Neiges où elle habite.

On invoque aussi, un surplus de tâche dans la dernière année. On comprend que les conseillères ont dû être plus fortement sollicitées dans les derniers 9 mois suites aux politiques improvisées de cette administration. Mais le style de gestion de l’équipe Tomlinson est aussi en cause, quand on privilégie des contacts individuels plutôt qu’une consultation publique en bonne et due forme pour discuter du plan de stationnement, c’est fortement inefficace et occasionne un surplus de travail. Doit-on payer 50 000$ par an ad vitam aeternam pour ce choix politique?

On oublie également que cette équipe s’est dotée d’un conseiller politique à 80 000$ par année en début de mandat, sous prétexte de mieux répondre aux questions des citoyens. Et pourtant à 130 000$ de nouvelles dépenses de représentation, de nombreuses questions des citoyens restent sans réponse…

Troisièmement, ce salaire n’a aucune mesure avec celui des conseillers de villes de villes comparables à Outremont ailleurs dans l’agglomération. C’est environ 25 000$ à Mont-Royal, Westmount, Saint-Lambert, DDO etc…. La différence s’explique par le fait que dans ces municipalités, le rôle de conseiller en est un de service public assumé souvent à temps partiel. A Outremont, sous Projet Montréal, on voit ces rôles comme des rôles politiques à temps plein. Il est indéniable que les conseillères de Projet Montréal sont très présentes dans les activités politiques du parti, probablement un bon moyen pour assurer sa réélection, mais cela ne justifie pas de refiler la facture aux citoyens d’Outremont.

Quand Outremont était une ville, on avait 9 conseillers à temps partiel, habitant tous Outremont et payés environ 10 000$ chacun. Aujourd’hui c’est 4 politiciens professionnels payés à temps plein 60 000$ et souvent parachutées de l’extérieur. Ça coute beaucoup plus cher, mais sommes-nous mieux servi?

Marc Poulin
Avenue de la Brunante



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Stationnement : le point de vue d’un travailleur

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Publication : 28 février 2020
Par Philippe Beauchamp

Je suis travailleur autonome depuis 30 ans desservant l’arrondissement d’Outremont et Côte-des-Neiges, pendant 17 ans au CEPSUM, ensuite dans des locaux loués dans l’arrondissement d’Outremont.

Malgré mon âge (69 ans), je travaille à temps partiel (2 jours/semaine) au 1569 avenue Van Horne chez Mince Alors! Pour continuer à servir une clientèle qui m’est restée fidèle depuis de nombreuses années. Je me déplace en auto, car je fais aussi du massage à domicile pour les personnes âgées et quelques personnes atteintes de problèmes de mobilité réduite dans le quartier.

Le transport de ma table ainsi que les accessoires ne peuvent se faire en transport en commun. À l’annonce de la tarification annuelle de 1200 $ pour une vignette de stationnement, je remets en cause mon acharnement à continuer à travailler pour rendre service à ma clientèle et me rendre utile. Si je renonce à offrir mes services à cette clientèle très localisée (dans le H2V), alors les résidents perdront leur thérapeute (je fais principalement du massage thérapeutique). Les commerçants/restaurateurs à proximité vont également perdre un client et la propriétaire du commerce, où je donne mes soins, perdra un locataire et une source de revenus apportée par ma clientèle.

Ce que je souhaite, c’est une tarification qui est respectueuse de notre capacité à payer, surtout pour des travailleurs autonomes ou des contractuels qui ne peuvent dépenser de telle somme.

Tout le monde est pour la vertu, mais le fait de « punir » les automobilistes qui doivent stationner dans les rues d’Outremont n’apportera pas une solution durable au manque de stationnement dans le quartier.

Aspects économiques
• Fragilise les emplois à temps partiel à Outremont.
• En diminuant ces emplois, vous diminuez l’offre de service aux résidents.
• Vous diminuez les retombées économiques de ces travailleurs dans le quartier.
• Certains travailleurs autonomes doivent se déplacer plusieurs fois dans une même journée pour remplir leurs fonctions, parfois avec de l’équipement (c’est mon cas), donc le transport en commun n’est pas une option.

Aspects logistiques
• Dans le secteur Davaar/McEachran, il y a peu de triplex ou même de duplex, donc il n’y a aucune pénurie de stationnement pour les résidents du quartier.
• Le représentant de l’Université de Montréal a démenti la notion que les étudiants du nouveau campus des sciences prenaient massivement leurs voitures pour se rendre à l’école.
• Le nouveau REM qui aura une gare à la station Edouard-Montpetit, n’augmentera pas plus la demande de places de stationnement dans ce secteur, vu que depuis les 30 dernières années où j’ai travaillé dans ce secteur, il n’y avait jamais eu de disponibilité de stationnement à cause du CEPSUM et du campus de l’Université de Montréal.
• Tout mouvement pour l’écologie ou toute forme de taxation devrait être progressif.
• Ce qui serait souhaitable, ce serait au mieux des places sans vignette comme c’est le cas présentement : au pire, une facturation qui respecte la capacité du monde à payer.

Philippe Beauchamp
massothérapeute
avenue Van Horne



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Une citoyenne demande un moratoire

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Publication : 28 février 2020
Par Mme Tatiana Tourville

Je m’appelle Tatiana Tourville, je vis à Outremont depuis mai 1968 - donc presque 52 ans!

(…)

Au sujet du nouveau règlement de stationnement, personnellement je n’ai pas de problème étant donné que j’ai un garage et en plus une place à l’extérieur. J’ai recueilli plus de 70 signatures pour qu’il y ait une consultation: je me bas pour ceux et celles qui avaient des vignettes car ils habitent des rues avec beaucoup de logements, qui en arrivant avec leurs emplettes, après une journée de travail, avec leurs enfants, celles qui ont des problèmes de se déplacer à pieds …. pouvaient toujours trouver une place pour se garer. Maintenant ce n’est plus le cas.

Je trouve aussi très injuste que les professeurs, les éducatrices des garderies, tous les employés dans les différents commerces, restaurants, doivent payer $1200 par année pour venir enseigner aux enfants, en prendre soin, nous offrir différents services, etc… C’est un non-sens total.

Et quoi dire de la taxe sur l’hospitalité: si un ami me rend visite a l’improviste, je dois partir une minuterie à son arrivée pour éviter une contravention, ou alors lui demander combien de temps il compte rester et l’informer que, soit moi ou lui, devra payer $10 pour passer un moment convivial ! En plus il s’agit d’une autre taxe ! Sans compter que donner le numéro des plaques d’immatriculation de nos visiteurs est une atteinte à la vie privée. Ce service devrait être gratuit, car taxer l’hospitalité, c’est le comble du non-sens !

Ce plan de stationnement est basé sur de fausses données : 10 000 étudiants de l' UDM viendraient se stationner chez nous, quand c’est à peine 275 selon M. Jean Renaud, directeur de cabinet du recteur de l’Université de Montréal. Il n’a pas eu d’étude, ni de consultation avec les citoyens, il nous a été simplement imposé de force.

Je suis pour la diminution des GES, pour plus de verdure, plantations d'arbres, etc… mais le plan de M. Tomlinson n’adresse aucun de ces enjeux.

Pour toutes ces raisons, je demande un moratoire.

Tatiana Tourville
Av.Antonine-Maillet



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Réponse au Conseil régional de l’environnement de Montréal (1)

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Publication : 26 février 2020
Par M. Pierre Joncas

Le règlement de stationnement d’Outremont aggrave le problème qu’il est censé résoudre. Nonobstant les prétentions du maire, il ne réduira les émissions ni de polluants ni de gaz à effet de serre (GES). Une fois soustraits les frais d’implantation, de contrôle et d’administration, le fruit de la vente des vignettes défrayera à peine les projets de verdissement promis, si tant soit même qu’il les défraie. Si on se fie aux témoignages lors de la consultation publique du 19 février dernier au CCI, à quelques exceptions près les Outremontais accueillent ce règlement avec hostilité.

Auparavant, seuls les résidants de certains secteurs où des foyers sont dépourvus d’un garage éprouvaient de la difficulté à stationner près de chez eux. Malheureusement, non seulement la vignette unique ne les protège-t-elle pas, elle expose de nouveaux secteurs au même problème. Pour éviter cet écueil, il eût fallu implanter un régime de vignettes locales réservant l’exclusivité du stationnement aux riverains. Ce n’est pas tout. Une abondance de témoignages de non-résidants révèle que le coût de leur vignette entraînera de graves problèmes pour des enseignants, des ouvriers spécialisés (plombiers, électriciens et autres), des employés de commerces, etc., pour qui l’automobile est le seul moyen pratique de déplacement vers ici. Le jour, ils empruntent des espaces libérés par des Outremontais œuvrant ailleurs; le soir, ils les leur rendent. Ils chercheront un emploi ailleurs et, en nous privant de leurs services ici, celui qu’ils trouveront éventuellement réduira notre qualité de vie.

Le règlement crée aussi des problèmes jusqu’à présent inconnus: inquiétudes, le soir et les weekends, lors de l’accueil d’invités (parents, enfants, amis); précarisation de la rentabilité de commerces précieux, en particulier les restaurants fréquentés hors des heures de travail quand moins de véhicules occupent nos rues.

Bref, sans résoudre le problème prétendument ciblé, le règlement de stationnement en crée. Réduira-t-il, en revanche, comme l’assure le maire, celui des émissions?

À moins que son moteur ne tourne à vide, un véhicule stationné ne dégage ni polluants, ni GES: il n’en dégage qu’en circulant. Plus la circulation sera fluide, moins il en dégagera. Or on observe de sérieux problèmes de fluidité sur les artères traversant Outremont. Le matin, les véhicules qui les empruntent viennent surtout du nord et de l’ouest et, en fin d’après-midi, du sud et de l’est. À partir de 15h30, environ, on remarque des bouchons bloquant à répétition l’intersection des avenues McEachran et Van Horne dans les directions nord et ouest. Au feu vert sur McEachran, ou pire au feu jaune, même s’il n’y a pas encore d’espace pour leur véhicule au nord, des conducteurs s’aventurent à traverser Van Horne; quand le feu sur McEachran passe au rouge et celui sur Van Horne au vert, le véhicule engagé entrave la circulation en direction ouest sur Van Horne: les nombreux véhicules retardés sur cette artère tournent à vide. Des blocages se produisent probablement ailleurs pour la même raison. Aux heures de pointe, la présence d’agents de circulation aux intersections stratégiques atténuerait ce problème et réduirait les émissions. Le maire a rejeté d’emblée une suggestion à cet effet.

Le 19 février, un peu après 20h00 au CCI lors de la consultation publique sur le règlement, Mme Alexandra Troubetzkoy, intervenant au nom d’une douzaine de parents, signala une situation où l’on pourrait réduire les émissions délétères. Elle rappela que des autobus scolaires, souvent aux trois quarts vides, circulant sur plusieurs avenues six jours par semaine de 8h00 à 22h00 à une cadence de 50 par jour, contraignent les véhicules derrière eux à stopper parfois d’une porte à la suivante où des enfants sont pris en charge ou déposés, les moteurs dégageant tous polluants et GES pendant ces nombreux arrêts. Mme Troubetzkoy proposa le déplacement actif, en mode trottibus, des enfants vers leur école et au retour, ou le remplacement des autobus au diesel par des autobus électriques.

C’est une répétition, je le sais, mais ce sont les véhicules en déplacement et tournant à vide, non ceux stationnés, qui polluent et dégagent des GES. C’est à leur endroit que l’arrondissement aurait dû, et devrait toujours, intervenir pour réduire les émissions.

Je ne possède pas de voiture et n’en conduis pas depuis plus de treize ans. J’emprunte le transport en commun et m’en porte mieux. Je partage les soucis du Conseil régional de l’environnement eu égard à l’urgence du problème des GES. Je conviens que les signataires de sa déclaration sont des experts de bonne foi. Mais ont-ils examiné les aspects particuliers du stationnement à Outremont? Savent-ils que l’inefficacité et l’importunité du règlement aient rendu incrédules les Outremontais? Apprécient-ils que son adoption irréfléchie et son imposition cavalière les aient rendus réfractaires aux modifications d’habitudes nécessaires pour contribuer leur part à résoudre un péril pour l’humanité de par le globe?

J’ai évoqué une mesure, et Mme Troubetzkoy en a évoqué d’autres que pourrait adopter l’arrondissement dans le champ de ses compétences pour réduire les émissions délétères. Vu la taille du problème et son urgence, ces mesures seraient évidemment insuffisantes. Il faut réduire le parc des véhicules propulsés à l’essence et au diesel. Parce que, pour l’essentiel générée par de l’eau en chute, au Québec l’électricité est «propre»; le passage à un parc de véhicules électriques réduirait donc les émissions. S’il se réalise, toutefois, ce ne sera cependant pas demain. De plus, si propres et si abondantes soient-elles, nos sources d’électricité sont limitées: il en faut aussi pour d’autres usages.

Veux, veux pas, par nécessité écologique il faut réduire notre parc de véhicules automobiles et accroître notre équipement de transport collectif. Le pouvoir et les compétences voulues résident à Ottawa et à Québec. Nos gouvernements pourraient augmenter les taxes sur les véhicules et le carburant, et consacrer le produit complet de l’augmentation au transport collectif. Les arrondissements et les villes n’en n’ont ni les compétences, ni le pouvoir. Compte tenu de cette réalité, à quoi bon importuner les résidants par un règlement aussi gêneur qu’inefficace? Serait-ce farfelu, cynique même, que d’y voir une tentative, fort maladroite d’ailleurs, de récupération du sentiment de responsabilité, louable mais naïf, de citoyens consciencieux?

(1)http://journaloutremont.com/nouvelles/opinions/outremont-une-administration-pour-la-transition-ecologique-3



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