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Le charme des vieilles pierres

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PATRIMOINE
Publication : 10 juillet 2020

PHOTOS LE JOURNAL D’OUTREMONT

L’histoire nous a appris l’importance de cette communauté des Clercs de Saint-Viateur dans l’urbanisation d’Outremont. Le plus ancien des bâtiments qui le composent a été construit en 1896 et abrite aujourd’hui 40 chambres, 35 pour les résidents réguliers et 5 pour les visiteurs occasionnels. C’est ce bâtiment d’allure un peu sévère qu’on surnomme La Bastille. Les chambres sont équipées d’une salle de bain privée, de bureau, télé, ordinateur personnel pour ceux qui le désirent et de tous les objets personnels et souvenirs. La Bastille loge également la cafétéria. Deux bâtiments plus récents datent de 1947. L’un abrite la chapelle, l’autre les services administratifs. Le Journal d’Outremont s’est rendu sur place et vous rapporte ces quelques clichés.

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Le charme des vieilles pierres

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PATRIMOINE
Publication : 10 juillet 2020

L’histoire nous a appris l’importance de cette communauté des Clercs de Saint-Viateur dans l’urbanisation d’Outremont. Le plus ancien des bâtiments qui le composent a été construit en 1896 et abrite aujourd’hui 40 chambres, [...]

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Vivre dans une maison patrimoniale

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PATRIMOINE
Publication : 2 octobre 2019
Par Hélène Côté

Les amateurs de balades dominicales se déplaçaient de Montréal en carriole pour venir admirer cette belle demeure de l’autre côté de la montagne. Outremont, disait-on, un nom qui deviendra l’odonyme d’une ferme, d’une ville, d’un arrondissement. [...]

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Vivre dans une maison patrimoniale

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PATRIMOINE
Publication : 2 octobre 2019
Par Hélène Côté

Les amateurs de balades dominicales se déplaçaient de Montréal en carriole pour venir admirer cette belle demeure de l’autre côté de la montagne. Outremont, disait-on, un nom qui deviendra l’odonyme d’une ferme, d’une ville, d’un arrondissement.

PHOTO ARCHIVES NOTMAN

C’était au XIXe siècle. S’il fut l’objet de tant d’admiration à l’époque, le Manoir McDougall continue de susciter un intérêt certain sur le plan historique et architectural. En 2016, l’historien François Rémillard l’inclut dans son palmarès des 40 Belles demeures historiques de l’île de Montréal. Une villa Regency d’inspiration britannique, dit-on, elle est « à l’image des demeures évoquées dans certains romans de Jane Austen et de Charles Dickens »1. C’est la deuxième plus ancienne résidence de l’arrondissement2 . Une dizaine de propriétaires se sont succédé depuis 1838. Nous avons rencontré les derniers en titre, Sandra Schock et Jacques Théorêt.

Retour vers le passé
1833 – Au nord du chemin de terre qu’était la Côte-Sainte-Catherine, le propriétaire foncier Louis-Tancrède Bouthillier, Montréalais de naissance mais de père originaire de La Rochelle, acquiert une grande terre sur laquelle il complètera en 1838 une imposante demeure. Le territoire qui deviendra Outremont compte, à l’époque, moins de 300 âmes. Parmi les propriétaires, quelques têtes d’affiche comme David Lorn McDougall, un financier d’origine écossaise, président et fondateur de la Bourse de Montréal, propriétaire à partir de 1856 pendant 31 ans. En 1887, les Clercs de Saint-Viateur y logèrent leur Institut catholique des sourds-muets et aménagèrent à l’arrière de la grande maison une ferme-école avec bêtes et potager. La bibliothèque de l’actuelle résidence aurait servi de chapelle pendant une certaine période. C’est en 1907 que le nouveau propriétraire Mendoza Langlois ajoute deux logements contigus au bâtiment principal où habiteront quelques années plus tard le fondateur du quotidien Le Devoir Henri Bourassa et le rédacteur en chef Omer Héroux. Ces deux logements, jumelés en 1918, deviendront le 223 McDougall.

Une maison qui a du caractère
L’histoire et le caractère de cette belle d’autrefois ont été un coup de cœur en 1995 pour les propriétaires actuels. Dix pièces au rez-de-chassée et à l’étage dont plusieurs sont munies de foyers, indispensables en 1838 pour garder les chambres chaudes le soir venu. Séduisants, les détails ornementaux sur les murs, le marbre et le bronze sur les manteaux de cheminée, les hauts plafonds, les chaleureuses boiseries du grand escalier menant à l’étage, l’imposante salle à manger avec vue sur l’avenue McDougall. En plus, un impressionnant grenier, probablement fidèle à ce qu’il était au tout début, et un grand sous-sol qui met à nu les pierres robustes des fondations. « Ne vous sentez-vous pas comme dans un musée? » a-t-on demandé aux propriétaires? « C’est une maison facile à vivre, grâce à sa forme un peu carrée, pas de couloir en enfilade, on s’y retrouve facilement », de répondre le copropriétaire Jacques Théorêt. « Nous nous sentons bien ici, nous aimons beaucoup cette maison et tout autant le quartier », renchérit Sandra Schock, l’autre propriétaire. La maison était en très bon état à l’achat. Des améliorations ont été apportées au fil du temps, cuisine et salle de bain réaménagées, le décor refait au rez-de-chaussée en respectant les ornements sur les murs et les couleurs naturelles des matériaux. C’est une maison magnifique.

Les propriétaires actuels ont créé de belles ouvertures sur l’extérieur, comme dans la bibliothèque.

La grande qualité de cette résidence c’est le respect de son intégrité dans la modernisation des lieux. Par exemple, on n’a pas mis de murs à terre pour faire de plus grandes pièces, comme c’est pratique courante aujourd’hui. On a considérablement amélioré les entrées de lumière et changé les fenêtres pour en faire de belles ouvertures sur l’extérieur. On a conservé les nombreux foyers mais aménagé l’un d’eux au gaz naturel, les autres ayant été condamnés depuis plusieurs années. La contribution des Schock-Théorêt a été de moderniser la maison et ses fonctions, d’entretenir comme un trésor les matériaux d’origine et de mettre en valeur le caractère unique du bâtiment et du très beau jardin à l’arrière.

Les traces de l’histoire
Il y a bien sûr les poutres d’origine dans le grenier et les matériaux nobles du rez-de-chaussée. Il y a aussi les traces discrètes, dans un placard ou derrière une porte, que les propriétaires affectionnent particulièrement. On a retrouvé au grenier, des restes de coupures d’un journal de 1910 collés sur les parois d’un comble, annonçant une vente de frigo à 5 $. Au sous-sol, on a compris l’épaisseur de la fondation quand il a fallu la traverser en largeur pour faire passer une connection, les outils de perçage habituels étant insuffisants. Les murs extérieurs de brique qui avaient été recouverts à deux reprises de stuc blanc, font surface dans quelques petits racoins de la maison. On a beau faire évoluer la maison pour la mettre au service des nouveaux besoins, il en restera toujours quelque chose, si ce n’est le souvenir des envolées nationalistes d’Henri Bourassa qui planent encore au-dessus de cette demeure patrimoniale.


1 Belles demeures historiques de l’île de Montréal, p. 172, Éditions de L’Homme, 2016,
2 La plus ancienne étant la maison Imbault, propriété du journaliste Normand Lester, située au 637 Côte-Sainte-Catherine, achevée en 1820.


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Le parc Outremont, d’eau et de verdure

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PATRIMOINE
Publication : 5 septembre 2019

PHOTO MARILI SOUDRE-LAVOIE

L’odonymie fait aujourd’hui partie intégrante du paysage urbain. Elle nous renseigne tout particulièrement sur les étapes qui ont marqué le développement d’une municipalité. Avec l’aimable collaboration de la Société d’histoire d’Outremont, nous retraçons l’histoire d’un parc d’Outremont.

Les renseignements ci-dessous sont tirés du Répertoire des rues d’Outremont et leurs histoires par Ludger Beauregard, une publication de la Société d’histoire d’Outremont (2015, 280 pages, reliure spirale). Il est possible de se procurer ce titre au montant de 25 $ en composant le 514 271-0959. histoireoutremont.org

En 1898, les Clercs de Saint-Viateur donnent le quadrilatère à la Ville d’Outremont à la condition qu’elle en fasse un parc. Le terrain est alors marécageux et occupé par une mare alimentée par un ruisseau coulant du mont Royal. La municipalité entreprend d’abord de remplir la faible dépression et de niveler la surface autour d’un bassin central. Vers 1905, les travaux d’assèchement progressent et le conseil municipal projette alors l’aménagement du parc. Ce n’est toutefois qu’en 1909 qu’il adopte le plan préparé par M. Roy et augmente les investissements. En 1915, il y plante des érables de Norvège.

Dès 1913, le parc municipal avait reçu 4 lampadaires, des bancs et des poubelles. En 1915, il est doté d’une patinoire sur le bassin et d’un carré de sable pour les enfants. Le 27 juillet 1925 a lieu le dévoilement du cénotaphe situé dans l’axe de l’avenue McDougall conformément au projet de T.R. Smith, architecte, et de Henri Hébert, sculpteur. La même année, le chalet de crépi blanc ouvre ses portes.

Après avoir porté différents noms (parc municipal, parc Bloomfield, parc Saint-Viateur), le parc Outremont reçoit son nom définitif lors d’une décision du comité des parcs de la Ville en 1930.

À la fin des années 1950, la belle fontaine que le maire Joseph Beaubien avait fait installer devant sa propriété chemin de la Côte-Sainte-Catherine vers 1927 se retrouve dans le bassin du parc après que la Ville eût démoli les maisons qui restaient dans le parc Beaubien. Le parc Outremont avec ses 225 arbres s’avère le plus boisé de l’arrondissement et le plus géométrique d’aspect.

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Le parc Outremont, d’eau et de verdure

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PATRIMOINE
Publication : 5 septembre 2019

L’odonymie fait aujourd’hui partie intégrante du paysage urbain. Elle nous renseigne tout particulièrement sur les étapes qui ont marqué le développement d’une municipalité. Avec l’aimable collaboration de la Société d’histoire d’Outremont, [...]

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Une Belle d’autrefois

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PATRIMOINE
Publication : 11 mars 2019
Par Le Journal d'Outremont
Cette maison était située à l’angle du chemin de la Côte-Sainte-Catherine et de l’avenue Villeneuve. Elle fut construite pour Odessa Paquette et détruite en 1980 pour faire place à un autre gratte-ciel, Le Chenonceau. PHOTO COURTOISIE MME DANIELLE BELLEMARE, OUTREMONT.

Une vingtaine d’habitations bâties entre 1905 et 1917 ont été démolies surtout dans la partie orientale du chemin (Côte-Ste-Catherine ), là où se trouvent maintenant les gratte-ciel. Un cas représentatif s’est présenté, en 1975, quand on a détruit les belles résidences Berthiaume et Du Tremblay, érigées en 1901 et 1911 au coin de l’avenue Laurier, pour faire place au Tournesol, voisin de l’Éminence, qui avait déjà remplacé les luxueuses résidences Desjardins (1917) et Trudeau (1913).

Répertoire des rues d’Outremont et leurs histoires, par Ludger Beauregard, La Société d’histoire d’Outremont, éditeur.



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Une Belle d’autrefois

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PATRIMOINE
Publication : 11 mars 2019
Par Le Journal d'Outremont

Une vingtaine d’habitations bâties entre 1905 et 1917 ont été démolies surtout dans la partie orientale du chemin (Côte-Ste-Catherine ), là où se trouvent maintenant les gratte-ciel. Un cas représentatif s’est présenté, en 1975, [...]

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Un parc en hommage à Pierre Dansereau

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PATRIMOINE
Publication : 17 janvier 2019

Communiqué Ville de Montréal version abrégée

La responsable de la culture, du patrimoine et du design au comité exécutif de la Ville de Montréal, Christine Gosselin, annonce les nouveaux noms de cinq lieux situés sur le territoire de la Ville de Montréal, dont un à Outremont, mettant ainsi en valeur des personnalités qui ont fait leur marque dans leur domaine et leur quartier respectifs.

PHOTO MARTIN BRAULT

Le nouveau parc du projet MIL Montréal (site Outremont et ses abords), situé à l’angle des avenues Querbes et Ducharme, sera nommé « parc Pierre-Dansereau », en l’honneur d’un pionnier de l’écologie mondiale qui a marqué l’histoire québécoise. M. Dansereau a enseigné dans de nombreuses universités dans le monde, ainsi qu’à l’Université de Montréal et à l’Université du Québec à Montréal. Il a également dirigé son propre laboratoire sur les écosystèmes.

« L’histoire de Montréal est remplie de femmes et d’hommes ayant fait la différence dans leur milieu et dans leur quartier. C’est un bonheur et une fierté pour nous de mettre en valeur leurs apports à notre société. Que ce soit en baptisant une rue, un parc ou une place publique en leur honneur, nous leur rendons hommage, mais, surtout, nous immortalisons leur histoire dans la mémoire et l’identité collectives montréalaises », affirme Christine Gosselin.



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Un parc en hommage à Pierre Dansereau

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Publication : 17 janvier 2019

La responsable de la culture, du patrimoine et du design au comité exécutif de la Ville de Montréal, Christine Gosselin, annonce les nouveaux noms de cinq lieux situés sur le territoire de la Ville de Montréal, dont un à Outremont, mettant [...]

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Éditeur :René Soudre
Assistante-éditrice : Hélène Côté
Collaborateurs : Julie Turgeon, Viktor Lavoie, Emmanuelle Beaubien, Carla Geib
Photos : Marili Soudre-Lavoie
Administration : Hélène Lavoie
Ventes : Marili Soudre-Lavoie, René Soudre

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